En plus des abattoirs qui pratiquent habituellement les rituels étrangers – juifs et islamiques – d’égorgement d’animaux de boucherie à vif, leur République autorise provisoirement,
« pour la durée de la fête de l’Aïd el Adha du mois de septembre 2015 »,
37 abattoirs à en faire de même.
Parmi ces lieux de pratiques allogènes qui favorisent la contamination de la viande par des matières fécales, de l’urine et les bactéries adjointes, vu que durant leur lente agonie, il est fréquent que les animaux se répandent, on notera une « association des résidents musulmans » et huit « abattoirs temporaires ». Le plus grand nombre de ces derniers est situé en Moselle, que l’Allemagne (prussienne à une certaine époque) et la France – déjà aux mains des universalistes anti-européens mais pro-européistes car mondialistes – se disputèrent âprement. Cette épopée européenne avait induit une certaine dose de diversité dans les parlers locaux et l’histoire particulière à chaque canton.
Il est d’ailleurs notoire que ces identités locales, quoique fréquentes en zone frontalière et parfaitement compatibles avec une appartenance nationale par ailleurs, furent néanmoins combattues par les hussards noirs de la République qui, certes favorisèrent la langue française, mais donnèrent également des coups de règle sur les doigts des enfants qui utilisaient le parler local dans les cours de récréation et entretinrent, alors qu’ils se proclamaient parfois déjà « pacifistes », une haine féroce contre les Allemands.
Aujourd’hui, leurs successeurs du ‘travailler moins… pour gagner plus’, enseignent de moins en moins la langue française… et la langue allemande, outil pourtant indispensable afin de dialoguer et donc s’entendre politiquement avec notre voisin naturel, à supposer que nous soyons dirigés par des Français en France, ce qui n’est pas le cas actuellement.
Par contre, leurs enseignants favorisent leur « vivre ensemble » avec des populations de ‘migrants’ aux mœurs inadaptés et incompatibles avec ceux de la France.
Ainsi, probablement au nom de leur ‘laïcité’, font-ils visiter des lieux de culte islamiste aux petits Français, tout en leur enseignant le rejet total de leur propre culture, sombrant dans la culpabilisation et la repentance, au moyen de caricatures et même de bobards intégraux, de l’ignorance de périodes et de personnages-clés et de la rupture chronologique d’un enseignement devenu plus ‘citoyen’ qu’historique.