Lynchés par les médiats nationaux, lâchés et attaqués par la direction de leur propre parti, les candidats ayant « dérapé » (sic), les candidats « extrémistes », les militants traités de « nazis », « d’antisémites », « de racistes » ou « d’homophobes » ont obtenu des scores aussi bons que les autres candidats, rappelant que ce n’est en rien la dédiabolisation qui a permis au Front national de poursuivre sa progression, mais le rejet du système par les électeurs, prêts plus que jamais à tout pour mettre fin à l’UMPS, et la radicalisation constante du champ politique français. Ce constat rend d’autant plus amers les reniements et les concessions. Il ne manquerait sans doute pas grand-chose à un mouvement organisé et riche à millions, possédant des centaines de permanents, des dizaines de locaux, des groupes militants implantés sur tout le territoire pour faire basculer la situation.
-Jacques Coutela, en Bourgogne avait été accusé d’avoir fait l’apologie d’Anders Breivik. Il totalise 30,92 % des voix, décrochant la deuxième place, quasiment au même niveau que son principal concurrent, les libéraux-conservateurs à 32,92 %.
-Nathalie Pigeot, en Lorraine, avait été accusée d’idolâtrer le Führer, d’exhiber à ses hôtes des portraits de Joseph Goebbels, d’avoir pour héros les Waffen SS. Elle arrive première avec 28,51 %.
-Fabien Rouquette, dans le Languedoc, avait appelé les « socialistes, communistes [et] musulmans » à se suicider. Il arrive premier avec 30,94 % des voix.
-Jean-Marc Buccafurri, en Île-de-France occupée, avait été lynché par les antifrançais pour avoir remis à sa place la Marocaine Najat Belkacem pour sa propagande antisociale et homosexualiste. Dans un canton très difficile pour le FN, il totalise 22,73 % des suffrages.
-Jean-Francis Étienne, qui se présentait en Lozère, avait été attaqué par les journalistes du système pour avoir proposé de « couler un ou deux bateaux poubelles » de colons violant les frontières de l’Europe. Dans un désert FN, il parvient à dépasser la barre des 10 % avec 11,05 % et une honorable quatrième place.
-Mikaël Pinton, en Bretagne, avait lui subi les délations des biens pensants pour avoir diffusé une photo représentant deux des pires antifrançais, Pierre Bergé et Dounia Bouzar, avec un dessin pouvant évoquer une cible. Il se classe second avec 16,44 % des voix, dans une région encore peu favorable au FN.
-En Languedoc, Élie Quisefit s’était interrogé sur l’opportunité de l’organisation de « battues contre les Arabes » dans le but louable et supérieur de « sauver peut-être la France ! » Malgré la haine des médiats, il est arrivé en second position avec 29,93 % des voix, juste derrière le PS (29,98 %) et se qualifiant pour le second tour.
Dédiabolisation = trahison : les candidats « nazis », « homophobes » du FN réussissent aussi bien que les autres
c est evident que la »dediabolisation » relative d ailleurs! il n y a qu a ecouter les propos haineux des Valls Taubira Estrosi a l egard du fn mariniste, n est pour rien dans le succes du fn, c est l inquietude grandissante des Français vis a vis de l immigration de masse qui leur est imposee qui les fait voter pour ce parti, Maruine et sa « strategie » phillipotique n y est donc pour rien, tel le coq Chanteclair qui croyait dur comme fer que c etait son cri matinal repete jour apres jour qui faisait lever le soleil!