Dans les heures qui ont suivi l’attaque sanglante à San Bernardino, les médiats français comme divers responsables de gauche ont immédiatement dénoncé le droit de porter des armes comme responsable de la tuerie. Plusieurs journaux sont allés jusqu’à organiser des tables rondes sur le sujet, consacrant au total des heures sur un sujet… n’existant pas.
La présence d’hommes et de femmes armés et déterminés sur les lieux du drame aurait pu nettement réduire le bilan.
Surtout, comme les faits le laissaient supposer dès le début, il s’agit bien d’un attentat terroriste islamiste. L’armement et l’équipement (fusils d’assaut, gilets pare-balles et vêtements militaires), comme la détermination des tueurs excluaient la possibilité de tout acte spontané, tout comme la participation d’au moins deux individus.
Depuis, les informations se sont accumulées accréditant la thèse terroriste, totalement occultée par les médiats aux ordres dès l’annonce des faits. Selon CNN, l’islamiste tueur, qui bénéficiait d’un bon emploi de fonctionnaire, faisait l’objet d’une enquête du Bureau d’enquête fédéral (FBI, Federal Bureau of Investigation) pour ses liens avec des terroristes.
Les enquêteurs ont par ailleurs trouvé douze bombes artisanales au domicile du couple de tueurs, une importante quantité d’armes de guerre et plusieurs milliers de munitions.
Syed Rizwan Farook et Tashfeen Malik ont tué 14 personnes et blessé 17 autres dans un bâtiment administratif de San Bernardino (Californie, ouest) le 2 décembre.