Les noms de quatre des cinq adolescents qui ont participé, sous la direction d’un activiste antifasciste, à des dégradations dans un cimetière juif largement abandonné à Sarre-Union ont été diffusés sur internet. Le lobby juif a instrumentalisé cette extrêmement rare profanation d’un cimetière juif (ils représentent moins de 3 % des profanations en France quand les cimetières chrétiens sont ciblés dans plus de 96 % des cas) pour une fois encore faire accroire que ces étrangers seraient persécutés en France.
Mais la cruauté et le délire des occupants ne s’arrêtent pas à organiser des journées entières de propagande mensongère et de lamentations officielles : il a fallu qu’ils poursuivent de leur haine maladive quatre des cinq auteurs des faits – pourquoi pas le cinquième ?–, allant jusqu’à diffuser leur identité, dans l’espoir qu’ils soient agressés, voire plus. Si la loi française interdit la divulgation de ce genre d’informations, le site de délateurs israéliens qui a diffusé les noms revendique fièrement le viol de nos lois. Ce qui ne l’empêche pas par ailleurs d’exiger l’application des lois « antiracistes » contre les Français.
La justice a été contrainte d’ouvrir une enquête judiciaire. Gageons que comme pour une grande partie des 3 millions de crimes et délits dont sont victimes les Français chaque année, la police et la justice sauront se montrer très complaisantes avec l’individu ayant diffusé les noms et ne mettront pas trop d’ardeur à le poursuivre.
« L’identité des mineurs en cause est protégée par la loi et la publication, par quelque moyen que ce soit, de texte ou d’illustration concernant leur identification constitue un délit pénal. Un site internet a cependant publié des identités qu’il a cru pouvoir attribuer aux mineurs soupçonnés et la photographie de l’un d’eux »
a déclaré le procureur Philippe Vannier.
Le site et son auteur sont parfaitement connus des autorités : il s’agit de l’habituel propagateur de mensonges et de faux JSS News. Il est ce matin toujours accessible et l’article est toujours en ligne, avec la bénédiction des autorités. Pourtant les lecteurs du site y multiplient les menaces ; la haine de la France et de l’Europe suinte de chaque ligne et les occupants se félicitent que les Juifs ne respectent pas les lois françaises.
Il est à noter d’ailleurs que l’escroc juif qui dirige le site évoque des « nazillons » (sic) malgré l’appartenance du meneur du groupe au mouvement antifasciste.