Malgré la répression de l’État, malgré l’arrestation de ses chefs, malgré les attaques policières, mais en dépit aussi des agressions commises par l’extrême-gauche, plus préoccupée à attaquer les travailleurs nationalistes grecs que le gouvernement des banquiers mondialiste de Samaras, plusieurs milliers de Grecs ont répondu à l’appel de l’Aube dorée pour dénoncer les persécutions contre les nationalistes.
Longue vidéo (1 heure) des discours prononcés lors de la manifestation de l’Aube dorée
Pendant que les nationalistes manifestaient pacifiquement, les extrémistes de gauche, bras armé du gouvernement capitaliste, attaquaient des citoyens grecs dans le quartier populaire d’Agios Panteleimon à Athènes.
En tête de manifestation se trouvaient les responsables d’associations antiracistes, pro-immigrés, antifascistes, etc. – et parmi eux Javet Aslam, le riche président de la communauté pakistanaise en Grèce, recherché dans son pays pour trafic d’êtres humains – issus de la classe bourgeoise athénienne, pendant que leurs enfants, masqués, se livraient à des exactions en fin de cortège.
Les manifestants ont également détruit les serrures qui avaient été installées dans un parc pour enfants suite à l’envahissement des lieux par les immigrés qui en avaient fait une plaque tournante du trafic de drogue dans le quartier.
Il y a quelques jours, les mêmes « antifascistes » défilaient pour soutenir Ahmed Vakas. Cet immigré clandestin avait attaqué durant l’été 2012 une jeune fille grecque de 14 ans. Il l’avait violemment frappé contre des rochers jusqu’à ce qu’elle soit inconsciente puis l’avait violée.
La jeune Myrto Papadomichelaki est restée dans le coma durant de longues semaines et est aujourd’hui lourdement handicapée.
Les militants d’extrême gauche ont manifesté leur soutien à ce monstre alors que son procès s’ouvrira le 29 octobre.
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