Le samedi 15 février 2020, une délégation de nationalistes français s’est rendue à Dresde, pour participer, aux côtés de nos camarades allemands de « die Rechte » mais aussi des Hongrois de « Legio Hungaria » et des Bulgares de « l’Union Nationale Bulgare » à la commémoration du 75eme anniversaire de la destruction de la capitale saxonne par les bombardiers alliés, planifiée par le sinistre assassin, théoricien et artisan du meurtre de masse des civils par l’aviation, « Bomber Harris ».
En une nuit et deux jours, près de 1 300 bombardiers ont largué 2 431 tonnes de bombes « HE » (high explosive, à grand pouvoir explosif, comportant un régime de détonation supersonique), et 1 475 tonnes de bombes « IB » (incendiary bombs, soit des centaines de milliers de bombes incendiaires), lors de trois raids principaux (13 et 14 février) et d’un dernier raid le 15 février, soit plus de 3 900 tonnes d’engins explosifs et incendiaires. Les deux premiers raids de la RAF furent de 243 puis 529 Lancaster ; le troisième, le lendemain 14, par l’USAF, était de 316 B-17 accompagné de 100 à 200 chasseurs ; le quatrième raid, le 15 février, de L’USAF, était de 211 B-17.
Cette organisation méthodique visait à raser tout d’abord les immeubles, en attirant les secours en ville, pour ensuite détruire les gares et autres moyens d’évacuation, et enfin incendier la ville par des cercles concentriques de largages de bombes thermiques, destinés à piéger les survivants et à entraîner l’extermination pure et simple de toute vie.
Les historiens sont unanimes pour souligner la beauté de la ville. La croyance des habitants dans l’impossibilité d’une attaque massive était très répandue et les réfugiés de l’Est s’y dirigeaient spontanément. De plus, la ville était appelée par « Lazarett-Stadt » (la ville-hôpital) avec 22 hôpitaux, des écoles et bâtiments publics convertis pour soigner les blessés du front, ayant été ajoutés aux grands hôpitaux de la ville. Leur toit était peint en blanc avec une croix rouge, rassurant encore davantage les habitants. Contrairement aux autres grandes villes, il n’y avait donc pas eu de plan étendu de protection avec grands abris anti-aériens.
Des milliers de réfugiés qui fuient l’avancée de l’Armée Rouge et de soldats blessés, qui sont soignés dans 25 hôpitaux, s’entassent dans la ville dont il est difficile de déterminer précisément le nombre d’habitants. Selon des estimations, la ville est passée de 630 000 habitants à un regroupement de plus d’un million de personnes à l’époque, un flux de quatre millions de réfugiés de Silésie fuyant notamment sur ordre le front russe allant alors d’est en ouest.
Le recensement des survivants restés sur place, selon le décompte du 30 avril 1945, deux mois après l’attaque, fait état de 368 519 personnes.
Un premier compte de 200 000 morts s’appuie sur un rapport de police (Tagesbefehl -TB- Nr. 47) dont une copie de l’original a été retrouvée. Une estimation à 250 000 morts a été avancée par les Soviétiques.
Ce crime odieux a été au surplus parfaitement inutile et n’a en rien amoindri la vigueur des défenses allemandes locales, puisque c’est lors de leur tentative de conquérir la ville que les troupes soviétiques et communistes polonaises subirent une de leurs dernières défaites de la seconde guerre mondiale, à Bauzen dans les dernières semaines d’avril 1945.
L’impressionnant cortège silencieux des quelques milliers de manifestants, sur lequel flottaient les drapeaux de tant des nations de notre vieille Europe, en compagnie d’étendards noir sobrement ornées du rappel de ce jour de deuil, tranchait par son calme et sa détermination avec l’odieux ramassis des habituels déchets gauchistes, braillards receleurs du malheur de nos peuples depuis 1945 venu vomir sa haine et profaner le souvenir de nos morts.
La manifestation se termina par les discours de nos camarades allemands, hongrois, bulgares et aussi britanniques, témoignant du refus d’oublier et de pardonner aux assassins d’hier et à leurs héritiers aujourd’hui.
Les nationalistes français sont particulièrement sensibles à cet aspect odieux de la guerre d’anéantissement menée par les anglo-américains. En effet, même s’il s’agit dune réalité occultée par les vainqueurs de 1945, les bombes alliées ont tué, de Rouen à Royan, en 4 années, près de 80000 civils, soit non seulement plus que l’occupant durant la même période, mais également plus que ce que Luftwaffe elle-même n’a fait de victimes civiles britanniques en bombardant le Royaume-Uni !
Par delà les flammes de la destruction de la capitale saxonne, renait l’espoir de cette Europe forte et pacifique du nationalisme, éclairant le monde de son immortel génie.
Chacun de nous, par son militantisme, sa persévérance et sa fidélité, pose une pierre et contribue ainsi à la reconstruction de nos Nations, à la renaissance de notre Europe, de notre Forteresse Europe.
A quand une cérémonie à Raqqa « second Dresde » ?
« Regardez ce qui est fait à la Syrie, à la ville de Raqqa « second Dresde ».
« Non la France n’a pas participé à la destruction de Raqqa, mais elle a fait pire. »
http://clefsdufutur.fr/2016/12/message-du-26.12.2016-mstg-germain.html
quelle est (sont) la/l’es différence/s entre npd et Die Rechte