L’armée criminelle des colons israéliens ne se contente pas de bombarder des immeubles de civils à Gaza, où les enfants et vieillards sont les plus nombreuses victimes de l’occupant sioniste.
Elle espionne aussi systématiquement les Palestiniens et procède à des éliminations « ciblées », tuant des membres des mouvements politiques, leur famille et leurs voisins, alors que les juifs se prétendent opposés à la peine de mort et nous ont imposé dictatorialement sa suppression pour les criminels en France – via leur avocat Robert Badinter – entraînant, en contrepartie, la peine de mort pour les Français innocents tués au hasard, le plus souvent, par des étrangers.
La même inversion est progressivement mise en œuvre en France par leur République
Quant au renseignement, les services d’espionnage de Valls et Cazeneuve en font déjà autant avec certains Français – occupés et colonisés – en France, surveillant et fichant les nationalistes et condamnant les historiens non conformes, tantôt à de la prison, tantôt à des amendes.
Par contre, les islamistes peuvent tenir le pavé et préparer des attaques militarisées en toute quiétude et la Ligue de défense (sic) juive attaque aussi bien des Français que des étrangers avant de céder la place aux CRS pour la défendre contre ceux qu’elle a préalablement agressés.
Les opposants aux massacres ont la « liberté »… de se taire
En Palestine occupée, quoique juifs, les 43 réservistes – qui avaient écrit, en septembre 2014, une lettre ouverte pour dénoncer les exactions pratiquées quotidiennement par leur armée – ont été repérés et renvoyés d’un corps dans lequel ils ne souhaitaient, de toute façon, plus servir, ce qui arrange tout le microcosme local.
Notons enfin que leurs médiats, en France, en Belgique, etc. reprennent le texte de leur Agence « France » presse qui minimise les accusations portées par leurs 43 ex-réservistes : les abus et la persécution politique relayés ne sont écrits qu’entre guillemets, assimilant à de simples objecteurs de conscience totalement pacifistes, celles et ceux qui, en toute connaissance de cause, ne veulent plus être les agents d’un système criminel.
Et pendant ce temps-là, Israël vient d’annoncer ce vendredi la construction de 430 logements pour les religieux extrémistes juifs dans les territoires occupés, comme des dizaines de milliers d’autres ces dernières années ne provoquant, au mieux, que des « réactions indignées » – aussi indignées que sans effet – de la « communauté internationale ».