Quelques affaires comme il en arrive malheureusement chaque jour là-bas :
-À son domicile, un couple âgé a été violenté par une bande de quatre cambrioleurs non blancs.
-Une dame de 82 ans a été ligotée et tabassée par un groupe de trois non blancs, qui lui ont laissé les couleurs de leur « arc-en-ciel »… sur son visage tuméfié, sous forme d’hématomes.
-Une Blanche de dix-huit ans parle de l’attaque où on l’a d’abord cru morte (courte vidéo en anglais)
-Une femme de vingt-quatre ans a été reléguée dans la salle de bain par ses trois cambrioleurs au crâne rasé… mais pas blancs, sinon leurs médiats l’auraient précisé !
Ne visant pas les causes premières, le porte-parole de la police de Southport, suite à ce vol avec séquestration, a proposé de :
-ne pas sortir seul(e) le soir ;
-s’enfermer chez soi ;
-avoir des chiens pour prévenir en cas de danger…
Auront-ils bientôt un délit de sortie nocturne, de fenêtre laissée ouverte ou de maison non gardée par des canidés ?
-Et quand les Blancs survivent dans des bidonvilles où ils ont été relégués par le criminel marxiste Mandela et son successeur polygame Jacob Zuma, comme la multiple championne de course Irène van Niekerk, d’autant plus méritante qu’outre ses conditions de vie difficiles elle court avec des pieds aux orteils abîmés presque comme attaqués par la lèpre après qu’ils ont été ébouillantés autrefois, les chaussures faites sur mesure sont volées par un drogué qui les troque contre son poison, contraignant la jeune athlète à courir… pieds nus !
On remarquera la propreté du campement de ces Blancs en Afrique du Sud, à comparer aux campements africains à Calais ou aux murs tagués en Europe comme en Amérique du Nord !
Quant à poursuivre dans le sport en Afrique du Sud, cette jeune personne risque de rencontrer un milieu désormais largement corrompu et dans lequel les athlètes subissent directement cette situation très dégradée. Ainsi, le journaliste Graeme Joffe, qui a enquêté sur ces pratiques, a préféré quitter l’Afrique du Sud après qu’on lui a annoncé que sa vie était désormais menacée suite aux révélations qu’il avait diffusées quant aux millions détournés par les apparatchiks. Il a notamment été attaqué en justice par le Comité olympique sud-africain et victime de menaces et usurpation d’identité sur les réseaux sociaux pour le discréditer. Il avait expliqué que les prélèvements effectués sur la loterie nationale, au lieu d’être alloués aux sportifs pour couvrir leurs frais de déplacement et d’entraînement, allaient dans les poches de dirigeants corrompus.
Précisons enfin que ce journaliste blanc a l’idée saugrenue, de citer feu Nelson Mandela, croyant s’appuyer ainsi sur de bons propos qui s’opposeraient à la réalité qu’il a décrite :
« Le sport a le pouvoir de changer le monde ».
Mais Graeme Joffe ne comprend peut-être pas encore que c’est pour tout changer dans le sens actuel du mondialisme voulu par la ploutocratie cosmopolite qui tire les ficelles dans les démocraties : émotion plutôt que raison, distraire les peuples de l’essentiel, généraliser les minutes de silence et l’antiracisme obsessionnel en faveur du métissage, et créer une mafia qui centralise des milliards de publicité que les consommateurs paient à leur insu en achetant la moindre babiole.
D’ailleurs qui a le plus utilisé le sport pour appuyer son pouvoir, sinon les démocraties et leurs subventions, tant libérales (spectacle quasi obligatoire où vedettes et politiciens vont se montrer) que populaires (dopage pour être les plus forts aux yeux du monde) ?…
Ces mêmes démocraties qui reprochent à qui nous savons les Jeux olympiques de 1936, pourtant tellement plus sobres que tous les suivants, dont ceux qui ont participé de l’endettement de la Grèce moderne !