Les autorités ont reconnu qu’une infime partie des étrangers qui violent nos frontières, nos lois et notre hospitalité et qui font dans la foulée une demande d’asile étaient de véritables réfugiés. Malgré cela, les différents gouvernements d’occupation, qu’ils soient PS ou UMP, laissent entrer chaque année des centaines de milliers de délinquants étrangers, les autorisant à rester durant des mois sinon des années sur notre territoire, logés, nourris, blanchis, en attendant que leur demande d’asile soit examinée. Et même quand elle est refusée – c’est le cas de la majorité, après en moyenne 18 mois –, les délinquants étrangers restent en France, en bénéficiant quasiment des mêmes droits. Ils peuvent même faire « appel » et bénéficier alors de trois ans de répit. Et à la fin, le gouvernent d’occupation leur permettra tout de même de rester en France.
Peyrelevade (Limousin), village de 816 habitants, a perdu sa maison de retraite. Les Français qui sont nés, ont travaillé, vécu, versé leur sang pour la France ont été priés d’aller mourir ailleurs. Les bâtiments ne sont pas restés longtemps vides : une soixantaine de délinquants étrangers prétendument « demandeurs d’asile », essentiellement venus d’Afrique, seront hébergés dans l’ancienne maison de retraite reconvertie en centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA). Les étrangers représenteront près de 10 % de la population.
« Le but de créer un CADA sur la commune a été de redynamiser [sic] le bourg et d’occuper l’ancienne maison de retraite »,
s’est vanté le maire de gauche Pierre Coutaud qui a répondu à l’appel du gouvernement.
Pendant que des millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté sans aide du régime, que les classes moyennes sont pressurées de toute part, ces étrangers qui ont violé nos frontières pourront occuper 2 353 m² de bâtiment découpés en 26 appartements tout équipés – lits, y compris draps et couvertures, frigo, salle de bain équipée, etc. –, avec cuisine et buanderie collective pour permettre la perpétuation des coutumes étrangères. Quand les Français voient leurs véhicules être détruits par centaines chaque semaine en France, ces étrangers auront eux un véhicule à leur disposition. Le contribuable de Peyrelevade a été spolié de 1,2 million d’euros pour refaire à neuf l’ancienne maison de retraite.
Au moins cinq personnes seront payés exclusivement pour s’occuper de ces quelques dizaines d’étrangers par l’association Forum réfugiés Cosi, financée par le contribuable.
Rappel : liste non exhaustive des « droits » des demandeurs d’asile :
-CADA. Le demandeur d’asile et sa famille sont logés dans l’un des 300 centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) (environ 25 000 places) ; après l’entrée dans un CADA, l’étranger peut y rester jusqu’à l’épuisement de tous les recours, jusqu’à trois ans. En cas d’acceptation de son dossier, il pourra y demeurer trois mois supplémentaires. L’entrée en CADA ouvre automatiquement droit à des aides sociales, administratives, mais également financière pour l’achat de nourriture (AMS, voir ci-dessous). À défaut une place d’hébergement de substitution est proposée, par exemple en hôtel pour des coûts exorbitants pour le contribuable français.
-Allocation mensuelle de subsistance (AMS). Versée par le CADA, son montant est compris entre 91 et 718 € par mois, selon les prestations du CADA et la composition familiale des demandeurs. A minima, cela a représenté pour les Français une dépense de 71 956 248 euros, a maxima 567 742 704 euros.
-Allocation temporaire d’attente (ATA). Après inscription auprès de Pôle emploi, chaque demandeur d’asile obtient cette aide de 11,34 € par jour (soit, pour 65 894 demandeurs d’emplois en 2013 et pour l’ensemble de l’année, un coût pour les Français de 272 741 855 euros).
-Emploi. Selon les dispositions départementales et la situation du demandeur d’asile, il pourra accéder au marché de l’emploi, malgré cinq millions de chômeurs en France.
-Sécurité sociale. Les demandeurs d’asile ont droit automatiquement à la CMU de base et la complémentaire, couvrant tous les frais de santé, le tout totalement financé par le contribuable. Ceux qui perçoivent l’ATA sont intégrés directement au régime général de la sécurité sociale. Les clandestins dont la procédure de demandeur d’emploi n’a pas encore été validée bénéficient de la CMU, et ainsi de remboursements à 100 % des soins maladie et maternité.
Notes complémentaires :
Mairie de la commune (www.peyrelevade.correze.net)
Mairie de Peyrelevade
Grand Rue
19290 Peyrelevade
Téléphone : 05.55.94.73.13
Courriel : [email protected]