Merkel et Hollande veulent rendre l’invasion « permanente et obligatoire »
Profitant de ce qui apparaîtra peut-être bientôt comme la plus grande opération médiatique anti-européenne de l’histoire, la diffusion et l’instrumentalisation de la photo d’un cadavre d’enfant, François Hollande et Angela Merkel ne se cachent plus de vouloir procéder à la submersion de l’Europe.
Le président de leur République a annoncé avoir proposé, ni plus ni moins, qu’un « mécanisme permanent et obligatoire », à l’échelle de l’Union européenne (UE).
« En ce qui concerne ceux qui ont besoin de notre protection […] nous avons besoin de quotas »,
a réclamé de son côté Angela Merkel.
La situation se dégrade pourtant partout à travers l’Europe, et dans chaque cas, les envahisseurs montrent bien qu’ils n’ont rien de réfugiés, mais qu’il s’agit d’envahisseurs venus réclamer non pas l’asile ou un peu d’aide, mais simplement qu’on laisse envahir le pays, y apporter la misère, la guerre, les maladies, renforcer des cultures et des religions ennemies.
Des quotas de colons pour toute l’UE ?
Ainsi, divers partis, institutions et dirigeants politiques antieuropéens ont profité de l’instrumentalisation de la mort d’un enfant pour exiger l’accélération de l’invasion de l’Europe. C’est le cas du Polonais Donald Tusk, l’actuel président du Conseil européen, qui veut « redoubler les efforts de solidarité » avec « une répartition équitable d’au moins 100 000 réfugiés ».
Les règles actuelles stipulent que les prétendus « migrants » doivent être enregistrés dans le premier pays dans lequel l’envahisseur dépose sa demande. Or, les colons ne veulent la faire que dans le pays qu’ils ont déjà choisi de coloniser, provoquant d’insolubles problèmes – à moins d’expulser immédiatement et sans discrimination tous les étrangers – comme à Calais, de délinquants étrangers prêts à tout pour attaquer la Grande-Bretagne, mais refusant jusqu’à présenter une demande de demandeurs d’asile en France malgré les sollicitations de Bernard Cazeneuve.
Mais les quotas ne font pas l’unanimité.
« Si nous donnions l’impression que nous sommes prêts à accepter tout le monde, ce serait un échec moral. Ce qu’il faut, sur le plan moral, humain, c’est dire clairement : s’il vous plaît, ne venez pas. La Turquie est un pays sûr. Restez-y. C’est risqué de venir. Pour votre famille, pour vos enfants, pour vous-mêmes, il vaut mieux rester »,
a insisté de son côté Viktor Orban pour la Hongrie, lors d’une conférence de presse à Bruxelles.
Il a une fois encore refusé la politique des quotas.
C’est le cas de la plupart des pays d’Europe centrale et orientale comme la Tchéquie qui a annoncé qu’elle ferait en sorte que les envahisseurs puissent attaquer au plus vite l’Allemagne.
Émeute d’envahisseurs à Budapest, refusant d’intégrer un camp de réfugiés
Témoignant de leur vrai visage, celui de colons méprisant et violant les lois des pays qu’ils envahissent, les ‘migrants’ ont créé une émeute jeudi en Hongrie. Ils ont refusé de quitter un train qui devait les conduire dans le camp de réfugiés de Bicske, près de la capitale hongroise.
Les délinquants ont refusé d’obéir aux autorités du pays qu’ils ont attaqué, refusant de prendre des bus mis à leur disposition et bloquant le trafic ferroviaire.
Depuis plusieurs jours, des centaines d’étrangers multiplient les problèmes à la gare de Budapest, où les altercations entre groupes d’envahisseurs, alors que les problèmes s’accumulent pour les habitants qui veulent utiliser leurs transports en commun.
La commission européiste veut imposer 120 000 envahisseurs de plus à l’Europe
Le gouvernement mondialiste d’occupation de l’Europe a exigé la mise en place de nouvelles mesures favorisant l’invasion de notre continent.
« Comme les mécanismes permanents pourraient prendre du temps, et que nous avons une situation très pressante en Italie, en Hongrie et en Grèce, il va y avoir une proposition pour la réinstallation urgente de 120 000 réfugiés »,
a annoncé une source interne à la Commission européenne.
Il s’agit pour les autorités antieuropéennes de préparer le terrain aux annonces pro-invasion qui seront dévoilées le 9 septembre prochain par Jean-Claude Juncker, lors de son « discours sur l’État de l’Union », directement inspiré de l’État fédéral étasunien.
Espagne, Italie, Grèce : l’invasion se poursuit
Alors que les autorités européistes discutent des centaines de milliers d’envahisseurs déjà présents – parmi plusieurs dizaines de millions – les attaques se poursuivent. Mardi soir et mercredi matin, en quelques heures, 4 300 pseudos ‘migrants’ ont atteint Le Pirée, en Grèce, transportés par les autorités depuis l’île de Lesbos.
Ils ont été immédiatement conduits vers les gares pour qu’ils puissent violer rapidement les frontières d’autres pays.
En Espagne ce sont cinquante-cinq assaillants africains qui ont atteint les Canaries et Ceuta dans la nuit de mardi à mercredi.
Depuis quelques semaines, comme leurs homologues plus à l’est, les Africains se munissent d’une ou deux familles avec enfants pour présenter aux médiats. Ce fut le cas hier : parmi les colons figuraient deux femmes enceintes et une fillette.
Au large des côtes libyennes, les autorités européistes ont « sauvé » 3 000 envahisseurs jeudi, soit l’un des pires chiffres de ces derniers mois.
De son côté, le gouvernement bulgare a annoncé l’arrestation de 125 colons qui ont violé les frontières du pays ; les prétendus ‘migrants’ n’avaient déposé aucune demande d’asile. Le ministère de l’Intérieur, le Bernard Cazeneuve local, a annoncé qu’il pourrait bénéficier du statut de réfugié.