Les crimes de guerre commis par l’Arabie séoudite et ses complices se poursuivent dans le pays. Hier, huit civils ont été tués dans des bombardements menés à Bayhan (Marib, centre) contre un campement d’apiculteurs.
Les meurtres répétés de civils, les vidéos diffusées de tortures, d’assassinats de soldats, l’envoi de plusieurs milliers de mercenaires étrangers n’a pas provoqué la moindre réaction médiatique. La mort d’enfants yéménites ne permet pas de combler les objectifs politiques des journalistes d’extrême gauche et de leurs patrons mondialistes.
Ni Libération de l’étranger juif Patrick Drahi, ni Le Figaro, de l’étranger juif corrompu Serge Bloch – dit Dassault – ni les médiats du régime payés par le contribuable de France Télévisions, aux ordres d’un gouvernement qui arme les tueurs séoudiens et leurs alliés n’ont dénoncé ces crimes, qui ont tué pourtant, parmi tant d’autres, de nombreux enfants.
Mercredi, les terroristes ont également attaqué la maison d’un chef milicien, tuant 18 personnes, de l’aveu des rebelles pro-séoudiens, et qui seraient tous des civils selon les autorités yéménites.
Hier, les terroristes séoudiens, à l’image des groupes islamistes nihilistes qu’ils ont longtemps soutenus, formés, armés, ont très gravement endommagé le château de Baraqish (Yathill) (el-Jawf, nord-ouest). Cette cité est l’héritière d’une occupation vieille de plusieurs millénaires, et disposait, avant les bombardements des amis de Manuel Valls et Nicolas Sárközy, de ruines relativement bien conservées, notamment le mur d’enceinte de 14 mètres de haut, et où des archéologues avaient découvert il y a peu un temple au toit intact.
Une fois encore si la destruction de trésors archéologiques a ému le monde médiaticopolitique en Syrie, celui-ci se plonge dans un complice silence de mort devant ces destructions que rien ne justifie.