Il y a eu moins de mariages dans la France de 2013, avec ses 65 millions de Français – plus exactement avec ses 50 millions de Français et ses quinze millions d’allogènes – que dans la France du maréchal Pétain de 1942 avec ses moins de 40 millions d’habitants.
En 2013, seuls 231 225 mariages ont été célébrés, soit 6 % de moins qu’en 2012. C’est le chiffre le plus bas depuis 1945, malgré une augmentation constante de la population « française » essentiellement due à l’invasion de notre pays. Le chiffre est même plus bas que le nombre de mariages célébrés en 1942 dans une France qui se remettait à peine de la défaite née des politiques criminelles du Front « populaire ». C’est la première fois qu’un chiffre aussi bas est atteint en dehors d’une période de guerre. En proportion, les 125 000 divorces prononcés en 2013 représentent plus de la moitié des mariages.
Ces chiffres illustrent le drame démographique de la France, la peste blanche qui s’est abattue sur l’Europe après le grand espoir né durant la première moitié du siècle : de moins en moins d’unions, de plus en plus tardives, de moins en moins fécondes et de moins en moins blanches. À 30 ans, 37,5 % des femmes nées en 1980 sont mariées, contre 86,7 % des femmes nées en 1930 au même âge. 29 % des femmes nées cette année-là étaient déjà mariées à 20 ans, contre 1 % de celles nées en 1990.
Ces chiffres n’ont rien de surprenant et sont les résultats des politiques mises en place depuis plusieurs décennies contre l’Europe, par l’individualisme, par l’avortement, par le féminisme, par les attaques contre les valeurs traditionnelles (famille, fidélité, mariage), par la destruction des liens communautaires et du caractère sacré de la race, etc., à l’opposé des politiques mises en place par les régimes nationalistes dans la première moitié du XXe siècle.