L’ancien soldat allemand Erich Priebke est persécuté depuis bientôt 70 ans par l’extrême gauche italienne et les fils d’Israël. Cet officier que tous s’accordent à reconnaître comme un homme intègre et droit, âgé aujourd’hui de plus de cent ans, se voit reprocher d’avoir exécuté les ordres de sa hiérarchie en temps de guerre. En cause tout particulièrement, l’affaire des Fosses ardéatines, et les mensonges répandus depuis lors par les ennemis de l’Europe.
Le 23 mars 1944, un groupe de terroristes organise un attentat conçu pour être extrêmement meurtrier : au total, une vingtaine de kilos d’explosifs sont placés dans une petite rue. La bombe explose alors que la 11e compagnie du 3e bataillon du régiment de police SS « Bolzen », constitué de volontaires du Sud-Tyol, passe en chantant. Aussitôt après, les tueurs communistes ouvrent le feu sur les survivants et lancent plusieurs grenades.
L’attentat fait immédiatement 32 morts et 110 blessés parmi les soldats allemands. Un 33e soldat décède quelques heures plus tard et au total, du fait de l’extrême violence de l’attaque, 9 autres soldats meurent des suites de leurs blessures. Six civils sont également tués dans l’attaque aveugle.
Les tueurs du GAP (Gruppi di Azione Patriottica, Groupe d’action patriotique) n’ont pas choisi la date au hasard : le 23 mars 1944 est le 25e anniversaire de la fondation des Faisceaux de combat qui marque la volonté du peuple italien de s’opposer aux violences des bolcheviques en cours en Italie et de se tourner vers la révolution positive fasciste plutôt que vers le chaos comme en Russie soviétique.
La cible n’était pas innocente non plus : cette compagnie n’avait aucune formation militaire et n’était qu’un organe de simple police. Ces meurtres n’étaient justifiés par aucun objectif militaire, mais seulement par la folie criminelle des partisans communistes, particulièrement de Giorgio Amendola, qui a d’ailleurs soigneusement masqué la préparation du massacre à ses supérieurs, à ses camarades et aux Alliés, le tout sur fond de luttes d’influence des groupes terroristes rouges. Un terme qui convient parfaitement aux tueurs de la via Rasella, à tel point que des historiens (Richard Raiber, István Deák) ou des journalistes et des hommes politiques, y compris de gauche comme Marco Panella, ont établi le parallèle entre l’attentat de la Rue Rasella et les crimes des Brigades rouges.
Cette attaque modifie la position des autorités allemandes qui, jusque-là, ont toujours refusé de se livrer à des représailles. Faute de pouvoir arrêter les terroristes ou qu’ils se livrent, ils décident de mettre à mort 10 criminels pour chaque allemand tué. Dans les différentes prisons de Rome, les Allemands, aidés par les autorités italiennes, extraient 335 criminels déjà condamnés ou en attente de jugement mais dont le sort ne laisse aucun doute. Il s’agit essentiellement de terroristes rouges, membres du GAP, de l’organisation Drapeau rouge (Bandiera Rossa), de Justice et Action (Giustizia e libertà), du Parti d’action (Partito d’azione), dont une cinquantaine sont juifs, ainsi que des criminels de droit commun. Au total, ce sont 335 hommes – au lieu des 330 prévus – qui sont exécutés aux Fosses ardéatines le 24 mars 1944.
Les différents témoignages montrent que les soldats allemands ont eu une extrême difficulté à exécuter ces hommes, bien qu’ils fussent criminels, et que certains avaient le sang de leurs camarades sur les mains.
Erich Priebke était l’un des officiers chargés d’exécuter les 335 hommes aux Fosses ardéatines. Né le 29 juillet 1913, ce nationaliste allemand s’était engagé dès ses vingt ans au sein du NSDAP. Remarqué par Heinrich Himmler, il gravit rapidement les grades de la SS pour devenir capitaine.
Comme cela avait été confirmé dès l’après guerre par l’obersturmbannführer Herbert Kappler, chef de la Gestapo, lors de son procès, le capitaine Priebke avait simplement obéi aux ordres, comme tous les Allemands présents ce jour-là. Erich Priebke ne l’a jamais nié, et a reconnu avoir compilé les noms des criminels condamnés – que tous considéraient comme des terroristes et participé à leur exécution. Il a néanmoins fait savoir sa tristesse d’avoir dû exécuter cette lourde tâche.
Arrêté après la guerre, il s’était échappé d’un camp de concentration britannique et s’était installé par la suite en Argentine, où il vécut paisiblement jusque dans les années 1990. Traqué et retrouvé, il fut arrêté en mai 1994 et extradé vers l’Italie après 17 mois de détention en Argentine, à la fois sous la pression de l’influence communauté juive locale et de plusieurs gouvernements européens, notamment italiens et allemands. Malgré la prescription des crimes pour lesquels l’Italie voulait le poursuivre, il fut déporté et jugé.
Lors de son procès, Erich Priebke reconnut à nouveau avoir exécuté les ordres, édictés par Adolf Hitler, et rappelé la responsabilité des terroristes rouges dans ce massacre. Lors d’un premier procès, il fut reconnu innocent des crimes qui lui étaient reprochés. Le tribunal ordonna sa libération immédiate.
Immédiatement, l’extrême gauche et les milices juives organisèrent des manifestations violentes devant le tribunal, empêchant la libération d’Erich Priebke. Un homme reconnu innocent était donc gardé en prison sous la menace d’étrangers et de terroristes, en Italie, en 1996 !
Face aux pressions et aux menaces, un second procès fut rapidement organisé et le capitaine de la Waffen SS fut condamné à 15 ans de prison. Lors d’un troisième procès, les juges soumis à toujours plus de pression, lui infligèrent la réclusion criminelle à perpétuité. Il avait alors 85 ans. Sans preuve, il lui fut finalement reproché d’être responsable des cinq morts supplémentaires. Depuis, Erich Priebke n’a connu que la prison puis la résidence surveillée, sous la menace constante des milices juives ou antifascistes.
Il « fêtait » le 29 juillet dernier son 100e anniversaire. Un triste anniversaire pour cet Européen emprisonné, soumis à la fureur de ses ennemis, devant une justice et une police complice. Les journalistes inventèrent une histoire d’anniversaire pour créer des attroupements devant son lieu de résidence. Juifs et antifascistes allèrent, en toute impunité, jusqu’à agresser des personnes qui venaient le visiter.
La réaction à l’époque de l’un de ses avocats, Me Paolo Giachini :
De son côté, Erich Priebke reste droit et courageux, comme en témoigne cette vidéo réalisée lors des dernières fêtes de Noël :
Pour l’honneur de l’Europe et par humanité envers un vieil homme : Liberté pour Erich Priebke !
Le site d’Erich Priebke : http://www.erich-priebke.de/
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