Le Figaro a publié mardi un article sur les viols commis en France. Dans des sociétés fondées sur la glorification de l’écrasement de l’Europe et du viol des Normandes par l’envahisseur américain, des Italiennes par les troupes marocaines du criminel maréchal Juin, et de centaines de milliers d’Allemandes par les armées criminelles russes sur le front de l’Est, est-il possible de sérieusement s’étonner que ces crimes soient si nombreux ? A fiortiori dans une société où toutes les valeurs positives sont raillées et dénoncées, où la morale est considérée comme le reliquat archaïque de temps considéré comme arriérés et sombres, où la pornographie est omniprésente, où les corps sont dépouillés de tout aspect transcendant pour être présentés comme de simples morceaux de viandes ?
Cela semble pourtant le cas au vu de la multiplication des articles sur le sujet depuis hier. Selon les chiffres officiels, il y a un viol déclaré toutes les 40 minutes en France. Cela représente 33 crimes de ce type par jour. Le nombre de plaintes pour viol a explosé de 18 % en cinq ans. En 2014, 12 768 faits ont été répertoriés, contre 10 762 en 2010.
Les chiffres sont d’autant plus alarmants que dans leur régime, ce sont les plus faibles qui sont le plus victimes : le nombre de viols sur mineurs a progressé de 20 % entre 2010 et 2014, année où 6 936 faits ont été dénombrés, soit 19 crimes par jour.
Selon plusieurs spécialistes, les véritables chiffres sont bien plus élevés, de nombreuses victimes n’osant pas ou refusant de porter plainte. Seules 10 % des victimes porteraient plainte.
La carte géographique du nombre de viols pour 1 000 habitants rappelle que les fondements et les antivaleurs du régime ne sont pas les seuls éléments explicatifs de la situation. L’interdiction par le régime des statistiques ethniques empêche les Français de prendre conscience de la gravité de la situation et la très forte influence de la race sur ce type de crime. Les départements les plus touchés donnent cependant une idée déjà très précise de la situation. Les quatre pires départements en ce domaine sont la Guyane, la Martinique, la Guadeloupe et Paris. Au-delà du seuil statistique des affaires intrafamiliales, la race est donc un facteur déterminant. Il est aggravé par plusieurs « phénomènes de société », de leur antisociété, plus précisément, qui crée des monstres dès le plus jeune âge.
« L’alcoolisation massive, la drogue et plus encore, la polyconsommation, lors de fêtes qui dégénèrent ; l’influence de la pornographie en libre accès sur internet également. Il ne s’agit pas [sic] de faire la morale, mais de réfléchir sur ce qui peut faciliter le passage à l’acte »,
précise un magistrat.
« Il y a de plus en plus de viols de mineurs sur des mineurs. Avec à l’évidence un problème de manque de respect des garçons vis-à-vis des filles, notamment en milieu scolaire »,
conclut un autre, qui oublie, comme tous les acteurs institutionnels, le facteur ethnoculturel déterminant.
Depuis quand la Sarthe est « africanisée » ? Le racisme de vos propos est choquant.
Encore un site fasciste de plus, on se demande pourquoi la France a combattu les nazis… Affligeant de bêtise.
En plus du facteur ethnique tu pourrais regarder ta carte plus précisément voir comment se fait il que dans les banlieues où cette immigration massive qui détériore notre belle culture et viens violé nos femmes ont un taux aussi bas peux être que tu devrais revoir t’as théorie t’es arguments t’es l’opignons parce que c’est extrêmement faible t’es témoin s ne sont même pas identifié c’est navrant du coup retravaille ta méthode médiocre et n’oublie pas que les 80% des viols commis par des proches que tu éludes sont de toutes les ethnies