Alors que le gouvernement hongrois a lancé la construction de nouvelles barrières de protection – pendant que Manuel Valls favorise ouvertement l’invasion, allant jusqu’à envoyer des fonctionnaires se prostituer pour « recruter » des pseudo réfugiés qui ne veulent pas venir en France –, un ministre hongrois, se fondant sur des études, évoque 30 à 35 millions d’envahisseurs potentiels sont prêts à attaquer l’Europe.
35 millions de colons
La dégradation des conditions sécuritaires, climatiques, économiques explique que tous ceux qui refusent d’agir pour améliorer leurs conditions de vie chez eux vont venir, de gré ou de force, chez ceux qui ont agi en conséquence. La situation qui touche l’Europe actuellement n’est en rien temporaire :
« Le nom de la clôture est “Clôture frontalière de sécurité temporaire”, mais je pense qu’il ne fait aucun doute que dans ce cas “temporaire” signifie “années” »,
a déclaré Peter Szijjártó, ministre aux Relations économiques extérieures et des Affaires étrangères, dans un entretien, évoquant la barrière de sécurité installée par les autorités hongroises.
« C’est se mentir à soi-même que de décrire cette situation comme une crise migratoire ; c’est une migration massive de nations entières, avec des réserves inépuisables »,
précise le ministre, ajoutant :
« Je ne pense pas que les résultats d’analyses, indiquant que 30 à 35 millions de personnes là-bas pourraient devenir des migrants, soit une exagération. La Libye, le Yémen, la Syrie, l’Irak et l’Afghanistan sont tous les pays avec une population énorme et avec une situation extrêmement instable ».
reeLa responsabilité des gouvernements européens et de l’UE
Peter Szijjártó a rappelé l’immense responsabilité des gouvernements européens, derrière lesquels se trouvent le grand patronat mondialiste, le monde juif, et les groupes d’extrémistes internationalistes.
« Les décisions politiques internationales récentes ont créé une situation instable à travers l’Europe de sorte que le nombre de personnes ne diminuera pas »,
affirme-t-il.
Outre la culpabilité des gouvernements, il a également dénoncé l’impuissance de l’Union européenne (UE) :
« Ce problème [l’invasion] n’a pas été très important jusqu’à présent, donc l’Union européenne l’a un peu négligé. Il est devenu clair que – bien que ce soit la frontière de Schengen – la Grèce ne pourrait pas protéger la frontière de l’Union européenne. La frontière serbo-hongroise est une autre frontière de Schengen. Si nous voulons suivre les ordres de Schengen, nous devons construire une obstruction physique, parce que cette zone de 175 kilomètres de long est assez facile à franchir. L’Union européenne vient de réaliser ce que signifie la frontière Schengen. Si nous voulons garder la liberté de circulation dans l’Union européenne, nous devons protéger les frontières extérieures »,
a-t-il précisé, rappelant que la Hongrie agissait comme elle le devait en vertu même des présupposés européistes.
« Voilà pourquoi il est extrêmement important de protéger nos frontières »,
a-t-il conclu.
Des mesures préventives
Outre ces mesures, la Hongrie, après le Danemark, fait désormais savoir aux envahisseurs avant qu’ils ne s’embarquent vers l’Europe qu’ils ne sont pas les bienvenus. Le gouvernement a acheté des encarts publicitaires dans les journaux libanais notamment pour les prévenir que désormais, les étrangers qui violent les frontières de la Hongrie risquent la prison.
« Les Hongrois sont hospitaliers, mais les mesures les plus sévères possibles sont prises contre ceux qui tentent d’entrer en Hongrie illégalement. Traverser illégalement la frontière du pays est un crime passible de prison. N’écoutez pas les trafiquants d’êtres humains. La Hongrie ne permettra pas aux immigrants illégaux de traverser sa frontière »,
préviennent les autorités en arabe et anglais.