Les accointances entre les politiciens du système en France et les financiers du terrorisme au Proche-Orient – Qatar, Arabie séoudite et autres – ne se limitent pas à la vente d’armes, aux pots-de-vin, aux financements illégaux de campagnes électorales, à la privatisation d’étages voire de cliniques entières au détriment des Français et pour le plaisir d’un seul patient. Elles ne se limitent pas non plus à l’achat de clubs de football transformés en publicité pour ces États, ou à la mainmise sur l’hôtellerie de luxe française, sur les vignobles et autres biens immobiliers et culturels français.
Désormais, l’occupant, bénéficiant de la protection politique des autorités, obtient le « droit » d’empêcher les Français d’accéder au littoral pourtant censé être garanti par… la loi. C’est ce qui se produit à la plage « La Mirandole » qui jouxte une villa détenue par le roi d’Arabie séoudite à Vallauris. Le décret doit être pris par la préfecture – c’est-à-dire par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve – qui a prétexté des « mesures de sécurité » pour interdire aux Français l’accès à leur plage. Si la sécurité de ces étrangers ne peut-être assurée, pourquoi ne pas plutôt les interdire de venir en France ou décliner toute responsabilité plutôt que de pénaliser des centaines, voire des milliers de Provençaux et de touristes ?
« Il ne reste qu’à dater et à signer cet arrêté, dès que la Garde royale [séoudienne] nous aura donné le jour d’arrivée de l’avion du roi. Ensuite, avec un délai de prévenance de 24 heures, l’accès au littoral sera interdit par des policiers, pour le temps des vacances du roi »,
s’est vanté le sous-préfet de Grasse, Philippe Castanet, fier d’obéir aux ordres de l’étranger et une fois encore d’empêcher les policiers d’effectuer leur mission – protéger les Français.
Les médiats ont diffusé les commentaires indignés et impuissants de riverains et de vacanciers :
« Que ce soit lui ou un autre milliardaire, ils ont toujours la priorité sur les gens du peuple »,
dénonce l’une.
« Je suis venu me baigner aujourd’hui tant que c’est autorisé. Après, tant pis, j’irai ailleurs. Mais ce n’est pas normal, surtout la façon de faire »,
critique un autre. En attendant, une fois encore, la préférence étrangère sera appliquée par leur République contre les Français. Il y a peu de chance que la justice d’occupation, celle qui relâche les violeurs, les pédocriminels et les trafiquants de drogues, s’oppose à cette nouvelle mesure inique.
Et pendant ce temps, l’Arabie séoudite continuera ses bombardements criminels contre les civils au Yémen, faisant de nombreux morts et conduisant les Yéménites à l’exode, dont il est certain qu’aucun ne sera accueilli dans les palaces des amis de Manuel Valls et Nicolas Sárközy.