Alors que François Hollande se rendait chez Lucette, dans le décor d’une fausse maison, avec une fausse Française moyenne, pour un faux dialogue, un Français ayant vraiment des choses à dire à l’occupant de l’Élysée faisait l’objet d’une scandaleuse mesure dictatoriale la semaine dernière.
Comme régulièrement depuis plusieurs années, des flics républicains ont arrêté sans motif, dans la plus totale illégalité, un opposant politique fiché. La dernière arrestation arbitraire s’est déroulée dans les rues de Vandœuvre-lès-Nancy.
Interpellé en pleine rue, conduit au commissariat pour un contrôle d’identité préventif, Denis Gabet pouvait pourtant parfaitement faire état de son identité. Les individus qui l’ont fait arrêter, un haut responsable de la préfecture, à même confirmé qu’il savait très bien de qui il s’agissait. La victime de la dictature a été simplement interdite de défendre la famille par des racailles bleues. Ces dernières ont prétexté un « tapage injurieux » et une organisation de manifestation non déclarés, car ils ont identifié cinq autre personnes « dans le même état d’esprit » selon les mots de la police politique. Au moment de son arrestation par ordre de Nicolas Jolibois, le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP), il est établi que Denis Gabet n’avait commis aucune violence, qu’il n’avait pas de comportement suspect, et n’était pas même habillé aux couleurs de La Manif pour tous (LMPT). Il n’était évidemment ni armé, ni alcoolisé, ni drogué.
« C’est pas [sic] qu’il l’a fait, c’est qu’on sait qu’il en est capable »,
ont osé les laquais de Manuel Valls.
Pour ce simple « contrôle d’identité », le citoyen a été placé, en violation de toutes les règles, une demi-heure en cellule et privé de liberté au total pendant environ une heure.
Denis Gabet a annoncé son intention de porter plainte, à l’image d’autres Français traités selon les mêmes procédures illégales par la dictature et ses racailles à travers la France. Plusieurs affaires seront jugées ces prochains mois.
En France un flic c’est soit une pute soit un chômeur … un peu comme nos jew-naliste de la press-titution …