Vendredi dernier, un criminel afghan avait poignardé au hasard dans les rues de Dijon des passants, blessant l’un d’eux au visage en tentant de l’égorger. Il s’agissait de la seconde attaque terroriste liée à l’invasion en dix jours dans la ville.
Le criminel est un « réfugié politique » âgé de 27 ans, hébergé aux frais du contribuable dans un « foyer ».
Une nouvelle fois, la justice d’occupation, qui considère les groupes patriotes comme dangereux et les interdit, a nié le caractère terroriste de l’attaque et a refusé de le lier aux politiques d’invasion du gouvernement.
Selon Marie-Christine Tarrare, l’agent du gouvernement au tribunal de Dijon, « à ce stade de l’enquête aucune dimension terroriste n’est retenue ». L’attaque de Français par des colons étrangers serait donc un « accident » pour les magistrats antifrançais.
En garde à vue, le « réfugié politique » a nié être l’auteur des faits. Cela a permis au procureur de parler d’une « nature [de] propos […] un peu confuse ». Les magistrats vont-ils une fois encore qualifier le terroriste de « malade mental » ? Cela permettrait au système d’éviter un procès, le procès de leur République, qui accorde à n’importe quel étranger des « titres de séjour », leur permettant de s’attaquer en toute impunité à la population, et de sa politique migratoire
Une précédente attaque à Dijon le 21 décembre avait été commise par un étranger. Le crime intervenait quelques jours après la diffusion d’une vidéo publiée par l’État islamique (ÉI) appelant à attaquer les Français sur le sol national. Le terroriste, qui avait écrasé treize passants, avait commis son acte en criant « Allah Akbar ». Les faits commis clairement dans un but de terreur sont désormais qualifiés par la presse aux ordres de « rodéo d’un automobiliste fou ». Son geste a été placé sur le compte de problèmes « psychiatriques lourds et anciens ».