L’UNSA éducation se lamente sur la situation dans le département le plus envahi de France, la Seine-Saint-Denis. Les problèmes en milieu scolaire y seraient cumulés et plus graves qu’ailleurs : postes non pourvus – 450 à la rentrée –, retards de paiement, du personnel administratif débordé et démoralisé. Le désespoir y serait général. Pourtant, la Seine-Saint-Denis est l’une des rares zones de France où de nombreux postes sont à pourvoir et ne le sont pas faute de candidat. Pour quelle raison les jeunes professeurs refusent d’aller dans ce département pourtant proche de Paris et offrant de nombreuses opportunités ? L’UNSA refuse de le dire.
S’il refuse de simplement énoncer les raisons du naufrage de l’Éducation nationale en Seine-Saint-Denis, le syndicat exige pourtant un « traitement spécifique de grande ampleur ».Il ne s’agit nullement d’éradiquer l’invasion, la défrancisation et la criminalité par des mesures aussi radicales qu’expéditives : bien au contraire, le syndicat d’extrême gauche ne demande au gouvernement que de gérer la situation rendue impossible par la présente d’étrangers désormais majoritaires.
Parmi ses propositions, l’UNSA suggère même de favoriser le « recrutement local » (sic) pour les emplois d’avenir, alors qu’ailleurs en France, ils sont accessibles aux étudiants boursiers. Un bon moyen pour certaines racailles de cités de trouver un poste pour échapper à la prison ou pour se rapprocher plus directement encore du consommateur… Autre fait étrange : en Seine-Saint-Denis, même les boursiers issus des quartiers occupés refusent de s’occuper de leurs frères et sœurs. Eux aussi préfèrent quitter le plus rapidement possible « leur » département.
Mais l’essentiel, pour l’UNSA, c’est de proposer une (très forte) augmentation : 500 euros de plus par mois que dans les autres départements.
Cela permettra aux syndicalistes stipendiés de continuer à mentir aux Français sur la réalité du problème de la Seine-Saint-Denis et de la France et de se servir de l’argent des adhérents pour « lutter contre l’extrême droite ».
L’antiracisme est dans certains cas une maladie psychiatrique, qui se soigne… par l’euthanasie.