Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont répondu à l’appel du Jour de colère hier à Paris ; la participation a été au-delà de toutes les espérances. La préfecture de police, particulièrement anti-nationale, a reconnu la présence de 17 000 personnes, pour un chiffre réel bien supérieur. Les organisateurs ont évoqué 120 000 manifestants.
Malgré ce grand succès – d’autant plus remarquable que certains cars en province ont été annulés et que la météo était exécrable – la manifestation a fait l’objet d’une censure quasi-absolue de la part des médiats télévisées pourtant présents sur place. Certains n’ont pas évoqué la manifestation, mais ont insisté sur les affrontements avec les policiers le soir.
Catholiques, défenseurs de la famille, petits patrons, défenseurs de l’équitation, bonnets rouges, avaient répondu à l’appel ainsi que la plupart des groupements nationalistes et identitaires. Civitas était largement représenté ainsi que l’Œuvre française derrière Yvan Benedetti et la banderole des Caryatides, comme le Parti de la France, le Renouveau français, la Dissidence, les Hommens, le Printemps français, etc.
Si certains participants se réclamant de l’humoriste africain Dieudonné ont finalement rejoint la manifestation, en fin de cortège, à l’inverse, les groupes proches du judaïsme politique tels que Résistance républicaine, le Bloc “identitaire” ou le Front national ont boudé et parfois dénoncé l’événement.
Les nationalistes et les identitaires – les vrais – ont défilé dans une excellente ambiance. Les chants succédaient aux slogans traditionnels « Bleu Blanc Rouge, la France aux Français », « Dissolution, pas question ! », « Qui vive ? France ! ».
Les organisateurs ont refusé la venue d’Yvan Benedetti à la tribune pour une prise de parole.
Dès la fin officielle de la manifestation, les policiers ont adopté un comportement agressif à l’égard des manifestants, bloquant des rues, et usant très rapidement de la force. La dispersion de la manifestation était annoncée à 18 h 08 ; à 18 h 11 les premières grenades lacrymogènes tombaient parmi la foule.
La police a procédé dès le début d’après-midi à des arrestations, qui se sont multipliés le soir. Au total au moins 250 personnes ont été interpellées, alors même qu’aucune dégradation n’avait été commise ; les mêmes policiers, sur les ordres de la préfecture de police et de Manuel Valls, avaient laissé Paris livrée aux casseurs afro-maghrébins en juin dernier, ne faisant que quelques rares interpellations, alors que les étrangers se livraient à de véritables émeutes et pillages.
Plusieurs sources indiquent que des violences policières se sont produites contre des manifestants pacifiques. Selon les autorités, quelques policiers auraient été blessés.
Les journalistes du système ont été copieusement hués. La présence de plusieurs groupes tels que la LDJ et des racailles antifascistes ont été signalés, mais ils n’ont pu se livrer à leurs habituelles lâches agressions. Les prostituées des FEMEN ont été rapidement interpellées par la police alors qu’elles s’approchaient du défilé.
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