Les « grands électeurs » votaient ce dimanche pour renouveler la moitié du Sénat, l’inutile haute assemblée du Parlement de leur République. Sans surprise, la gauche sort très amoindrie du scrutin et ne devrait plus compter ce soir que 157 sièges ; elle en perd 22. Centristes et libéraux-conservateurs auraient conquis une vingtaine de sièges et devraient disposer de 189 élus au total.
Plusieurs personnalités de gauche ont été battues, comme le chef maçon Jean-Michel Baylet – président du Parti radical de gauche qui perd 2 autres sénateurs –, impliqué dans plusieurs scandales politicofinanciers, ou le successeur de François Hollande à la mairie de Tulle et l’ancien ministre Thierry Repentin ; l’antifamille Jean-Pierre Michel, rapporteur de l’ignoble loi contre le mariage et la famille, est également évincé.
Le scrutin a été marqué par l’élection de deux sénateurs pour le Front national, Stéphane Ravier à Marseille et David Rachline à Fréjus, ce dernier devenant à 26 ans le plus jeune sénateur de l’histoire. Cette élection fait figure de symbole avec la naissance de nouvelles oligarchies identiques aux anciennes : cet israélite n’a jamais travaillé de sa vie, n’ayant vécu, avant de bénéficier de son désormais siège de sénateur-maire, que de subsides versés par le Front national. L’élection de deux élus FN, au sein de l’inutile haute assemblée l’est d’autant plus qu’ils ne pourront pas former de groupe et ne disposeront d’aucun moyen pour faire entendre leur voix au Sénat.
La « victoire » des libéraux-conservateurs ne produira aucun changement non plus : comme le Front national, l’UMP ne reviendra ni sur la destruction du mariage, ni sur les 35 heures, ni sur la peine de mort, ni sur l’immigration ; la prétendue « opposition » au gouvernement ne proposera aucune politique pour la relance de la natalité des Blancs en France, pour lutter contre l’invasion et renverser les flux migratoires, contre la « repentance », pour détruire les oligarchies et mettre en place des politiques publiques de long terme respectueuses des hommes et de notre environnement.