Le 19 mars 1962, le gouvernement français signe l’abandon de l’Algérie. A Paris, la trahison s’installe et trouve son expression ignoble chez celui-là même qui avait été porté au pouvoir par les Français d’Algérie : De Gaulle.
Trahissant sans vergogne son engagement, il négocie avec les représentants du F.L.N.
Il trahit la France et la république puisqu’elle est une, indivisible, et que l’Algérie est formée de départements.
Il trahit son armée. Victorieuse sur le terrain, elle se voit refuser cette victoire.
Il trahit les Français d’Algérie, à qui il avait promis l’Algérie Française.
Il faut suite aux accords d’Evian, abandonner le fruit du travail de nos aînés français : 132 années de labeur acharné. Des marécages asséchés, des terres cultivées, des hôpitaux, des routes, des voies ferrées, des barrages hydrauliques, des ponts, des écoles, une université…
Les accords d’Evian donnent l’Algérie à des gens qui non aucun droit historique sur ce pays et n’offrent que d’illusoires garanties. Celles-ci seront balayées dès que le gouvernement algérien sera au pouvoir. En fait, il ne faudra même pas attendre l’indépendance de l’Algérie pour que les engagements signés ne soient pas respectés et par le FLN et par le gouvernement Français.
Le 23 mars 1962, dans le quartier de Bab el Oued des coups de feu vont être échangés. Aussitôt, l’armée et la gendarmerie encerclent ce quartier, y pénètrent à grands renforts de blindés, écrasent les voitures, éventrent les devantures des magasins. Les troupes tirent sur les balcons, dans les rues, sur les façades, des maisons. Une petite fille à l’intérieur de son appartement trouve ainsi la mort.
L’aviation mitraille les toits, les perquisitions se succèdent, les appartements sont saccagés. On ne sait pas combien il y a de morts. Les blessés, les malades ne sont pas soignés. Les morts ne sont pas enterrés. IL n’y a plus de ravitaillement…. Bab el Oued est transformé en véritable ghetto. Les 75 000 habitants du quartier sont totalement coupés du reste d’Alger.
Tous les jours, de nombreuses personnes ainsi que la Croix-Rouge essaient de passer les barrages afin de porter du ravitaillement aux habitants assiégés par les troupes militaires et des engins blindés.
Une manifestation est organisée le lundi 26 mars : « manifestation de masse, pacifique et unanime, drapeaux en tête, sans aucune arme et sans cri, devant le périmètre du bouclage de Bab-El-Oued. »
Ce jour-là, c’est en toute confiance que les Algérois, drapeaux tricolores en tête, marchent vers Bab el Oued.
Il y a bien quelques barrages, mais qui s’écartent devant la foule. Rien n’est fait pour dissuader les manifestants de continuer leur marche. Le piège est bien organisé. Tout est bien prémédité.
Pour ce rassemblement pacifique, les autorités ont prévu qu’elles auront besoin de leur équipement de combat, de leurs casques lourds et de leurs fusil-mitrailleurs.
Soudain, à 14h50, une longue rafale, suivie d’autres. Des militaires, conditionnés pour tuer du Français sont là. Bien sûr, il ne s’agit pas de l’armée qui avait choisi l’honneur, qui s’était battue pour garder l’Algérie Française. Non, ce sont d’autres, dont beaucoup de marocains et de noirs, qui obéissent aveuglément et qui ont décidé de faire comprendre par la manière forte que les français ne sont plus chez eux.
L’armée va tirer sans sommation, pendant 12 minutes !
La version officielle dira qu’il y a eu un tir venant d’une terrasse vers l’armée. Curieusement, au lieu de riposter vers le tireur embusqué sur le toit, l’armée va tirer sur les manifestants.
Beaucoup se sont jetés à terre pour se protéger, d’autres se réfugient dans les immeubles mais rien n’arrête ces forcenés. Ils tirent dans le dos des manifestants qui fuient, qui se sont couchés sur le sol. Ils achèvent des blessés, vont jusque dans les immeubles, montant dans les étages pour terminer leur sinistre besogne.
Peu importe que ces gens aient un drapeau bleu, blanc rouge. On tire sur les drapeaux. On tire à l’arme automatique sur tout ce qui bouge. Des pompiers sont blessés. Un médecin est assassiné alors qu’il fait son devoir, celui de porter secours.
Pendant un cours instant, un petit lieutenant incapable de se faire obéir par ses hommes crie poussé par un civil : « halte au feu ».
Quelques secondes d’espoir, puis les tirs recommencent. Couchés sur la chaussée, certains blottis les uns contre les autres, les algérois attendent que cette folie meurtrière s’achève.
Dans d’autres points d’Alger, les gendarmes mobiles tirent aussi.
On compte une centaine de morts, plus de 200 blessés.
Ce qui rend cette journée atroce, c’est que des civiles ont été assassinés par traîtrise : par des balles françaises, des rafales tirées dans le dos des manifestants. Pire, les blessés ont été achevés à bout portant, alors qu’ils étaient à terre, sans défense.
26 mars 1962, la morgue de l’hôpital Mustapha à Alger
Le président l a oublié
Il faudrait interroger Macron à ce sujet.
malgrés mes 12 ans , je n’ai pas oublié , d’autant plus que le 3 mars 1962 mon papa était poignardé en pleine rue , le traumatisme est indélébile et pas de cellules psychologiques comme de nos jours, au fond des yeux la tristesse y sera a jamais.<3
Qui s’en souvient? Ce ne sont pas des victimes correctes. L’Histoire falsifiée a maintenant force de vérité, et parfois de loi. Il faut maintenant attendre le Jugement Dernier.
la honte de la France on en est toujours au même point, à qui faire confiance ? on s’est laissé berné par les belles paroles qui ont changées qui sont vive l’Algérie française à vive l’Algérie algérienne , réagissons, ne pas se tromper d’ennemis, par obéissance les français ont tué les français, horreur, comment ne pas réagir, l’histoire se répète, ne pas se tromper de bulletin pour le vote, à bon entendeur, salut
Au sujet de nos ennemis…j’ai ma petite idée,ils sévissent depuis plusieurs siècles,ils nous vouent une haine incommensurable,sur les cinq continents ils ont décrété la mort de la Race Blanche.(avortement,métissage,promotion de l’égo et du ‘profiter’ de la vie…en célibat,destruction des sociétés blanches par la subversion:mariage des PD et des gouines et droit à l’adoption!)
Les « protocoles des sages du Sion », qu’ils soient un faux ou pas, annoncent depuis plus d’un siècle ce que vous venez de dire. C’est un message qu’il faut donc prendre très au sérieux.
L’islam est le Bolchevisme d’aujourd’hui, même si celui d’hier n’est pas encore éteint, loin de là, car le Bolchevisme absolu émane d’une inspiration judeo-kabahliste semée par Jakob Franck, Adam Weishaupt et Albert Pike, la même qui a suscité les Rotschild, les Rockfehler, les Goldmansachs etc.. avec pour couronnement la création de l’état d’Israël.
Sì vrai
Dommage que les français ne le voient pas.
Mon père était légionnaire en Algérie et a suivi l’OAS
J’en suis extrêmement fier! !!
Les responsables de ce piège machiavélique tendu aux Français d’Algérie : en premier lieu, le commanditaire de ce crime d’Etat,
le général De Gaulle, président de la République. A Paris : Michel Debré, premier ministre, Roger Frey, ministre de l’intérieur, Pierre Messmer, ministre de la défense. A Alger : Christian Fouchet, haut commissaire de la République, Vitalis-Cros, préfet de police de la place d’Alger, les généraux Ailleret et De Menditte.
Je hais les assassins et encore plus ceux qui ont armé leurs mains et tous les abrutis qui ont pris part de près ou de loin à ces crimes. monsieur macron estime que les !!!!!!!!!!!ont commis un crime contre l’humanité,nous avons eu et avons encore à faire à des débiles mentaux,
Je me souviens de ce jour atroce — même vu de la capitale. Je me souviens aussi de l’amertume de mes camarades de collège chassés de ces deux départements que leurs grands parents et parents avaient si bien mis en valeur… formaté par des bons pères avides consommateurs du « Monde », ça n’est que lorsque j’ai vu le même traitement appliqué à l’Afrique du Sud (un pays aux frontières abondamment pourvues de barbelés et de miradors, comme l’Allemagne de l’Est… mais ici, c’était pour empêcher l’arrivée de sauterelles désireuses de profiter d’un niveau de vie, pour elles aussi, à nul autre pareil) par la même variété de félons européens — comme toujours, ces donneurs de leçons qui se gardent bien d’être sur place lorsque par leurs « bons offices » les choses s’enveniment — que j’ai pu prendre tout la mesure du bien-fondé de toute cette amertume. Cela dit… ne vous arrêtez pas à votre président du moment, c’est à l’équipe du lobby Roosevelt que vous devez la perte de votre algérie.
à l’époque, les révolutions de couleur c’était rouge. Rouge sang.