En Angleterre leurs envahisseurs ‘migrants’ d’Asie centrale et d’Afrique organisent des réseaux de traite des Blanches dans la prostitution pédocriminelle.
Favoriser la destruction des Anglaises par la racaille d’invasion
Mais les autorités politiciennes protègent les agissements allogènes au nom de leur ‘antiracisme’. Leurs ‘justice’ et police vendues aux mondialistes contribuent ainsi, aussi activement que les gangs de Pakistanais, Indiens, Afghans, Somaliens et autres à détruire la vie de milliers d’adolescentes anglaises issues pour la plupart de milieux pauvres victimes du libéralisme financier.
Rien qu’à Rotterham, ville anglaise de dimension pourtant seulement moyenne, 1.400 (mille quatre cents !) jeunes filles ont été droguées, battues, violées et prostituées par un seul groupe de barbares d’Asie centrale. Et les affaires de ce type gangrènent tout le pays.
Mais leurs médiats, après que les tabloïds ont révélé certaines affaires, pratiquent désormais l’inversion accusatoire contre… les étudiants anglais, histoire d’ignorer le cœur du problème et de creuser un fossé entre Anglais et Anglaises afin d’inciter ces dernières à s’offrir à la marée étrangère de la sauvagerie polygame qui finira alors de détruire leurs vies.
Convoquer les Anglais en rééducation accusatoire
Ainsi, sous prétexte d’une « invitation », en réalité une convocation de l’occupant, les étudiants anglais sont amenés à courber l’échine pour confesser des crimes qu’ils n’ont pas commis et auxquels ils n’auraient même pas pensé. Ils doivent donc se rendre à des réunions à propos du « consentement sexuel » car ce sont eux, mais surtout pas les grappes de violeurs, qui sont accusés d’éventuellement, un jour, peut-être pouvoir devenir des criminels.
Ceci est donc une façon très maline de, insidieusement et collectivement, leur faire accroire, consciemment ou non, c’est-à-dire de les accuser à tort, qu’ils seraient le groupe ethnique des violeurs, dans la généralité des cas.
Preuve de l’intensité de leur tyrannie castratrice anti-Européens : face à ce nouvel avatar du marxisme culturel manié par leurs coreligionnaires du libéralisme, il a suffi qu’un jeune Anglais ose protester contre cette part de leur doxa anti-européenne pour être immédiatement lynché médiatiquement par un aboyeur de leur chenil.
Il faut dire que ce jeune homme propre sur lui a exprimé une évidence tirée des faits, à savoir que l’immense majorité des violeurs qui commettent d’innombrables crimes contre les Anglaises n’ont pas du tout la même apparence [très européenne, voire ‘So British’] que lui.
Faire culpabiliser le Blanc… des crimes qu’il subit… en l’en accusant
C’est alors Rebecca Reid qui s’est précipitée à l’avant-garde médiatique de leur Système pour pratiquer leur habituelle inversion accusatoire consistant à généraliser une exception seulement éventuelle afin de transformer fictivement les victimes en bourreaux et réciproquement.
« Actualité brûlante (sic) : les violeurs peuvent être des étudiants bien élevés »
s’est-elle permis de titrer un article du Telegraph, ignorant la contradiction intrinsèque à cette affirmation gratuite.
N’émettant pourtant qu’une simple supposition sortie de son cerveau aux symptômes freudiens évidents, elle n’a même pas daigné employer le conditionnel, certainement afin que le lecteur-zappeur influençable gobe ça comme une ‘règle’ générale… quoique à l’exact opposé des faits subis par les filles et les femmes en Angleterre. Prétendant ainsi ‘lutter contre les préjugés’, c’est elle qui nous en sert un énorme… que nous préférons lui recracher à la figure !
Le pouvoir d’occupation détruit les pays d’Europe par l’immigration allochtone
En réalité, si les étudiantes en Angleterre sont aujourd’hui plus exposées au harcèlement, aux agressions et aux viols, les causes sont à rechercher en premier lieu dans le mélangisme racial avec des colons qui n’ont pas du tout les mêmes mœurs et encore moins le même respect que les Européens pour les Européennes, preuve en est la condition faite aux femmes au Pakistan.
Et le phénomène s’aggrave très rapidement puisque, avant d’exercer leurs pulsions criminelles outre-Manche, les Africains s’entraînent désormais, en toute impunité républicaine, au viol sur les Françaises dans les rues de Calais.
Finalement, tout ce dont on peut accuser les jeunes Anglais et plus largement les Européens, c’est uniquement de ne pas se lever tous ensemble contre le pouvoir qui, parallèlement à la dette perpétuelle, organise la dissolution ethnique et morale de nos pays.
Mais ça, évidemment, leur ‘journaliste’ Rebecca Reid ne l’écrira pas !