S’il a dans le passé participé ou fait assassiner de nombreux Français, le président algérien Abdelaziz Bouteflika n’a pas d’autre recours que la France. Sérieusement malade, il refuse de se faire soigner dans son pays, dont il connaît l’état désastreux, 50 ans après « l’indépendance » ; il craint également d’être éliminé par l’un de ses concurrents, même s’il n’est plus depuis longtemps le véritable chef du pouvoir en Algérie.
Âgé de 77 ans, il a été admis dans une « clinique mutualiste », la clinique Alembert de Grenoble, dans un service spécialisé en cardiologie et maladie vasculaire. Si les conditions sanitaires et médicales des Français ne cessent de se dégrader, si les médicaments sont déremboursés, des hospitalisations refusées ou écourtées faute de place, ce n’est pas un problème pour les tueurs de Français : Abdelaziz Bouteflika a obtenu un étage entier pour lui tout seul. Cette clinique aurait été choisie parce qu’y officie un médecin suivant le président algérien depuis ses premiers graves problèmes de santé.
L’ennemi du colonialisme a été opéré à au moins cinq reprises chez les « méchants colons ».
Alors que la police déserte les quartiers occupés, laisse les criminels étrangers agresser les Françaises dans les gares, le gouvernement a mobilisé une compagnie de CRS devant la clinique ainsi que de nombreux autres policiers.
c’est honteux de voir ça nous français on ne peut meme p