Selon national-justice.com, un historien israélien a découvert que les « six millions » de victimes de l’Holocauste ont été inventés lors d’une conférence sioniste en 1944. Mais les lecteurs de Jeune Nation savent que l’origine du chiffre de six millions remonte bien plus loin que cette-année-là… (cf : « Le Dieu Six » ou « Six juin, Six millions, Six août ». Et Bocage-Info propose à ce sujet le livre qui fait autorité en la matière : Don Heddesheimer, L’Holocauste avant l’Holocauste, ou l’histoire d’un chiffre qui rapporte (Préface de Germar Rudolf, La Sfinge, 2014, 256 pages, Diffusion AKRIBEIA)
Le directeur des archives du Centre Elie Wiesel à l’Université de Boston et historien de l’Institut de recherche sur l’Holocauste de l’Université Bar-Ilan, Joel Rappel, a découvert l’origine des tristement célèbres six millions : une réunion en 1944 d’organisations sionistes dans ce qui est maintenant connu comme l’Etat d’Israël.
Pendant des années, les partisans du récit de l’Holocauste ont soutenu que ce chiffre était apparu pour la première fois lors des procès de Nuremberg en utilisant le témoignage hautement discrédité du commandant d’Auschwitz Rudolf Höss. Le chiffre de six millions a de nouveau été validé par Adolf Eichmann, qui a été kidnappé par le Mossad et forcé de participer en Israël à un procès-spectacle international télévisé de 1962.
Selon des documents des archives sionistes centrales, la première mention de la revendication de six millions de victimes a eu lieu le 19 janvier 1944 lors d’une réunion de dirigeants sionistes en Palestine – plus d’un an avant la fin de la guerre en Europe et un an avant que l’Armée rouge n’entre à Auschwitz.
Eliezer Unger, un Juif polonais qui a contribué à diriger l’organisation de jeunesse sioniste religieuse Hashomer Hadati, est la source principale dans l’évaluation du nombre de Juifs tués par les nazis. Unger a affirmé s’être échappé de son ghetto polonais à travers l’Europe de l’Est. Après son arrivée en Palestine, il a déclaré son intention « de choquer le monde entier, toute l’humanité et nos frères les enfants d’Israël en particulier ». Unger n’avait aucune preuve de ce qu’il avançait, mais il ne croyait pas que les affirmations du rabbin Stephen Wise publiées par les médias internationaux en 1943, selon lesquelles deux millions de Juifs auraient été tués, avaient suffisamment d’impact.
Après qu’Unger eut rencontré des groupes juifs pour qu’ils se mettent d’accord sur le chiffre des estimations, « Haaretz » a publié un petit article quelques jours plus tard qui, pour la première fois, mettait le chiffre de six millions en avant, précédant de la sorte les aveux des dirigeants allemands, extorqués sous la torture après la guerre. Il ne semble pas qu’Unger ait mentionné quoi que ce soit à propos des chambres à gaz homicides.
L’article de « Haaretz » met fin à la spéculation depuis que le procureur en chef du procès Eichmann, Gideon Hausner, avait déclaré à propos du chiffre de six millions : « Dans la conscience de la nation, le nombre de six millions est devenu sacré. Ce n’est pas si évident de le prouver. Nous n’avons pas toujours retenu ce chiffre dans nos documents officiels, mais il est maintenant devenu sacré » En d’autres termes, ce chiffre repose sur une affabulation.
Après des décennies d’attentats, de procès et de persécutions des révisionnistes de l’Holocauste, il semble que la communauté juive soit maintenant obligée de recalibrer son discours et de céder du terrain : ils commencent maintenant à admettre que les six millions ne sont rien d’autre qu’un chiffre symbolique issu de la propagande sioniste : un coup dur porté au mythe dans son ensemble.
Source : Bocage-Info
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