L’Union européenne (UE) a annoncé la mobilisation de 1,7 milliard d’euros supplémentaires dans la « crise des migrants ». Les Européens, et singulièrement le contribuable français, ont pourtant déjà été volés de plusieurs milliards pour organiser l’arrivée des ‘migrants’, les ‘sauvetages’ en Méditerranée, la mobilisation des forces sécuritaires, les millions de nuits d’hôtel, les soins, les installations en tout genre, la nourriture, l’eau, les vêtements – si souvent jetés sans jamais avoir été utilisés –, etc.
Ce n’est pas tout. Alors que les hôpitaux et les maternités ferment, que leur prétendue « crise » conduit les autorités à imposer d’innombrables restrictions – pour les Français, pas pour l’oligarchie –, François Hollande a annoncé que la France allait « dégager » (?) « 100 millions d’euros sur deux ans » pour « l’aide aux réfugiés ». Il s’agit de cent millions supplémentaires.
« Les États membres devront faire également des contributions supplémentaires, je pense notamment à mon pays qui sur le Programme d’aide alimentaire, le PAM, mais également pour l’aide aux réfugiés, devra dégager des moyens en plus de ce qui a été prévu »,
a précisé l’occupant de l’Élysée. Après avoir violemment haussé le ton contre les pays qui refusent l’invasion, les autorités européistes ont prétendu vouloir agir sur les causes des migrations de masse. Les propos de François Hollande montrent que rien n’a changé pourtant dans l’esprit des européistes.
« Ces moyens vont aller précisément dans les camps de réfugiés pour que ces hommes, ces femmes, ces familles, puissent vivre dignement. C’est aussi un argent qu’il n’y aura pas à dépenser autrement parce que si ces réfugiés viennent dans notre pays, au regard du droit d’asile, nous les accueillerions et nous savons que ça aurait des conséquences également financières »,
a-t-il menti, alors qu’il a répété dans le passé que, quoi qu’il arrive, il n’était pas question de rejeter les prétendus « demandeurs d’asile », et comme si laisser des gens vivre dans des camps de réfugiés était une solution.