Commémoraison de tous les fidèles défunts
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Félicitations au général Michel Aoun
- Lancement officiel du Parti Nationaliste Français en Auvergne
France
- Mohamed, Aziz et complices jugés, braqueurs lyonnais de banques suisses
- Trois Africains torturent un couple de marchants Bengladais
- Les habitants et commerçants excédés par l’afflux massif des migrants
- Khaled Djelloul et Abdelhakim Benfetouha condamnés à Dutemple
- Emeutes d’Algériens contre Marocains, guerre des territoires à Lille/Wazemmes
- Abdelnord, violeur et escroc informatique, pilotait tout depuis la prison
- Nabil El Baz, déjà en détention pour une affaire de violence agresse un directeur d’école
- Khaled menace de mort et insulte une policière en civil à Franconville
- 1,4 millions d’€ de bénéfice pour les passeurs Albanais d’envahisseurs
- L’UE réclame 339 000 euros à la Le Pen
- France Télévisions: Le salaire mirobolant de Delphine Ernotte révélé
Etranger
Monde
- L’entité sioniste valide la construction de 1 600 logements dans le plateau du Golan occupé
Vidéo
- Méridien Zéro – La Phalange Espagnole vidéo 1/3
Radio
- Orages d’Acier #38 – ACAB
Kiosque
- Courrier du continent n° 583
Ephéméride nationaliste
- 2 novembre 1755 : naissance de Marie-Antoinette d’Autriche
- 2 novembre1938 : naissance de David Lane
- 2 novembre 1976 : attentat contre Jean-Marie Le Pen
Agenda
- 6 novembre 2016 – Toulouse – Colloque de Jeune Nation
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Actualité nationaliste en France
Félicitations au général Michel Aoun
Nous adressons nos chaleureuses félicitations au général Michel Aoun qui devient ce jour le 13ème président du Liban depuis l’indépendance du pays du Cèdre en 1943. Cette élection, négociée en amont, met fin à une crise institutionnelle et politique qui perdurait depuis plus de deux ans. Quelle belle revanche pour celui qui avait dû quitter précipitamment, le 13 octobre 1990, le Palais de Baabda, siège de la présidence, assiégé et bombardé par l’armée syrienne. Il se réfugie alors à l’ambassade de France avant de prendre le chemin de l’exil qui durera 15 ans entre Marseille et Paris. Après avoir été le symbole de l’indépendance du pays, lors de la guerre de 1990, il est celui qui a su renverser les alliances du camp chrétien en signant une Charte d’entente avec le Hezbollah et son chef Hassan Nasrallah, dans un lieu symbolique, l’église Mar Mikhael en banlieue sud de Beyrouth, tout à la fois fief de l’organisation chiitte et lieu de naissance du général.
De par son histoire personnel et son patriotisme intransigeant, le Général Aoun est celui qui aujourd’hui peut maintenir l’unité fragile du Liban, menacée par les activités subversives d’Israël et le terrorisme takfiriste en Syrie. Espérons qu’il pourra apporter un peu de stabilité à ce pays, attachant et si cher aux cœurs des Français; sachant que le retour à la grandeur ne sera possible qu’une fois la paix rétablie autour de la présidence légitime de Bachar el Assad et le problème de l’occupation de la Palestine par l’entité sioniste définitivement réglé.
Lancement officiel du Parti Nationaliste Français en Auvergne
Samedi 29 octobre 2016, à l’initiative de Dominique Morel, chef de groupe du PNF Auvergne, une première réunion a eu lieu à Clermont-Ferrand.
Après l’accueil de nos militants, nous avons créé notre premier bureau politique qui permettra ainsi de structurer notre parti en définissant les tâches dévolues à chacun d’entre nous. Nous avons eu le plaisir de confier à nos deux jeunes militants, étudiant pour l’un, chef d’entreprise pour l’autre, la rédaction d’articles concernant leur génération.
Nous avons évoqué l’actualité liée à l’invasion-colonisation des migrants et au risque mortifère de leur présence sur notre sol mais aussi, l’acharnement judiciaire dont les Nationalistes font l’objet et en particulier, Yvan Benedetti. Le point le plus important a concerné la présence du Parti Nationaliste Français pour les élections législatives 2017 sur la circonscription d’Issoire.
Notre parti politique s’implante durablement en Auvergne. Les actions militantes de terrain commenceront dès la livraison du matériel de propagande. A l’heure où la population française n’a jamais été aussi réceptive à nos idées pleines de bon sens, les Nationalistes français, non reniés et non dédiabolisés, doivent incarner le renouveau mais aussi la seule voie de survie de notre peuple.
France
Mohamed, Aziz et complices jugés, braqueurs lyonnais de banques suisses
Le procès du grand banditisme lyonnais, écumeur des banques suisses
Cinq hommes accusés d’avoir attaqué en 2010 une banque Migros et fait feu répondront de leurs actes la semaine prochaine à Lyon. Le jugement sera aussi celui de bandes très organisées pour qui Genève demeure une cible facile.
Trois Africains torturent un couple de marchants Bengladais
La cour d’appel de Rennes a décidé, vendredi, de placer en détention provisoire les trois suspects, interpellés dans l’affaire du couple de commerçants torturés. Le juge les avait placés sous contrôle judiciaire.
La juge d’instruction avait préféré, il y a deux semaines, placer les trois suspects sous contrôle judiciaire, tout en prononçant leur mise en examen pour extorsion avec arme et séquestration. Le parquet avait fait appel de cette décision.
Le parquet général de la cour d’appel de Rennes a requis, jeudi, l’incarcération des trois jeunes, des frères jumeaux de 20 ans, et un jeune « Parisien ». La chambre de l’instruction a suivi l’accusation.
Fin août 2015, un commerçant bangladais se fait agresser vers 3 h du matin lorsqu’il rentre du travail. Trois hommes armés et encagoulés l’attendent devant son domicile de la Motte-Brûlon et le menacent. Ils réveillent l’épouse et les deux enfants. Commence une nuit de calvaire pour la famille. Le restaurateur est roué de coups. Les tortionnaires forcent la femme à boire de l’eau de javel. Après plusieurs heures de sévices, les trois malfaiteurs partent sans le magot qu’ils pensaient trouver au domicile de la famille. Ils emportent des bijoux en or pour une valeur de 20 000 €.
Plus d’un an plus tard, la police judiciaire de Rennes interpelle trois jeunes. Deux d’entre eux, les frères Touré, sont impliqués dans une affaire de stupéfiants pour laquelle ils sont condamnés à un an de prison ferme en décembre dernier.
Les policiers les ont extraits de la prison pour les entendre sur l’affaire des commerçants rennais. Un troisième homme, habitant la région parisienne, les a rejoints en garde à vue. Les trois suspects ont nié. Et la juge d’instruction, estimant peut-être que les preuves n’étaient pas flagrantes, a préféré les placer sous contrôle judiciaire.
Les deux frères auraient fini de purger leur peine en novembre prochain. Il y avait donc urgence à réagir pour le parquet qui avait requis l’incarcération des trois jeunes depuis le départ.
Les habitants et commerçants excédés par l’afflux massif des migrants
Les services de police appellent ce coin de Paris le « triangle des migrants ». Situé au nord de la capitale, aux alentours de la place Stalingrad, ce territoire est en effet délimité par trois campements. Sous le viaduc du métro : trois rangées de tentes abritent des familles érythréennes et soudanaises. Le long du canal Saint-Martin, quai de Jemmapes, des Afghans et des Syriens cohabitent sous des abris de fortune. Le long du bassin de la Villette et de l’avenue de Flandre enfin : des Somaliens et des Soudanais, encore, ont créé un « village » de cabanes en carton et en toile plus ou moins imperméables.
Régulièrement démantelés, ces trois bidonvilles ont brutalement gonflé en début de semaine. Certains y voient la conséquence de la fermeture de la « jungle » de Calais.
Les envahisseurs seraient aujourd’hui entre 2 500 et 3 000 (contre 2 000 il y a encore 10 jours). Majoritairement des hommes seuls. Une « opération de contrôle » organisée vendredi 28 octobre au matin a conduit la police à procéder à l’arrestation d’une poignée de sans-papiers pour des vérifications de leur état sanitaire et de leur statut administratif. Ils ont été transportés par bus ; un dispositif policier sécurisant l’intervention. Une dizaine de tentes ont été démontées vers 8 h 30 mais, dès midi, les espaces qu’elles occupaient jusque-là étaient réinvestis par d’autres envahisseurs.
Après avoir fait preuve, pendant plusieurs mois, de compassion et même de solidarité, en leur portant parfois des repas, les habitants de l’arrondissement tirent aujourd’hui la sonnette d’alarme. « La situation n’est plus vivable. La nuit, des bagarres éclatent. Les rues sont dans un état déplorable. On a recensé des cas de gale et aussi de tuberculose parmi les migrants qui vivent dans des conditions d’hygiène déplorables. Nous ne pouvons pas continuer ainsi », confie Marie Léon, 50 ans, qui habite non loin de là.
Les habitants ne sont pas les seuls à se plaindre. Les commerçants imputent aux migrants la baisse de leur chiffre d’affaires. « Mon activité s’est effondrée. Et ce n’est pas lié à la crise. J’ai une deuxième affaire dans un autre quartier qui marche très bien. C’est bien à cause de la présence des réfugiés que mes clients n’osent plus venir », note David Kanda, 34 ans, patron d’un cabinet de tatouage, avenue de Flandre. Plusieurs commerçants chiffrent entre 30 et 40 % la diminution de leur activité depuis l’ouverture de ces bidonvilles. « Et nous sommes plusieurs à craindre de devoir fermer boutique », évoque une esthéticienne qui se cadenasse dans son salon de crainte d’une agression.
Habitants comme commerçants confient éprouver « le sentiment d’être abandonnés » par les pouvoirs publics. « On avait déjà connu ça il y a une quinzaine d’années lorsque des dealers de crack s’étaient installés dans le coin », relève Marie Léon.
« Des maraudes sont organisées, les services de nettoyage sont mobilisés et des sanitaires ont été installés pour éviter que les migrants n’urinent dans les cages d’escalier », indique-t-on dans l’entourage de Dominique Versini. « Il n’empêche. Je retrouve régulièrement mon hall d’entrée souillé le matin », soupire une gardienne d’immeuble.
Khaled Djelloul et Abdelhakim Benfetouha condamnés à Dutemple
Il y a deux semaines étaient jugés, au tribunal de Valenciennes, les membres du clan K pour des violences avec fusil sur le clan G commises en octobre 2013 dans le quartier de Dutemple. Cette fois, nous sommes en août 2014 et le clan G réplique.
Disons le tout de suite : il y aura au moins un troisième chapitre qui passera devant le tribunal dans quinze jours. On aurait pu penser que l’intervention de la police dans le cadre du premier dossier aurait calmé les esprits. Bien trop optimiste. Dans un climat toujours tendu, Abdelhakim Benfetouha, lié au clan G, a rencontré le cadet des K, place Saint-Waast, le 11 août. Échange d’insultes, règlement de comptes à mains nues, « à la loyale », entre les deux hommes. Mais le cadet K n’a pas apprécié le dénouement de la bagarre, alors il s’est retrouvé devant le QG de leurs rivaux, avec son aîné, pour échanger des insultes avec eux.
Le lendemain, alors que l’aîné discutait avec un ami, il a vu arriver une voiture qui a légèrement percuté la sienne. Trois hommes en sont sortis. L’un d’eux portait un fusil qu’il n’a pas hésité à utiliser, sans toutefois toucher ni sa cible, ni la voiture que l’aîné a prise pour s’enfuir. Une course-poursuite a alors démarré, mais K a réussi à disparaître, après plusieurs péripéties. Des impacts ont été retrouvés sur une boîte à lettres et un pylône du quartier. En marge, le frère de Benfetouha s’est tiré dans la tête en essayant de cacher un fusil, se retrouvant ainsi handicapé.
« Un jour, ça va se terminer par un mort », a prévenu la substitut qui a requis des peines particulièrement lourdes pour les quatre prévenus. Tellement lourdes que le tireur qui nie totalement les faits, Khaled Djelloul, s’est emporté en entendant les réquisitions, blessant un agent pénitentiaire dans sa rage.
Le tribunal a relaxé l’aîné K, prévenu de menaces réitérées, comme pour son frère qui a en revanche été condamné à 400 euros d’amende pour la bagarre, tout comme Benfetouha qui écope en plus de 16 mois de prison dont 8 avec sursis pour avoir véhiculé Khaled Djelloul. Ce dernier se retrouve, quant à lui, deux années en prison, avec maintien en détention. Ils devront indemniser l’aîné d’un total de 2800 euros. Suite au prochain épisode.
Emeutes d’Algériens contre Marocains, guerre des territoires à Lille/Wazemmes
Deux bandes rivales s’affrontent à Wazemmes: premières comparutions
Mardi, ce n’était pas la première bagarre mais certainement la plus impressionnante. Dans le quartier de Wazemmes à Lille, les riverains des rues Jules-Guesde et d’Arcole ont vu déferler une trentaine de jeunes armés. Une escalade qui accroît la tension dans un quartier déjà malmené.
Abdelnord, violeur et escroc informatique, pilotait tout depuis la prison
Depuis sa détention, cet as du web est parvenu à faire entrer du matériel prohibé et à surfer sur des sites étrangers, ce qui lui a permis de remonter de nombreuses données bancaires.
Abdelnord Djeddar est un détenu capricieux mais intelligent. Depuis sa cellule du centre pénitentiaire de Salon-de-Provence, le temps libre aidant, il s’est mué en as de la fraude, en virtuose de la falsification bancaire. Un petit génie qui piratait les cartes des autres, en récupérant notamment sur internet les numéros, et en effectuant ainsi plus de 32 000 euros de commandes.
Quand Abdelnord Djeddar était contrarié, il refusait naguère de se faire extraire de sa prison. N’hésitant pas à se faire vomir pour ne pas avoir à comparaître devant ses juges. Il est tellement roué qu’il a réussi, il y a un an, à obtenir sa remise en liberté pour raison de procédure dans le vaste dossier de piratage qui lui colle à la peau. Du coup, il était absent à son procès. Disparu, envolé. Restent les numéros de cartes bancaires qu’il avait coutume de copier en douce dans le monde virtuel qui était devenu le sien derrière les barreaux.
L’escroc a réussi à jouer les passe-murailles. En quelques mois, entre le 25 mars 2013 et le 9 juin suivant, date de la perquisition dans sa cellule, il a eu le temps de pirater 36 cartes et de se livrer à 107 opérations frauduleuses causant un lourd préjudice.
Djeddar est aussi un éclectique. Il a changé de rayon, côté délinquance, car le 8 avril 2005, il avait été condamné à quinze ans de réclusion pour viols. Une peine ramenée à quatorze ans en appel pour celui qu’on surnommait alors « le violeur du parking Sainte-Barbe ».
Il disposait d’un ordinateur, mis à sa disposition par l’administration pénitentiaire. Il a fait entrer grâce à des complicités une clé USB, un routeur Wi-Fi, un téléphone et des puces téléphoniques. Des matériels introduits en fraude dans l’enceinte pénitentiaire. Ainsi a-t-il commandé, sur des sites autorisés, divers objets, produits de consommation courante, voyages, billets de train et d’avion, séjours à Disneyland, qu’il revendait ensuite à la moitié de leur prix sur le site internet Le Bon Coin. Il semble que notre génie de l’informatique soit passé par des sites russes et ukrainiens pour parvenir à ses fins. Il parvenait à récupérer les numéros associés à la date d’expiration, à leur cryptogramme et à l’identité du titulaire.
Une fois commandées, les marchandises étaient livrées aux domiciles de complices ou sous des noms d’emprunt. Il s’est ainsi vanté de générer un bénéfice mensuel de l’ordre de 20 000 à 30 000 euros. Chez sa mère, on a retrouvé, cachée derrière la tapisserie, une boîte en plastique contenant bijoux et liasses de billets. L’escroc en chef a reconnu les faits, mais refusé de livrer ses complices. Cinq proches ou suspects ont toutefois été jugés à ses côtés. Parmi eux, sa mère et son frère. Ils ont écopé de peines qui vont jusqu’à 18 mois ferme.
Abdelnord Djeddar, lui, a été condamné en son absence par la 6e chambre correctionnelle de Marseille à quatre ans de prison ferme, désormais assortis d’un mandat d’arrêt.
Nabil El Baz, déjà en détention pour une affaire de violence agresse un directeur d’école
Condamnés pour avoir agressé un directeur d’école à Châlons
Les faits se sont déroulés dans l’école élémentaire Lapie, dans le quartier du Verbeau à Châlons-en-Champagne.
L’affaire avait fait du bruit et ému les autres parents d’élèves de l’école, début octobre. C’était juste après le premier passage au tribunal du couple poursuivi pour avoir exercé des violences sur le directeur de l’école Lapie-Verbeau de Châlons-en-Champagne. Le dossier avait alors été renvoyé à une date ultérieure.
Les faits remontent au 29 septembre. Ce matin-là, dès 8 h 45, un élève particulièrement turbulent se bat avec l’un de ses camarades. Le directeur de l’établissement s’interpose, emmène le fautif dans son bureau. Comme il ne se calme pas, il appelle sa mère pour qu’elle vienne le chercher. Celle-ci arrive dans l’établissement scolaire à 11 h 30, avec son compagnon, qui n’est pas le père de l’enfant.
Rapidement, le ton monte. Elle accuse le directeur d’avoir maltraité son fils. La discussion s’envenime. Le beau-père, pour calmer la situation, demande alors un justificatif de la part de l’enseignant pour expliquer les nombreuses absences du « gamin » à l’académie. Devant le refus du directeur de l’école, la discussion déjà « tendue » dégénère. Deux instituteurs de l’école entendent « hurler » dans le bureau. La famille est priée de quitter les lieux. L’homme attrape alors un bâton qui sert de cale pour la porte, et le lance en direction du directeur. « Je voulais simplement le repousser, je n’aurais jamais osé le lancer dans sa direction. » Dans la foulée, sous les yeux des deux témoins, la mère envoie une gifle.
Jeudi après-midi, les prévenus étaient jugés au tribunal correctionnel de Châlons-en-Champagne. Nabil El Baz, déjà en détention pour une autre affaire de violence, a écopé de huit mois de prison ferme supplémentaires, plus deux mois de révocation d’un précédent sursis. Sa désormais ex-compagne, qui n’avait aucune mention sur son casier judiciaire, a, elle, été condamnée à six mois de prison avec sursis.
Khaled menace de mort et insulte une policière en civil à Franconville
Reconnue dans la rue, la policière a été agressée et menacée de mort
La jeune femme est choquée et va déménager. Victime d’insultes à répétition, elle a été blessée mercredi dans un tabac. L’agresseur a été condamné à six mois ferme.
Repérée à Franconville, une policière en civil a été agressée, en dehors de son service, puis menacée de mort par un « jeune » de 24 ans. Il a été condamné en comparution immédiate à six mois de prison ferme et a été incarcéré. Il devra verser 1 630 € de dommages et intérêts à sa victime qui, choquée, se prépare à déménager.
Une affaire qui trouve son origine le 9 juillet quand, à 8 heures, la policière, gardien de la paix à Cergy, intervient pour des jeunes, ivres, qui sèment le trouble dans l’hôtel Olivarius. Parmi les quatre interpellés, deux la reconnaissent et lui disent l’avoir déjà vue à Franconville.
Depuis ce jour, la fonctionnaire subit un harcèlement dès qu’elle se rend au tabac le Cyrano, à Franconville, acheter ses cigarettes, essuyant des insultes de la part de Khaled, sans doute informé de sa qualité de policière par ses amis interpellés à Cergy.
Mercredi, les insultes reprennent, le « jeune » franchit un palier. « Je lui ai dit qu’il fallait arrêter, que j’en avais assez », confie la policière à la barre du tribunal. Khaled insulte alors sa mère, qui l’accompagne. « Je suis revenue vers lui. Il avait un verre dans la main et me l’a jeté au visage. J’ai réussi à l’éviter, tout comme son crachat. Il m’a alors attrapé la figure avec la main en disant : je vais te fumer. Il m’a poussé et je suis tombée. » Ses blessures lui occasionneront un jour d’incapacité. Alors que la victime est au sol, l’homme entreprend de lui porter de nouveaux coups lorsque ses copains interviennent pour l’arrêter. La policière rejoint en courant le commissariat puis son agresseur quitte les lieux dans un Kangoo jaune. Un véhicule qui appartient au père du suspect et qui mène les enquêteurs de la sûreté départementale rapidement jusqu’à Khaled, interpellé jeudi.
Jugé pour violences sur personne dépositaire de l’autorité publique et menace de mort, il reconnaît les violences mais conteste avoir eu connaissance avant les faits du statut de sa victime comme de l’avoir menacée. « Avec mes camarades on parlait un peu fort. Elle a dû se sentir concernée. Elle a mal parlé. »
Deux ans de prison dont six mois avec sursis et mise à l’épreuve de deux ans, avec cinq ans d’interdiction de séjour à Franconville ont été requis.
1,4 millions d’€ de bénéfice pour les passeurs Albanais d’envahisseurs
1,4 million d’euros : c’est la fourchette basse de l’estimation des bénéfices réalisés en cinq mois par cette équipe de passeurs plutôt performants… mais trop confiants. Un trafic qui aurait porté sur 255 envahisseurs !
Le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer est une juridiction habituée aux affaires de passeurs. Mais c’est une procédure toute particulière qu’il a eu à juger cette semaine : un réseau albanais qui a sévi entre le 23 mars et le 10 août 2015. Les prévenus voyageaient sur la côte entre Normandie, Belgique et Hollande, à bord d’Audi et BMW…
Un réseau qui ne chômait pas : le trafic aurait porté sur 255 envahisseurs pour, au bas mot, 1,4 million d’euros de bénéfices. C’est une conversation entre un homme et un certain « Edi », le 4 février 2015, qui intrigue les enquêteurs : « Tu peux me prendre un client ? » Le numéro d’Edi -de son vrai nom Edvin Avdyli, 26 ans- apparaît dans l’ensemble des répertoires des clandestins interpellés. L’enquête se poursuit : écoutes téléphoniques, surveillances visuelles, investigations sur Facebook… Il y a aussi Sabah Gjana qui vit à Calais. Il est mis en cause par nombre de clandestins et est en relation avec Edi. L’enquête s’accélère : Ridvan Todaj fait également partie du trafic, et Saimir Avdyli, le petit frère d’Edi, remplacera à l’occasion son grand frère. Ce tout jeune homme sera d’ailleurs impliqué dans une bagarre à l’arme blanche avec un autre groupe de passeurs. L’interpellation des six prévenus aura lieu le 10 août 2015.
La juridiction revient sur les modes opératoires : des tarifs de 3 500 à 7 000 euros par client, des passages « garantis » et relativement confortables, avec la complicité du chauffeur. Il y a aussi les passages dans les remorques des camions, le transport dans les cache-palettes, sous les essieux des poids lourds (où les hommes étouffaient), et au pire, les transports en camion frigo… Dans un cas, on a retrouvé des mineurs et une femme enceinte dans un transport de glace, où la température était de -15ºC… Si les prévenus allaient chercher les candidats au voyage en Hollande ou en Belgique, la course était facturée entre 200 et 250 euros, et on leur faisait attendre le départ dans des hôtels bas de gamme. Le paiement se faisait en deux fois : un premier versement au commanditaire outre-Manche avant le départ, un second versement à l’arrivée. Au tribunal, les prévenus se défendent et affirment ne recevoir que 500 euros par opération, et travailler « chacun pour notre compte personnel. Il n’y a pas de chef… » Les opérations étaient toutefois quotidiennes. Le rôle des dames semble d’abord limité : il leur arrivait assez rarement de faire le guet, mais elles participaient également aux transactions financières et recevaient des virements bancaires conséquents.
Chacun des prévenus est entendu par la juridiction, tous minimisant leur implication. Les réquisitions de la substitute sont à la hauteur de leur implication respective, d’où des peines requises allant de 6 ans de prison ferme à quelques années de peines mixtes pour les jeunes femmes.
Edvin Avdyli et Sabah Gjana écopent chacun de 5 ans de prison ferme, et sont interdits de territoire français pour 10 ans. Saimir Avdyli est condamné à 3 ans de prison dont un an avec sursis simple, et 5 ans d’interdiction du territoire. Todaj Ridvan est condamné à 2 ans de prison ferme et interdit de certains départements (59, 62) pendant 5 ans. Les deux jeunes femmes écopent chacune de 12 mois de prison avec sursis simple.
L’UE réclame 339 000 euros à la Le Pen
Le gendarme de la lutte antifraude demande le recouvrement de 339 000 euros versés indûment à la Le Pen.
Vingt eurodéputés frontistes et leurs 77 assistants parlementaires sont rémunérés grâce aux fonds européens : 6 400 euros nets mensuels par élu, défrayé à hauteur de 4 320 euros maximum, couronné par une enveloppe pour payer leurs assistants de plus de 23 000 euros. Or, certains de ces employés seraient fictifs.
A tel point que le gendarme appelé l’OLAF, l’Office européen de lutte antifraude, demande le recouvrement de 339 000 euros versés «indûment» à Marine Le Pen, notamment pour avoir employé deux assistants à Strasbourg dont il soupçonne qu’ils travaillaient en fait tous deux uniquement pour le parti frontiste dont le siège est basé à Nanterre. Car ces fonds européens sont débloqués uniquement pour une activité «directement liée à l’exercice du mandat parlementaire des députés», selon l’article 33 des mesures d’application du statut des eurodéputés. Les deux employés concernés, Catherine Griset (ex belle-sœur de la Le Pen) et Thierry Legier, ont disparu du site du parlement européen depuis vendredi.
Catherine Griset aurait ainsi réussi la prouesse de cumuler sous l’actuelle et la précédente législature son activité au Parlement et ses responsabilités au cabinet de Marine Le Pen. Avant d’être promue, en février 2015, chef de cabinet de la présidente à Nanterre, au siège du FN !
Thierry Légier, a été embauché comme assistant local de la présidente pendant quelques mois à la fin de l’année 2011. L’assistant local d’un eurodéputé est notamment chargé de tenir la permanence de son employeur dans sa circonscription d’élection, en l’occurrence la région Nord-Ouest. C’est à lui que revient la responsabilité de faire le lien entre l’élu et ses électeurs. Or, à cette date, Thierry Légier, qui est son garde du corps, assurait la protection au quotidien de la Le Pen…
Du coup, la justice française est, elle aussi, aux trousses de l’appareil frontiste. Elle a lancé une enquête préliminaire pour «abus de confiance» concernant les salaires des eurodéputés du Front National pour la période couvrant 2010 à 2016. C’est l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) qui a hérité du dossier.
Le Front National, qui annonce d’ores et déjà deux référés dans cette affaire. L’avocat belge de Marine Le Pen, Ghislain Dubois conteste ainsi cette autorité.
France Télévisions: Le salaire mirobolant de Delphine Ernotte révélé
Selon le site BFM Business, la présidente du groupe audiovisuel pourrait toucher jusqu’à 400 000 euros brut par an, bonus compris…
France Télévisions vient d’être épinglé par la Cour des comptes : Delphine Ernotte, présidente du groupe audiovisuel, touche un salaire fixe de 322 000 euros brut par an, auquel peut s’ajouter un bonus pouvant atteindre 78 000 euros.
Ce montant est deux fois moins important que celui qu’elle percevait quand elle était à la direction d’Orange, mais il est identique à celui que recevait Rémy Pfimlin, son prédécesseur, Patrick de Carolis, émargeait à 240 000 euros brut en fixe, et pouvait espérer un bonus de 60 000 euros maximum.
Delphine Ernotte moins payée que certaines stars de la chaîne
D’après la Cour des comptes 191 salariés de France Télés toucheraient plus de 120 000 euros brut par an, 547 autres, plus de 96 000 euros et 1415 plus de 70 000 euros. Le rapport des experts de la rue Cambon dénonce des « pratiques critiquables », comme le cas de salariés en CDI qui perçoivent une rémunération additionnelle en provenance, par exemple, d’une société de production externe.
Le salaire médian à France Télévisions est de 49 320 euros brut en 2015, autrement dit, il y a autant de salariés qui perçoivent un montant supérieur que de salariés qui touchent un montant inférieur à cette somme. Le salaire moyen, lui, était de 62 900 euros en 2014.
Etranger
Monde
L’entité sioniste valide la construction de 1 600 logements dans le plateau du Golan occupé
Cette mesure s’inscrit dans le cadre d’une série de projets de constructions destinés à pallier la pénurie de logements en Palestine occupée
Le ministère des Finances a déclaré avoir approuvé un projet de construction à Katzrin, dans le plateau du Golan, visant à créer 1 600 nouveaux logements
Cette mesure s’inscrit dans le cadre d’une série de projets de constructions destinés à pallier la pénurie de logements en Israël.
Cette approbation ferra –on l’espère- déclencher des critiques de la part de la communauté internationale, pour qui le plateau du Golan est un territoire occupé.
Israël a volé le Golan des mains de la Syrie en 1967, et l’a annexé en 1981. Cette action n’a pas été reconnue par la communauté internationale.
Vidéo
Méridien Zéro – La Phalange Espagnole vidéo 1/3
https://www.youtube.com/watch?v=LifN9zcysR0
Radio
Orages d’Acier #38
ACAB
Dans cette émission, et dans le contexte que l’on sait, Fréquence Orages d’Acier lance le pavé dans la mare…
L’émission du 30 octobre 2016 est ici
Kiosque
Courrier du continent
Bulletin du Nouvel Ordre Européen
N° 583 de novembre 2016
Sommaire :
Mike Withney : Le plus grand braquage de l’histoire de l’humanité ; Robert Charvin : Les bombes US ne tuent pas de civils ; Les citations de Darius ; Arthur Kemp : Qu’est-ce que l’ethnonationalsime ; Gilbert Dubreuil : Lettre a un Ami trop tôt disparu ; Jacques Vecker :Acharnement judiciaire ; Paul Fouldre : Le revisionisme est-il officiellement reconnu ?; La Grande Dame allemande lourdement condamnée ; René-Louis Berclaz : Un Sida politique…
Abonnement annuel Suisse 40 CHF – UE 40 EUROS – Autres 45 CHF
Parait dix fois par an (périodique fondé en 1946 par G.-A. Amaudruz
Les Editions de Cassandra, case postale 141 CH-3960 Sierre (Suisse)
Ephéméride nationaliste
2 novembre 1755 : naissance de Marie-Antoinette d’Autriche
2 novembre1938 : naissance de David Lane
2 novembre 1976 : attentat contre Jean-Marie Le Pen
Agenda
6 novembre 2016 – Toulouse – Colloque de Jeune Nation
Sur le thème : « Mémoire des luttes anticommunistes : au temps des chemises ! »
13 h : ouverture des portes et buffet (25€)
15 h : stands et orateurs de plusieurs délégations européennes (PAF min 10 €)
18 h : clôture par l’allocution d’Yvan Benedetti
Renseignements et inscriptions : 07.89.39.82.74
© Jeune nation – 2016
Marie de Médicis, 1631, Antoine van Dyck
(Musée des beaux-arts – Bordeaux)
Nouvelle parution aux editions « Honoré Champion » (Slatkine).
http://www.honorechampion.com/fr/champion/10131-book-08533019-9782745330192.html
Le 14e Salon Maçonnique du Livre aura lieu les 19 et 20 novembre 2016.
http://i-m-f.fr/index.php
L’Espagne et le Portugal naturalisent près de 5 000 sépharades.
http://fr.timesofisrael.com/lespagne-et-le-portugal-naturalisent-pres-de-5-000-juifs-sepharades/
Porto, havre de paix pour les juifs d’Europe.
http://fr.visitportoandnorth.travel/Porto-et-le-Nord/Visiter/Artigos/Heritage-judaique-a-Porto-et-dans-la-region-du-Douro