Les autorités ont annoncé le lancement de nouveaux travaux dans l’ancien centre aéré d’où ont été expulsés les petits Calaisiens pour laisser la place aux milliers d’envahisseurs qui, bien loin de « chercher refuge », ne rêvent que de pouvoir profiter de la situation économique en Grande-Bretagne.
Le centre Jules Ferry, qui accueille en journée tous les colons et la nuit uniquement les femmes et les enfants, va justement voir cet accueil de nuit être renforcé pour pouvoir accueillir le double de personnes.
D’autres travaux seront ensuite réalisés pour l’accueil de jour. Si le nombre de fonctionnaires diminue, si les hôpitaux et les maternités ferment, le gouvernement au contraire à trouvé sans problème de l’argent pour financer la création de nombreux emplois pour s’occuper de ceux qui violent nos frontières, enrichissent les réseaux criminels quand ils n’en font pas partie, jettent la nourriture qu’on leur donne, brûlent les vêtements qu’on leur offre et s’affrontent avec des armes à feu près de la ville. Ainsi, le nombre de personnels soignants va être doublé.
« Nous hébergeons actuellement 114 femmes et enfants, […] nous allons augmenter ces capacités d’accueil de 100 places, donc les doubler. […] Ça n’arrivera qu’en novembre ou décembre car nous faisons du sur-mesure. On a de plus en plus de femmes et d’enfants dans le camp de la lande, on ne peut pas laisser notre pays regarder ces gens sans rien faire »,
a affirmé Fabienne Buccio, préfet du Pas-de-Calais, à l’issue d’une réunion avec les groupuscules pro-invasion qui contribuent à alimenter les réseaux criminels. Les centaines de milliers de chômeurs de la région ne méritent visiblement pas qu’on fasse quelque chose pour eux selon le gouvernement d’occupation. Du reste, il ne fait rien.
S’il n’y en pas pour les agriculteurs, pour financer les bourses des meilleurs élèves, ni pour créer de l’emploi, l’argent coule à flot pour les envahisseurs. Ainsi, plusieurs millions d’euros d’argent public seront de surcroît utilisés pour équiper la « new jungle ».