L’immigration plus forte que jamais en France comme en Europe
Selon ce document, « les pays de l’ocde accueille [sic] aujourd’hui plus de 115 millions d’immigrés, soit environ 10 % de la population », auxquels il faut ajouter 58 millions de personnes nées dans un pays de l’OCDE et ayant au moins un parent immigré, soit un total de 173 millions d’individus.
L’organisme ultralibéral imposé par les Américains aux Européens ne s’inquiète évidemment pas du sort des autochtones des pays envahis, de la charge sociale que représentent les immigrés, des coûts incommensurables en termes de sécurité et d’emploi, mais surtout raciaux, culturels et civilisationnels.
Car si les « immigrés représentent plus d’un cinquième des nouveaux chômeurs » – c’est-à-dire plus de deux fois plus que les natifs du pays – ce qui importe à l’OCDE c’est que « les politiques migratoires et d’intégration [sic] doivent tenir compte de ces changements ». Il convient de lutter contre « l’hostilité de l’opinion publique » incapable de voir « les bénéfices en termes d’emploi [qui] ne seront visibles qu’à long terme ». L’introduction du rapport présente l’agenda mondialiste : favoriser « les demandes des employeurs qui souhaitent pouvoir recruter rapidement », offrir aux colons « un traitement juste et équitable », « éviter de stigmatiser ». Ce rapport ne consiste pas à poser des questions, mais à apporter des réponses justifiant l’invasion des pays blancs et exigeant des gouvernants qu’ils accentuent le mal créé par cette politique.
Les immigrés foncièrement positifs, les Blancs foncièrement négatifs
L’ensemble du rapport est imprégné de racisme antiblanc. Les exemples abondent mais l’un d’eux est particulièrement frappant. À aucun moment, les déprédations commises par les immigrés ne sont évoquées ; pas une seule ligne n’est consacrée aux crimes commis par les « migrants » sur les terres colonisées, rien sur les nuits d’émeutes, les Blanches violées, les enfants rackettés, les Européens assassinés, les destructions culturelles. À l’inverse, les immigrés sont tout au long du rapport présentés comme des personnes entreprenantes, volontaires, travailleuses, discrètes, efficaces, mais en plus mal employées, souffrant de discriminations, de problèmes plus graves que les autochtones.
Un sous-titre du rapport résume parfaitement cette attitude : « Autre facteur souvent [sic] sous-estimé : la discrimination envers les immigrés. Les immigrés déploient des efforts particuliers pour compenser ces difficultés ». Dans l’univers mental des racistes, non seulement « les » (c’est-à-dire le groupe dans sa totalité) immigrés apportent de façon permanente et absolue un gain positif aux sociétés qui les « accueillent », mais de surcroît, quand celles-ci les discriminent, les immigrés héroïques font des « efforts particuliers pour compenser ces difficultés ». C’est donc tout logiquement que l’OCDE préconise que les immigrés ne doivent fournir aucun effort alors que les pouvoirs publics sont tenus de mettre en place des dispositifs pour « identifier les compétences », organiser des « formations passerelles », « coordonner l’action publique », « naturaliser pour assurer un meilleur devenir professionnel », « soutenir les enfants d’immigrés », « remédier à la concentration des migrants », mettre en place « des politiques en faveur de la diversité ».
Pour être très clair, les immigrés doivent devenir des supercitoyens, et l’OCDE l’annonce sans ambages : ils doivent être employés en priorité par les pouvoirs publics car : « l’emploi dans le secteur public peut être un important facteur d’intégration » ; les patrons doivent « s’impliquer dans la procédure de reconnaissance et de validation », « dépasser leurs incertitudes » ; les immigrés doivent encore faire l’objet de mesure de discrimination positive – c’est-à-dire que les Blancs doivent, sur leur propre terre, faire l’objet de discriminations –, devant être plus représentés « dans les programmes les plus efficaces ». Les auteurs vont encore plus loin en incitant à censurer les informations négatives concernant l’immigration, ce qui « encourage les pratiques discriminatoires » et peut « avoir un impact sur le comportement des immigrés eux-mêmes ».
Il est à noter que si les statistiques qui valident le constat fait par les nationalistes depuis de nombreuses années sont sourcées, de nombreux passages, notamment ceux qui font l’apologie de l’invasion, ne font l’objet d’aucune source ni note. Ainsi, dans l’exemple suivant, sont évoqués « certains pays » et des politiques « qui se sont souvent avérées efficaces ». Aucune étude n’est évoquée, pas même une pseudo thèse sociologique ou un rapport parlementaire bidon.
Discrimination positive, loi « antiracistes », répression des actes de résistance, CV anonyme : tout l’agenda mondialiste diffusé en France depuis de nombreuses années par certains médiats et politiciens est résumé.
« La façon la plus efficace de réagir consiste à adapter un système dynamique de gestion des migrations et un dispositif adaptable et souple en faveur de l’immigration »
précise l’OCDE dans son introduction, prétendant encore que, face à des opinons publiques irrationnelles et « peu conciliantes » (sic), car n’ayant pas compris le caractère positif de l’invasion, « les migrations sont des agents rationnels qui adaptent rapidement leurs comportements face aux changements dans les politiques publiques ».
« Il faut voir dans les migrants une ressource et non pas un problème et dans les politiques d’intégration un investissement qui permettra de tirer le meilleur parti de leurs compétences »
Alpha et oméga de toute vie, l’immigration, est par essence positive selon les auteurs du rapport, contrairement aux Européens qu’ils n’osent pas traiter ouvertement de racisme, mais l’accusation est clairement exprimée. Au contraire :
« Les migrants peuvent contribuer à la croissance économique de multiples façons »
Et le génocide des Blancs n’est pas loin quand ils précisent : « il ne s’agit pas non plus de trouver une formule magique qui ferait que tout le monde y gagnerait ». Or, pour les auteurs du rapport, les « migrants » doivent bénéficier des politiques publiques, comme les élites politiques et les financiers internationaux. Le seul à devoir y perdre reste le peuple.
Cela permet de mesurer toute la nocivité de cette arme de combat contre l’Europe qu’est l’OCDE, le bras économique de l’Amérique, pendant de son bras armé que fut l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN).
L’invasion en chiffre
Au-delà de ses objectifs et de ses préjugés pro-invasion et antiblancs, le rapport propose des statistiques qui permettent de caractériser l’ampleur du drame de l’invasion dans l’Occident. Il faut cependant conserver à l’esprit qu’il s’agit de chiffres largement sous-évalués puisque, ce rapport l’affirme, cacher des informations aux Européens est nécessaire pour ne pas provoquer le rejet de l’invasion.
Pour l’ensemble de l’OCDE, l’invasion a fortement augmenté (+1,1 %) entre 2012 et 2013.
Contrairement aux mensonges réitérés à plusieurs reprises y compris dans le corps du texte du rapport, les chiffres de ce dernier sont très clairs, et les auteurs sont obligés de le reconnaître : « les migrations familiales représentent toujours l’essentiel des flux migratoires ». Pire encore : alors que le facteur économique est mis en avant et que les migrations en général croissent, les migrations de travail ont chuté de 12 % ; et « dans l’espace économique européen, les migrations de travail ont reculé de presque 40 % entre 2007 et 2012 ». C’est bien une colonisation parasite qui est organisée très loin des mythes des migrations de travail.
Dans l’OCDE, 12,5 % des enfants de 15 ans ont deux parents nés à l’étranger. C’est 50 % de plus qu’il y a dix ans.
La France de plus en plus touchée par l’invasion
L’immigration de pays non européens vers la France a très violemment progressé en 2012 (+8 % en un an, +21 % en cinq ans) ; 258 900 étrangers « permanents » se sont installés sur notre sol en 2012, plus d’un million en cinq ans. Cela est d’autant plus grave que, pour les pays hors OCDE, les « migrants » sont très majoritairement des Africains (61 %).
L’Allemagne est désormais nettement devant avec 450 000 étrangers ayant franchi les frontières allemandes en 2014 ; tous les pays d’Europe de l’ouest sont touchés, certains comme le Luxembourg, étant en voie de submersion totale avec près de 50 % d’étrangers.