L’« affaire » n’aurait pas dû sortir du cadre des innombrables provocations israéliennes voyant, dans chaque fait se déroulant chaque minute de l’histoire de ce monde, un crime « antisémite ». Mais le préfet antifrançais Jean-François Carenco, qui n’a visiblement pas assez à s’occuper depuis sa nomination à Paris, à moins que plus simplement les centaines de milliers de crimes et délits commis dans la capitale, les manifestations de délinquants étrangers en pleine ville, les attaques contre « ses » policiers, la corruption généralisée des services de police, minée ces derniers mois par les trafics de drogues, les affaires de favoritisme, de viol, etc., ne l’intéressent pas.
Il a tenu à s’occuper lui-même d’une prétendue affaire de « discrimination » dont se lamente un groupe d’Israéliens. Voulant visiter le musée du Louvre et la Sainte-Chapelle, ces individus avaient fait une demande qui a été refusée pour une période relativement demandée. Une mésaventure qui arrive à des milliers de groupes refusés par le Louvres chaque année, une non-information, dont le peuple de rentiers de la mémoire a réussi à transformer en embryon de drame national. Les déboutés ont fait et refait des demandes sous de faux noms – c’est-à-dire en créant du travail et des problèmes aux services chargés de ces demandes, commettant de surcroît un délit au regard du droit français, l’usurpation d’identité, ce dont le préfet de leur République se fait complice1 – jusqu’à obtenir, après des annulations – 20 % des réservations se terminent en annulation –, deux réponses positives.
Le Louvre a rappelé qu’il gérait 150 000 demandes de réservation de groupes par an, soit 400 par jour, et qu’il en refuse près de 80 000 et que, de surcroît, un créneau a été trouvé en juin. Le Louvre a également précisé que lors de leur dernier entretien, le responsable du groupe de persécutés éternels s’était montré satisfait de l’arrangement.
Malgré cela, les étrangers tentent de créer une polémique, avec le soutien actif du gouvernement d’occupation, de ses relais médiatiques, et des associations antifrançaises comme le Conseil représentatif des institutions juives de [sic] France (CRIJF) et l’Union des étudiants Juifs de (sic) France (UEJF).
La justice n’étant elle non plus pas assez occupée, ou plus exactement, les juges rouges n’étant clairement pas intéressés par les graves problèmes rencontrés par les Français, viols, agressions, incendies criminels, squats et autres, « l’affaire » est désormais entre les mains du procureur de la République à Paris. Gageons que ce genre d’accusations conduira les fonctionnaires concernés à se doter d’un grand amour pour Israël, ses pratiques et ses accusations mensongères.
1Il est d’ailleurs à noter que depuis peu, l’usurpation d’identité de personnes morales, le délit commis par le groupe d’Israéliens s’étant fait passer pour des étudiants allemands et séoudiens, est utilisée de façon massive. C’est toujours pour commettre des escroqueries et les escrocs ont quasiment tous, hasard, une même origine ethno-religieuse levantine.