Alors que la police avait comptabilisé 17 500 participants lors de la dernière marche des Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident (PEGIDA, Patriotische Europäer Gegen die Islamisierung des Abendlandes ou Pegida) à Dresde fin décembre, les autorités ont annoncé que 18 000 Allemands étaient descendus dans la rue lundi. Il s’agissait du onzième rassemblement de ce type dans la ville.
Le système s’était pourtant mobilisé comme jamais contre la marche hebdomadaire contre l’islamisation. À plusieurs reprises, et notamment lors de ses vœux, Angela Merkel a dénoncé PEGIDA.
« Aujourd’hui, beaucoup de gens crient aussi tous les lundis ‘Nous sommes le peuple’… Mais en fait ils veulent dire : ‘vous n’avez aucune place ici, en raison de votre couleur de peau ou de votre religion. A tous ceux qui participent à ces manifestations, je dis : ne suivez pas ces gens-là ! Car, dans leur cœur, trop souvent, il y a des préjugés, de la froideur, et même de la haine ».
avait-elle alors lancé, comme si la froideur, les préjugés ou même la haine devaient être repoussés quand il s’agit de lutter pour la survie de son peuple, contre les mensonges et les génocideurs. Les Allemands l’ont bien compris en se mobilisant plus que jamais malgré des conditions météorologiques délicates – 2° et une bruine glaciale et surtout les coups bas du système. Les rangs des antifascistes, des défenseurs du grand patronat, des chefs d’Églises corrompues diverses, étaient beaucoup plus clairsemés et la presse pourtant favorable n’évoque que quelques « centaines de personnes ».
Les institutions avaient mis en place diverses actions pour tenter d’empêcher la bonne tenue de la manifestation. Outre la mobilisation des extrémistes et une police très présente, de nouvelles mesures avaient été décidées : ainsi, l’usine Volkswagen a été plongée dans le noir par sa direction, qui s’est fendue d’un communiqué :
« Volkswagen est pour une société ouverte, libre et démocratique »
y est-il précisé. La marque a été fondée par Adolf Hitler durant le régime national-socialiste qui lui donna ce nom en 1936.
Si la société était alors certainement plus libre et démocratique qu’aujourd’hui, elle était certainement moins ouverte, à l’invasion en tout cas, que maintenant. Autre infamie, le Semperope, l’opéra de Dresde a également été plongé. Alors qu’il était considéré comme l’un des plus grands opéras au monde sous le national-socialisme, il fut quasiment totalement anéanti lors de l’holocauste déclenché par l’aviation anglo-américaine contre la population civile de Dresde en février 1945.
Dans d’autres villes, des cortèges se sont formés, comme à Berlin et Cologne. Dans la quatrième plus grande ville d’Allemagne, les autorités avaient également tout fait pour empêcher la tenue de la manifestation et la cathédrale, la mairie et divers autres églises et monuments avaient été – tragique ironie – plongés dans le noir, comme le pont de Cologne et la vieille ville ou encore la Chambre de commerce, etc.
Ces opérations scandaleuses ont été orchestrées par une association mondialiste qui s’est donnée pour devise : « Lumière éteinte pour les racistes ».
Dans les villes les plus bourgeoises et les plus envahies, comme à Berlin, Stuttgart, Hambourg et Rostock, les antifascistes ont été plus nombreux à défiler main dans la main avec les syndicats patronaux, les chefs religieux islamistes, judaïques, protestants et catholiques, n’hésitant souvent pas à utiliser la violence, avec la complicité active de la police : ainsi, à Berlin, les forces de l’ordre ont laissé les antifascistes attaquer et bloquer un train où se trouvaient de nombreux patriotes. Comme ailleurs, des bâtiments ont été plongés dans le noir, comme la Porte de Brandebourg.