Le samedi 31 octobre, les militants nationalistes genevois se sont rendus devant l’ambassade de Hongrie à la rue Rodolphe-Toepffer pour commémorer les 59 ans de l’insurrection de Budapest face à la tyrannie soviétique. Drapeaux noirs, ambiances solennelles et croix celtiques, nos camarades ont rendu hommage aux martyrs tombés sous les balles communistes pour la liberté de leur pays et celles des générations à venir. Liberté qui, aujourd’hui, est à nouveau menacée par l’invasion migratoire en provenance de l’orient et du sud, ainsi que par l’Union européenne, voulant imposer l’accueil de traîne-savates, de terroristes et autres djihadistes.
Mais à nouveau, comme en 1956, la Hongrie se soulève et refuse de devenir la tour de Babel de notre vieille Europe. Et c’est aussi pour célébrer cet acte d’insoumission face à une dictature prônant le multiculturalisme et la haine de ses racines que les nationalistes genevois étaient présents.
Lors de la prise de parole, l’accent fut mis sur le symbole de cette insurrection aujourd’hui, face à l’immigration, certes, mais aussi face à la perte des valeurs, à la décadence de ce monde et à l’uniformisation de nos peuples, cultures et croyances.
Aujourd’hui, ils veulent mondialiser la planète et les âmes. Les camarades rendirent ensuite hommage aux morts en entonnant un chant d’origine italienne dédié aux victimes de ces jours tragiques « Avanti ragazzi di Buda », En avant, jeunes de Buda[pest]. La soirée se termina dans une salle louée pour l’occasion autour d’un repas et de quelques verres.
Si l’Histoire tend aujourd’hui à être oubliée, si les traditions se perdent, si le culte du matériel prend le pas sur celui de la spiritualité, de la foi ou de la mémoire, nous refusons ces états de fait. Notre histoire, notre culture et notre foi sont ancrées dans notre âme.
Heil dir Helvetia !