Carenco, l’homme des dissolutions promu par Valls
C’est en novembre 2010 que Jean-François Carenco a été nommé préfet du Rhône et de Rhône-Alpes. En quatre ans, il s’y est illustré par un antifascisme rabique. L’agent officiel de l’anti-France à Lyon s’est particulièrement fait remarquer par sa servile obéissance aux ordres d’Israël via leur laquais Manuel Valls. C’est lui qui, après une bagarre survenue à Paris, ne mettant aucunement en cause les groupes nationalistes, avait lancé les procédures de dissolutions contre l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes (JN).
Malgré les rumeurs à son sujet, sa haine de la France et des Français non reniés a conduit le gouvernement de Manuel Valls, dont il fût le zélé serviteur quand l’homme « éternellement lié à Israël » était ministre de l’Intérieur, à nommer Jean-François Carenco préfet de Paris et d’Île-de-France, en remplacement de Jean Daubigny.
Robin : le complice des racailles nommé à un poste prestigieux à Paris
Depuis 2012, c’est dans le Pas-de-Calais que le préfet Denis Robin sévissait. L’individu s’était tristement illustré par son incapacité à faire face à l’invasion de Calais et de sa région, et à mettre au pas quelques milliers de délinquants et criminels étrangers. Sous son préfectorat, la situation est devenue gravissime : les crimes commis par les étrangers contre des habitants se sont multipliés, comme les attaques contre les routiers.
À cause de l’inaction de Denis Robin, Calais, en quelque mois et bien malgré elle, a fait la une de nombreux journaux français et étrangers. La situation sécuritaire a conduit de nombreuses équipes de journalistes britanniques notamment à venir se rendre compte sur place de l’incroyable tolérance des pouvoirs publics vis-à-vis des délinquants étrangers qui, après avoir envahi et occupé illégalement la France, tente de passer en Grande-Bretagne.
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Des policiers ont reconnu depuis leur incapacité à agir, faute de volonté politique.
« La plupart des [clandestins] appréhendés ont été libérés et autorisés à repartir. […] Beaucoup détruisent leur papiers d’identité afin que nous ne sachions même pas qui ils sont ou d’où ils viennent […]. La police n’a pas les moyens de lutter contre les réseaux de trafiquants derrière tout cela, et donc les migrants continuent à venir. »
déclarait un responsable de la police.
Quelques centaines lors de la prise de fonction de Denis Robin, ils sont actuellement plusieurs milliers, 5 000 selon certaines sources. Il s’agit de ces mêmes étrangers qui, sûrs de leur impunité et convaincus d’avoir tous les droits, prétendent mourir de faim, mais se sont permis à plusieurs reprises de jeter de la nourriture ou d’attaquer des associations qui ne leur donnaient pas des plats à leur convenance.
Surtout, l’agent de leur République s’était montré comme son congénère Carenco aussi peu actif dans la lutte contre la racaille et l’antifrance qu’il mettait d’énergie à empêcher les Français de s’exprimer et de s’organiser pour pallier leur régime corrompu agonisant.
Peu avant sa nomination, ce fut l’une de ses dernières actions, il a interdit un rassemblement de l’association Sauvons Calais sous de fallacieux prétextes, comme il l’avait déjà fait quelques mois plus tôt.
Pour n’avoir rien fait pour le Pas-de-Calais sinon lutter contre les patriotes, il a donc été récompensé par le poste de secrétaire général du ministère de l’Intérieur.