RFI a confirmé ce mercredi la présence d’au moins une dizaine d’islamistes formés par l’armée française parfois dans les meilleurs régiments. Très mal à l’aise, Jean-Yves Le Drian a été contraint de confirmer la réalité de ces faits :
« Les cas d’anciens militaires tentés par une aventure jihadiste sont d’une extrême rareté »
a-t-il minimisé.
L’un de ces anciens militaires est devenu formateur pour les égorgeurs francophones en Syrie. Comme « émir », il dirige actuellement un groupe d’une dizaine de tueurs dans la région de Deir Ezzor (est). RFI précise encore que d’autres sont des spécialistes des explosifs, et que certains ont été formés dans des régiments considérés comme les meilleurs de l’armée française, à la Légion étrangère notamment.
« Certains sont [invertis], d’autres issus de culture arabo-musulmane. Et parmi eux, il y a des anciens de la Légion étrangère ou d’anciens parachutistes. Certains de ces jihadistes ont eux-mêmes annoncé être d’anciens soldats français sur les réseaux sociaux »
précise RFI.
L’Opinion a de son côté évoqué le cas d’un ancien du 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) de Bayonne qui a quitté l’armée pour rejoindre une société française de sécurité privée. Il aurait notamment assuré la protection de sites pétroliers en Arabie, des postes où les anciens militaires de certaines unités sont recherchés. Licencié par la société, l’islamiste avait rejoint les rangs des terroristes. Il s’agit d’un musulman étranger maghrébin à papiers français. Le quotidien indique qu’il a notamment suivi « suivi le stage Rapas (recherche aéroportée et action spécialisée), où sont formés les commandos » décrit comme « l’un des plus sélectifs de l’armée de terre ».
Le 1er RPIMa est intégré à la Brigade des forces spéciales terre (BFST) rattaché au commandement des opérations spéciales (COS) qui rassemble les forces spéciales françaises, et à la Direction du renseignement militaire (DRM). C’est donc au cœur des unités aux missions les plus délicates que leur République a introduit l’ennemi.
C’est ce genre de cas qui ont conduit aux États-Unis à la tuerie de Fort-Hood, durant laquelle un « Américain » islamiste infiltré au sein de l’armée avait assassiné treize militaires.
C’est le mensonge de leur France multiculturelle qui n’est qu’une France multiraciste, de leur armée multiraciale qui n’est qu’un assemblage d’éléments inassimilables prêts à exploser qui se dévoile. Tous les autres pays qui en ont fait l’expérience en sont morts : incorporer les étrangers dans les armées pour « défendre » un pays qu’ils détestent et auxquels ils resteront à jamais étrangers est l’un des derniers actes d’un régime qui se suicide.
La présence communautariste et sociologique musulmane et la menace réelle de la terreur islamiste (wahabiste) armée ne sont pas des causes de la crise républicaine française, elles ne sont que ses effets plus ou moins durables … La vraie crise c’est la schizophrénie de l’état français en mal d’unité identitaire et en mal de cohérence doctrinale et politique. Cette schizophrénie nationale française, devenue endémique, provient du pouvoir oligarchique totalitaire et illimité judeo-sioniste … La France vit une illusion « démocratique » par la trahison de ses élites et par les votes pavloviens de ses populations … Désormais , devant le déclin fatal de leur pays , les français sont arrivés aux termes de leur destin national et aux choix qui incombent à leur volonté générale ; soit la libération nationale de type gaulliste ou la révolution nationale de type pétainiste , par le vote systématique contre les sionistes ; soit le protectorat définitif sous mandat israélien . Tout autre débat et toute autre option ne seront que tristes palabres et perte de temps.