Pendant que Miche Tubiana, Laurent Fabius et tous les représentants officiels du judaïsme en France exigent que les Français se taisent devant l’invasion qu’ils imposent à notre pays, l’État criminel d’Israël duquel ils prennent leurs ordres emprisonne durant des mois sans jugement, sans motif, des migrants – après qu’ils eurent travaillé pendant parfois des années pour des salaires dérisoires sous les ordres d’esclavagistes juifs.
Parfois, il arrive que certains soient libérés. C’est ce qui arrive depuis plusieurs jours, après un jugement de la Cour suprême ayant décrété que l’État criminel ne pouvait emprisonner des gens sans raison, sans charge, sans motif que durant… un an. Après quoi ils doivent être relâchés.
Le gouvernement a obéi. Depuis la fin de semaine dernière, plus d’un millier de migrants détenus depuis plus d’un an ont été libérés… dans le désert du Neguev, dans le sud de la Palestine occupée. Les autorités ont refusé de préciser ce que deviendraient les migrants ensuite. Un fait est certain : ils ne pourront plus être exploités par les mêmes esclavagistes : relâchés dans le désert, ils ont également interdiction de revenir à Tel-Aviv où, pour certains, ils ont travaillé durant plusieurs années.
Dans la « grande démocratie » du Proche-Orient, les cas d’attaques contre les migrants se sont multipliés ces derniers mois, sans provoquer la moindre réaction internationale, la moindre réaction indignée des mêmes qui, en Europe, dénoncent quotidiennement les patriotes allemands qui refusent l’invasion.
Il y aurait à Tel-Aviv entre 30 000 et 35 000 Africains ; chaque année, dans la capitale de la décadence, naîtraient 1 000 enfants africains. La « très ouverte » « grande démocratie » qui occupe la Palestine n’accueillerait, dans une région où les réfugiés se comptent par millions, en tout et pour tout… que 45 000 personnes, dont quasiment aucune n’a pu obtenir l’asile. De quoi rappeler que les mensonges et pleurnicheries liés à la prétendue “Shoah” n’ont vocation qu’à culpabiliser les Blancs et laisser Israël libre de commettre les pires atrocités.
Il est à noter que, dans une région où des millions de personnes fuient directement la guerre, la construction par l’État criminel d’Israël d’une clôture électrique de 230 kilomètres gardés par des militaires armés, n’a pas non plus provoqué la moindre réaction indignée des ennemis de l’Europe, qui dénoncent quotidiennement les rares mesures de protection prises par quelques gouvernements en Europe.