Journal du 24 février 2015

Sommaire

ACTUALITÉ NATIONALISTE

• 3e édition de la fête des Patriotes à Lyon le 28 mars
• Les Brigandes – Antifa

FRANCE

• Les candidats drogués et voleurs ne gênent pas le FN… mais les judéosceptiques oui
• Sárközysme triomphant
• SANOFI : le nouveau patron obtient un « bonus de bienvenue » de 4 millions
• À Marseille un “Pied-noir” gaulliste, ancien du RPR et du RPF candidat… islamiste
• Un islamiste mis en cause dans une affaire de niqab collectait les renseignements sur des policiers
• Un individu de 14 ans blesse quatre policiers au volant d’une voiture volée
• Nouvelle attaque de faux policiers en Seine-Saint-Denis envahie

EUROPE

• Les dirigeants de Podemos financés par des États étrangers
• Le retour de Lutz Bachmann à la tête de PEGIDA
• Le Fidesz perd sa majorité des deux tiers au parlement hongrois

Invasion de l’Europe par la Serbie aussi

ÉTRANGER

• Extravasion
• Forte accélération des colonisations illégales juives en Palestine
• Graves violences politiques au Bangladesh

 

ACTUALITÉ NATIONALISTE

3^e édition de la fête des Patriotes à Lyon le 28 mars

Jeune nation a le plaisir de vous inviter pour la 3^e édition de la Fête des Patriotes à Lyon le 28 mars prochain. Comme chaque année, vous pourrez entendre les discours nationalistes radicaux, découvrir nos stands, et participer au grand banquet vespéral.

Les Brigandes – Antifa

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=GPzvcBFHnI0[/youtube]

 

 

FRANCE

Les candidats drogués et voleurs ne gênent pas le FN… mais les judéosceptiques oui

Alexandre Larionov était connu pour « usage de drogues, vol et conduite en état d’ivresse ». Malgré cela, il avait obtenu du Front national (FN) l’investiture dans un canton de l’Aveyron pour les élections départementales malgré seulement quelques mois d’adhésion. Mais si Alexandre Larionov voleur et drogué avait l’appui entier du parti d’extrême droite, Alexandre Larionov judéosceptique a été limogé immédiatement par Marine Le Pen, après la découverte de propos insuffisamment favorable à Israël.

Outre l’ire de la direction du FN, le jeune homme a subi celle de la justice d’occupation. Il a été arrêté et mis en garde à vue vendredi après-midi pour son « crime ». Mis en examen, il sera jugé pour provocation à la haine raciale par la voie électronique. Et tandis que les politiciens corrompus du PS et de l’UMP paradent dans les parlements, Alexandre Larionov risquera lui cinq ans de prison et 45 000 euros d’amende.

Sárközysme triomphant

« Nicolas Sárközy n’a pas choisi de se protéger. Il a choisi de s’engager dans une mission très difficile mais qu’il est en train de réussir : celle d’apaiser, de rassembler, de construire. Il apaise notre famille politique, qui est beaucoup plus unie qu’il y a quelques mois. »

a déclaré Brice Hortefeux alors que l’UMP est au bord de l’implosion et que Nicolas Sárközy est rejeté comme jamais par l’opinion publique.

« Heureusement qu’il y a des gens dans la communauté [juive, Nicolas Sárközy ne le précise pas tant il est évident que la seule communauté qui compte à ses yeux est celle-là] qui tiennent des propos censés »

a tenu à faire savoir Nicolas Sárközy à Arno Klarsfeld, pour féliciter ce dernier pour ses propos contre Roger Cukierman qui avait affirmé que Marine Le Pen était « irréprochable ».

SANOFI : le nouveau patron obtient un « bonus de bienvenue » de 4 millions

Les multinationales choquaient jusqu’ici en octroyant à des dirigeants faillis des retraites dorées et des bonus de départ. Le laboratoire pharmaceutique SANOFI se distingue en offrant à son nouveau dirigeant un fort « bonus d’arrivée ». Celui touché par Olivier Baudricourt a atteint 4 millions d’euros. C’est l’équivalent de 300 années de salaire d’un ouvrier au SMIC, ou de 1 250 000 repas dans un restaurant universitaire.

Serge Weinberg a ainsi obtenu l’arrivée d’un ancien dirigeant de Bayer, démontrant les mensonges libéralistes sur le « mérite » et le « risque », eux qui forment une caste dont le principe n’est en réalité que l’autoreproduction des élites corrompues, à l’image de la République qu’ils défendent – et qui le leur rend bien.

À Marseille un “Pied-noir” gaulliste, ancien du RPR et du RPF candidat… islamiste

Bruno Perez, 52 ans, a gardé du gaullisme le goût du déshonneur et de la trahison. Ce traître à l’Europe, qui se proclame gaulliste et Pied-Noir, s’est inverti à l’islam il y a plusieurs années.

« Je suis un gaulliste qui n’a jamais bifurqué très imprégné par la philosophie du général [sic] »

affirme-t-il. Il sera candidat pour l’Union des démocrates musulmans de France (UDMF) lors des élections départementales à Marseille.

« J’ai été contacté il y a trois semaines par l’UDMF. Je ne connaissais pas ce parti ni ses dirigeants. C’est un ami qui m’a mis en contact. Il est d’ailleurs mon remplaçant pour l’élection »

précise-t-il. Bruno Perez n’est pas un inconnu : il a été longtemps militant du RPR – c’est là où il a rencontré Houria Medjbar, aujourd’hui sa suppléante – avant de rejoindre le Rassemblement pour la France (RPF) de Charles Pasqua. Il fut candidat pour ce parti en 2001 à Marseille, déjà aux élections cantonales. Il avait obtenu 3 %.

 

Un islamiste mis en cause dans une affaire de niqab collectait les renseignements sur des policiers

Le 30 janvier dernier, un islamiste avait agressé des policiers qui contrôlaient sa femme, totalement voilée, dans un centre commercial de Vals-près-le-Puy. L’individu avait déjà eu affaire à plusieurs reprises à la justice. Il est sous le coup d’une condamnation datant de l’été dernier à quatre mois de prison ferme. En janvier, il avait arrêté également pour avoir salué les attaques des frères Kouachi et d’Amedy Coulibaly.

Lors de son arrestation, les policiers ont découvert qu’il avait enquêté sur les policiers qui l’avaient arrêté et retrouvé leurs noms et adresses écrites sur un carnet. Malgré tout cela, il a simplement été placé sous contrôle judiciaire et laissé libre. Déjà sous le coup d’une peine de quatre mois de prison, il sera jugé le 17 mars sur l’affaire du 30 janvier, sur l’établissement d’une liste de policiers avec noms et adresses, pour apologie d’actes terroristes, mais également pour violences conjugales.

Un individu de 14 ans blesse quatre policiers au volant d’une voiture volée

Les policiers ont finalement réussi à interpeller le conducteur d’une voiture volée, âgée de 14 ans, qui avait renversé et blessé quatre fonctionnaires de police. Cette prometteuse chance pour la France est déjà bien connue des services de police. L’adolescent a été présenté à la justice lundi. Deux complices de cette racaille, qui se trouvaient avec lui dans la voiture volée, ont réussi à s’échapper et n’ont pas été retrouvés.

Nouvelle attaque de faux policiers en Seine-Saint-Denis envahie

Dans une nouvelle affaire de faux policiers, un homme a été séquestré à l’Île-Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis envahie. Trois individus l’ont attaqué dans un hall d’immeuble et, se faisant passer pour des policiers avec brassard et arme de service, l’ont obligé à ouvrir la porte de son appartement. Ils l’ont alors menotté et ligoté, puis ont « perquisitionné » son appartement, lui volant selon ses dires l’équivalent de 50 000 euros.

La semaine précédente, un homme de 69 ans a été attaqué par deux faux policiers à Romainville. Il affirme avoir été délesté de treize lingots d’or estimés à près de 450 000 euros. Le département le plus envahi de France a été le théâtre de plus de 230 agressions par des gens usurpant des autorités, notamment des policiers. Le phénomène s’est fortement accéléré ces dernières semaines selon la police.

EUROPE

Les dirigeants de Podemos financés par des États étrangers

L’un des principaux dirigeants de « Podemos », un pseudo parti antilibéral et anticorruption de gauche en Espagne, est impliqué dans un scandale financier. Juan Carlos Monedero a bénéficié de 425 000 euros (l’équivalent d’environ 48 ans de revenus d’un ouvrier au salaire minimum en Espagne) de la banque de l’Alliance bolivarienne pour les Amériques (ALBA).

Ces centaines de milliers d’euros lui ont notamment permis de financer ses activités politiques, comme son émission de radio, « La Tuerka », qui était animée par le chef de Podemos Pablo Iglesias. Une société avait été créée spécialement pour masquer les mouvements de fonds entre les États derrière l’ALBA (le Venezuela, la Bolivie et Cuba notamment) et Podemos et son dirigeant.

Le retour de Lutz Bachmann à la tête de PEGIDA

Le condamné pour trafic de drogue Lutz Bachmann avait été contraint de démissionner de la direction des Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident (PEGIDA, Patriotische Europäer Gegen die Islamisierung des Abendlandes) après la diffusion dans la presse de photo de lui déguisé en Adolf Hitler. L’affaire avait été évoquée par les médiats du monde entier. Depuis, un journal allemand a montré qu’une partie des photos avaient été retouchées.

Cette histoire avait été le début d’une importante tentative de déstabilisation du mouvement anti-islam qui a réussi en quelques mois à réunir plusieurs dizaines de milliers de manifestants à travers l’Allemagne.

Malgré les polémiques, les attaques de l’extrême gauche et les attentats islamistes à travers l’Europe, PEGIDA a poursuivi ses manifestations depuis. Plusieurs défilés ont été annulés et ceux qui ont été maintenus n’ont pas réuni autant de personnes que la manifestation du 12 janvier dernier, durant laquelle 25 000 personnes avaient affirmé leur refus de l’islamisation de l’Allemagne.

Lutz Bachmann avait fait son retour lors d’une manifestation sur le terrain la semaine dernière. Il est désormais officiellement de retour à la tête de PEGIDA après avoir été élu président par les six autres dirigeants du mouvement parmi ceux qui ne l’ont pas quitté depuis janvier. La moitié de la direction de PEGIDA avait démissionné contre l’orientation trop « extrémiste » selon eux du mouvement et ses liens dans certaines villes avec les nationalistes radicaux.

Le Fidesz perd sa majorité des deux tiers au parlement hongrois

Après plusieurs mois d’un règne sans partage au parlement hongrois, le parti de Viktor Orban a perdu la majorité des deux tiers à l’occasion d’une élection législative partielle à Veszprém (nord-ouest). Le candidat indépendant Zoltán Kész a obtenu 42,7 % des voix, contre 33,6 % pour Lajos Némedi pour le Fidesz. Le mouvement nationaliste hongrois Jobbik obtient la 3^e place avec 14,1 % des suffrages exprimés. Les autres partis se partagent les 7,2 % restant.

Le scrutin a été marqué par une importante abstention (55,2 %). Signe de la forte impopularité du Fidesz, le parti a perdu 13,6 points en 10 mois dans cette circonscription. Le Jobbik n’en profite pas : son candidat avait obtenu 16,4 % des voix en avril dernier et perd donc 2,1 points. Il s’agissait de remplacer le poste de Tibor Navracsics, ancien ministre de la Justice de Viktor Orban, élu député du Fidesz en 2014 et nommé à la Commission européenne à la fin de l’année dernière.

Viktor Orban a profité de la majorité des deux tiers parmi les députés hongrois depuis 2010 pour faire passer de nombreuses réformes, notamment l’adoption d’une nouvelle constitution.

Invasion de l’Europe par la Serbie aussi

Un trafiquant d’êtres humains albanais à papiers serbes et 58 colons étrangers (afghans, somaliens, syriens, pakistanais et iraniens) ont été arrêtés en Serbie en provenance de Macédoine. Après avoir atteint les Balkans, les étrangers sont amenés par les passeurs vers les pays de l’Union européenne (UE) voisins de la Serbie, Hongrie, Croatie et Roumanie, entre autres activités criminelles qui se sont développées dans la région.

Depuis plusieurs mois, la Serbie a été particulièrement touchée par l’arrivée massive de Kossovars fuyant leur « pays » et profitant ensuite des accords entre l’UE et la Serbie pour se répandre en Europe.

ÉTRANGER

Extravasion

« Komodia, la pieuvre du pourriciel »… Son PDG, Barak Weichselbaum, veut « protéger les enfants ».

C’est le cocorico de la soirée ! Alexandre Desplat remporte l’Oscar de la meilleure bande originale pour The Grand Budapest Hotel, une comédie… hantée par le nazisme.

C’est confirmé ! C’est bien Gal Gadot qui interprétera Wonder Woman dans les deux premiers films de la saga.

« Pourquoi il ne faut pas rater cette série australienne ! » (Telestar)

« Un thriller politique australien prêt à conquérir Arte ! » (Toutelatele)

« Brillant polar conspirationniste ! » écrit Télé Z.

« Solidement réalisé et interprété » affirme pour sa part Télé 7 Jours.

« Dommage qu’une partie des personnages manque d’originalité », conclut Télérama.

L’intrigue : deux frères se trouvent mêlés à une affaire impliquant des hommes d’État, sur fond de piratage informatique et de trafic de produits hautement toxiques.

« The Code », réalisé par Shawn Seet, avec Dan Spielman, Ashley Zukerman, Adele Perovic, Aaron Pedersen, Mitzi Ruhlmann, Ursula Yovich, etc., est produit par Carole Sklan, David Ogilvy, Greer Simpkin et David Maher.

Forte accélération des colonisations illégales juives en Palestine

En 2014 en Cisjordanie, les mises en chantier dans les colonies illégales juives ont augmenté de 40 %, soit 3 100 logements au total. Il y a eu également 4 485 appels d’offres pour des logements dans les colonies, un chiffre jamais atteint depuis plus de dix ans. Depuis l’arrivée au pouvoir du criminel de guerre Benyamin Netanyahu, le 18 mars 2013, un total de 10 113 logements ont été mis en chantier dans les territoires occupés.

Près de 300 constructions n’ont pas même obtenu l’agrément de l’État criminel d’Israël, alors que toutes, « légales » ou illégales, violent les lois internationales. Malgré cela, l’entité criminelle poursuit ses provocations sans la moindre réaction d’aucune grande puissance et se permet de menacer la paix mondiale.

Graves violences politiques au Bangladesh

La situation politique est très tendue au Bangladesh depuis plusieurs semaines. La police a annoncé, après la découverte de nouveaux corps, qu’au moins 104 personnes ont été tuées lors de violences politiques en quelques semaines. Plusieurs centaines d’attentats ont été constatés. Les violences opposent les partisans de la première ministre bangladaise Sheikh Hasina (Ligue Awami) et la dirigeante de l’opposition Khaleda Zia, qui dirige le Parti nationaliste bangladais (BJD, Bangladesh Jatiotabadi Dôl). L’ensemble de l’opposition, annoncé vainqueur, avait boycotté les élections par crainte de fraudes. Environ 10 000 personnes ont été arrêtées. Depuis, le BJD tente de bloquer les routes, utilisant fréquemment des cocktails Molotov contre les usagers pour les contraindre à leur obéir.

© Jeune nation – 2015