Dans la nuit de lundi à mardi au début de cette semaine, une femme de 22 ans – prénommée Shéhérazade – avait été agressée à la sortie d’une boîte de nuit à Paris alors qu’elle se trouvait avec une amie. Elles ont été abordées vers 4 heures du matin, rue Lappe (XIe arrondissement), par un groupe de quatre racailles, dont l’appartenance à une ethnie non européenne n’a pas été précisée, qui les auraient « draguées ».
« Il pourrait s’agir d’une drague qui a mal tourné à l’issue d’une soirée »
a osé déclarer une source policière. Devant la méfiance et le refus des jeunes filles, peut-être visée par une tentative de vol, l’une des quatre racailles a frappé la victime d’un coup de tournevis en pleine tête avec une grande violence. L’outil a pénétré de plus de cinq centimètres dans le crâne de la jeune femme, provoquant une très grave blessure. Après trois jours d’hospitalisation, la jeune femme est décédée ce vendredi.
Seul le meurtrier a été arrêté. Il s’agit d’un criminel multirécidiviste âgé de 25 ans. Comme plusieurs dizaines de milliers d’autres multirécidivistes libres dans les rues de France, il avait été laissé en liberté par Christiane Taubira et Manuel Valls malgré son implication dans 37 affaires. Après son crime, il avait tranquillement pris un bus pour rentrer chez lui.
Il avait été mis en examen pour tentative de vol en réunion et tentative de meurtre et devrait l’être pour homicide volontaire. Les médiats, qui n’hésitent pas à dévoiler les noms de Français innocents dans le seul but de leur nuire, ont caché le nom du criminel.
Aucun de ses trois complices n’a été interpellé. Même s’ils l’étaient, ils seraient probablement relâchés aussitôt.
Rappelons qu’un « kit » pour vanter la politique catastrophique du gouvernement d’occupation vient d’être publié. Dans le point concernant la sécurité, le gouvernement a « oublié » de parler des agressions contre les personnes. Sans doute n’est-ce pas ce « qui touche le plus les Français ».