Si les locaux abritant le moindre bulletin anti-Poutine à Moscou, sioniste à Téhéran, capitaliste à Pyong Yang avaient subi le dixième de l’attaque menée contre Proto Thema en Grèce, toutes les mafias politico-médiatiques mondialistes auraient organisées à travers le monde des pétitions, des marches, des manifestations pour soutenir la « démocratie menacée » et « l’indépendance de la presse en danger ».
Hier soir, en Grèce, ce sont donc les locaux de Proto Thema qui ont été la cible d’une véritable attaque terroriste. Ce journal est pourtant un journal du système comme les autres, l’un des plus lu du pays, duquel tous les médiats du système devraient se sentir solidaire. Son erreur avait été de parler de l’agression commise par les antifascistes à Athènes, suite à laquelle une racaille rouge était décédée. Le journal avait publié les comptes-rendus des policiers intervenant sur place ce soir-là, évoquant la présence de nombreux groupes mobiles et armés, et la survenue de plusieurs affrontements. Proto Thema, enfin, avait publié une photo du corps après l’affrontement.
Autant de motifs qui ont conduit les terroristes rouges grecs à perpétrer un raid contre le siège du journal, situé dans un quartier résidentiel d’Athènes. Depuis des décennies, les terroristes rouges ont multiplié les attentats à la bombe contre des commerces, la police, des locaux de l’État, des opposants politiques. Hier soir, ce sont donc les locaux d’un journal qui ont été visés, dans le but évident d’intimider les journalistes, ainsi que les voitures garées à proximité. Les assaillants ont brisé des fenêtres, détruit des meubles à coups de marteaux ou en jetant des pavés. Plusieurs bureaux ont été saccagés. Il a été noté l’utilisation de bombes de peintures et d’autres matières salissantes. La vingtaine de racailles rouges est repartie tranquillement, bénéficiant comme à l’accoutumée de la mansuétude du pouvoir grec pour les antifascistes.
Le ‘rappeur’ Pavlos Fyssas un activiste anarchiste de 34 ans, avait participé la semaine dernière à l’attaque d’un bar où des Grecs regardaient le match de football Olympiakos-PSG. Ces derniers avaient appelé des amis en renfort et durant les affrontements, le ‘rappeur’ avait été poignardé alors qu’il attaquait un homme. George Roupakias, qui défendait sa vie et celle de ses amis, a reconnu ne pas être membre de l’Aube dorée – malgré les mensonges répandus à volonté par les médiats grecs et occidentaux. En état de choc, interrogé sur place par des policiers sur la raison de son geste, il avait répété : « parce qu’il m’a frappé… » (“Γιατί βάρεσε έναν δικό μου…”).
Bien qu’il n’appartienne pas à l’Aube dorée et qu’il a agi en état de légitime défense, les menaces de dissolution contre l’Aube dorée persistent. Les politiciens du système y voient l’opportunité d’éliminer un sérieux concurrent politique. Ils y sont parvenus en partie en manipulant l’opinion par l’intermédiaire des médiats : dans les derniers sondages publiés avant la mort de l’antifasciste, l’Aube dorée totalisait 10 à 15 % des intentions de vote. Depuis, le mouvement nationaliste aurait perdu quatre points, selon le seul sondage réalisé depuis.
Dans un climat extrêmement hostile, mais bénéficiant du soutien des couches populaires, Nikos Michaloliakos, le chef de l’Aube dorée, a rappelé que « les criminels étaient ceux qui ont conduit le pays à la faillite et ont bradé sa souveraineté ». La Grèce, en proie à une immigration sauvage destructrice, voit son économie décliner sans fin. Le taux de chômage atteint désormais 30 %.
Nikos Michaloliakos a mis en garde contre l’interdiction du mouvement, qui conduirait à une déstabilisation du pays dont l’Aube dorée ne pourrait être tenue pour responsable. Face à ceux qui détruisent la Grèce, les politiciens vendus, il a martelé : « nous allons défendre l’unité du pays ! »
Les députés de l’Aube dorée sont arrivés au Parlement accompagnés par de nombreux gardes du corps suite aux menaces des groupes terroristes rouges contre le mouvement patriotique grec, terroristes sûrs de leur impunité qui ne s’est jamais démentie – y compris hier – alors qu’ils n’ont jamais hésité à tuer.
Si l’Aube dorée a été la cible de très nombreuses attaques ces dernières années, c’est toute la société civile grecque qui a la cible des fanatiques communistes ou anarchistes. Il est nécessaire de rappeler, alors que l’Aube dorée tente d’instaurer un ordre, les partisans communistes ne visent que la destruction et la mort. Entre 1975 et 2000, lors de centaines d’actions terroristes, l’Organisation révolutionnaire du 17-Novembre a tué au moins 23 personnes.
La « Secte des révolutionnaires », créée en décembre 2008, a déjà revendiqué deux meurtres. Le premier a été l’exécution d’un simple policier qui assurait la garde d’un témoin dans une affaire de terrorisme. Le second a été le sanglant assassinat du journaliste d’investigation Sokratis Giolias. Alors qu’il sortait de chez lui le 19 juillet 2010, il a été tué de 16 balles. Il était assassiné alors qu’il s’apprêtait à publier une grande enquête sur la corruption minant le pays et dont les premiers profiteurs sont les terroristes rouges. Ses assassins n’ont jamais été retrouvés. Aucune organisation d’extrême gauche n’a été interdite suite à ses assassinats politiques de sang froid.
Un constat qui devrait inspirer notre bon Manu le Chimique, un peu minable avec ses tabassages de mères de famille et gazages de nourrissons et retraités, dissolutions de groupes pacifiques, comparé à ses collègues grecs, élevés à la tendresse propre à l’Entité sioniste. L’Internationale des polices à la mode des tueurs de Palestiniens, le rêve de tout locataire de Beauvau. Justement, ça occupe tout le cerveau de l’actuel.
Vous pensez à Jeune Nation qu’il y a un marché pour une officine sioniste à Téhéran ? je cherche une petite activité pépère dans un pays attractif… Je m’adresse à la Chambre de commerce iranienne pour des renseignements ?
On nous dit qu’ils sont partout, ça doit bien être un peu vrai ! N’empêche, même si les locaux du « Bulletin interne de liaison de la communauté juive antisioniste de Téhéran » avait été attaquée, quel ramdam… (un soir de shabbat quand même…).