Le GADI (Groupe action directe international) poursuit ses actions criminelles dans le sud-ouest de la France. Après la prison de Tarbes et la caserne du 35e RAP (régiment d’artillerie parachutiste) les terroristes ont attaqué à Pau le 8 février l’église d’une petite communauté protestante, la Science chrétienne. Dans un communiqué, les terroristes ont affirmé avoir visé le lieu de culte parce qu’il « servirait de base d’arrière-garde pour les fascistes du Front national ».
Il s’agirait en réalité d’une stupide méprise : l’église est située en face du local de celui du Front national, les antifascistes alliant la bêtise au crime.
Comme en Espagne dans les années précédant la guerre civile les Rouges, bénéficiant de l’appui et de la complicité des plus hautes autorités gouvernementales, multiplient les actions criminelles. Comme durant cette époque qui hante Manuel Valls, le petit dictateur rouge, les fanatiques attaquent tous les symboles de la société : la justice, l’armée, la religion.
Deux personnes ont été arrêtées et mises en garde à vue. Elles pourraient rapidement bénéficier, comme les racailles de Paris et de Rennes, de l’intervention de l’État pour une remise en liberté rapide.