L’agence de presse révisionniste Bocage a diffusé une lettre concernant le sort du prisonnier politique Gerd Ittner.
Né en 1958, Gerhard Ittner est un patriote allemand persécuté par le gouvernement d’occupation en Allemagne depuis des années. Né dans une famille d’artisans travaillant le bois, il se destine à l’origine comme ses ancêtres à devenir menuisier ou charpentier. Remarqué pour ses talents graphiques et intellectuels, il rejoint l’Académie des Beaux-Arts et étudie la linguistique à l’université, se spécialisant dans les langues indo-européennes, l’indologie et l’archéologie.
Gerd Ittner a été membre de l’Union populaire allemande (Deutsche Volksunion, DVU), puis du Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD, Nationaldemokratische Partei Deutschlands) et est en contact avec la plupart des mouvements nationalistes radicaux allemands. Il est venu à la politique par la répression contre les historiens révisionnistes et la censure des idées nationales-socialistes. Cela l’a amené à ouvrir les yeux sur la réalité de la « démocratie » allemande, la rééducation des enfants allemands, la complicité et la confusion de tous les pouvoirs, politiques, judiciaires, médiatiques, l’ampleur de la propagande antiallemande et les mensonges historiques.
Depuis 2003, Gerd Ittner est l’objet des persécutions de la dictature allemande, qui ont conduit à un procès à la fin de l’année 2004. Après 18 jours d’un procès truqué dont l’issue ne faisait aucun doute, Gerd Ittner est entré dans la clandestinité et ne fut pas retrouvé, malgré les attaques et les pressions de la police contre plusieurs membres de sa famille. Il a poursuivi durant plusieurs années son travail militant, en Iran, en Argentine, au Portugal, où il fut arrêté, le 11 avril 2012, avant d’être déporté vers l’Allemagne et incarcéré.
Dans ce récent courrier, Gerd Ittner annonce qu’il a comparu dans un nouveau procès le 26 août. Il était accusé d’avoir prononcé un discours contre la guerre en Irak le 22 mars 2003, où il dénonçait l’action criminelle d’Israël et des États-Unis dans cette agression. Dans des conditions scandaleuses – il fut transféré pieds et poings liés, enfermé dans une cellule filmée en permanence, ses propres habits lui furent pris pour le contraindre à porter un jean – il fut emmené à Erfurt, à 150 kilomètres de sa prison de Bayreuth. Refusant ces humiliations, Gerd Ittner déclara au juge :
« Je ne peux pas me défendre avec des habits dans lesquels je ne me sens pas moi-même et qui représentent un mode de vie auquel je suis fortement opposé. »
avant de les retirer en pleine audience. Le procès fut reporté, d’autant que son avocat n’était pas présent.
Il est possible d’écrire au prisonnier, en allemand, à l’adresse suivante :
Monsieur Gerd Ittner
JVA St. Georgen
Markgrafenallee 49
D-95448 BAYREUTH
(Allemagne)
Il est mis à l’index comme autrefois les livres qui déplaisaient à l’église catholique.
Les inventeurs de la nouvelle religion, la shoah, n’acceptent pas la critique qui détruit leur mensonge à tout coup.
La guerre qui s’en vient devrait éclairer tout ça..!