Le fondateur des Jeunesses nationalistes (JN) a été condamné ce jeudi à deux mois de prison ferme et 4 000 euros d’amende pour une prétendue « manifestation interdite » le 29 septembre 2012 à Paris. Alors que tous les rassemblements du mouvement nationaliste s’étaient jusque-là déroulés dans le calme le plus parfait, le préfet antifrançais de Lyon Jean-François Carenco avait commencé à interdire arbitrairement les manifestations des Français, rapidement suivi par son congénère de Paris, sur les ordres directs de Manuel Valls et d’Israël.
La répression et les actes dictatoriaux ne faisaient que commencer : moins d’un an plus tard, prenant le prétexte d’une agression d’un gang antifasciste contre des patriotes, dont aucun n’était membre des Jeunesses nationalistes, Manuel Valls avait fait interdire le mouvement ainsi que l’Œuvre française.
Le jour et à l’heure dits de la manifestation interdite, Alexandre Gabriac se trouvait dans un bar éloigné du lieu de rassemblement prévu avant l’interdiction. C’est alors que d’importantes forces de leur police politique avaient surgi et avaient violemment agressé le chef des Jeunesses nationalistes. Interpellé, il avait été placé durant de longues heures en garde à vue.
À travers la capitale, la tchéka avait raflé tout ce qui ressemblait à des patriotes, soit 57 personnes en tout, sans raison et dont aucune n’a été poursuivie.
La manifestation interdite avait pour but de dénoncer les zones de non-droit et le racisme anti-blanc. Les nationalistes savent aujourd’hui qu’à la longue liste des cités occupées il faut ajouter les tribunaux qui devront eux aussi être délivrés d’une présence antifrançaise et antiblanche particulièrement nocive et désastreuse pour notre pays. Rappelons que ce sont des juges parisiens qui, il y a quelques jours, ont fait relâcher deux islamistes partis égorger des innocents en Syrie avec l’État islamique (ÉI).
Répres – sionisme