Plusieurs milliers de Tchèques ont manifesté ce mercredi dans les rues de leur pays pour dénoncer l’invasion, à l’occasion de la fête nationale. Des rassemblements parfois très conséquents ont été constatés à Prague, Brno, Ostrava, Liberec, Aussig-sur-l’Elbe, etc. Le message, dans la lignée des Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident (PEGIDA, Patriotische Europäer Gegen die Islamisierung des Abendlandes) – le principal représentant de ce mouvement, Lutz Bachmann, a pris la parole à Prague –, était nettement tourné contre l’islamisation et la dénonciation de l’Union européenne (UE) et particulièrement de la politique d’Angela Merkel.
« Fermer les frontières ! »,
« Merkel fossoyeur de l’Europe »,
« Défendons l’Europe ! »,
clamaient les manifestants brandissant des drapeaux tchèques, mais aussi allemands.
Des extrémistes pro-invasion ont tenté dans plusieurs villes de perturber les rassemblements pacifiques et des violences se sont produites à Liberec, obligeant à une action musclée des forces anti-émeutes. Ces dernières sont également intervenues à Prague pour prévenir les incidents.
Loin des discours velléitaires et sionistes de diverses marionnettes du système, à Aussig-sur-l’Elbe, des partisans du mouvement interdit de la Résistance nationale (Narodni odpor) ont déployé leur bannière. À Vetmi, un village de Bohême-du-Sud, le rassemblement était organisé par les nationalistes du Parti des travailleurs pour la justice sociale (Dělnická strana sociální spravedlnosti).
Ces manifestations ont été menées alors que le président tchèque a tenu des propos sans concession contre l’invasion et que l’Organisation des Nations unies (ONU) et d’autres organismes mondialistes ont lancé contre le pays une campagne de diffamation.