Il fallait toute la morgue et la haine des juges rouges de Christiane Taubira pour oser, trois semaines après les attentats de Paris et Saint-Denis, commis par une dizaine de criminels étrangers, agissant au nom de l’islamisme, condamner un journal pour avoir dénoncé l’invasion et l’islamisation. C’est ce qui est arrivé à Valeurs actuelles dont le directeur de publication a écopé de 2 000 euros d’amende pour « provocation à la discrimination ».
L’hebdomadaire avait publié en une la photo d’une « Marianne », figure symbolique représentant la République qui a organisé l’invasion, cachée sous un voile islamique. Le titre du numéro était : « Naturalisés l’invasion qu’on nous cache », avec les mentions « Deux Français sur trois contre les naturalisations massives de Valls », « Islam, immigration : comment la gauche veut changer le peuple » et « Le poids des musulmans n’a cessé d’augmenter ».
Le journal devra publier dans un prochain numéro un communiqué judiciaire et son directeur Yves de Kerdel devra payer un total de 1 002 euros de dommages et intérêts aux quatre associations juives et associées qui avaient porté plainte : l’Union des étudiants juifs de (sic) France (UEJF), SOS Racisme, la Maison des potes et la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA).
Dans ce régime dictatorial qui n’hésite pas à se proclamer le défenseur de la liberté d’expression, comme l’URSS se proclamait populaire et socialiste, précisons qu’Yves de Kerdel sera encore jugé la semaine prochaine. C’est cette fois pour avoir « provoqué » les surrépublicains gitans, pour un dossier intitulé « Roms l’overdose », qu’il sera condamné – la sentence de la dictature ne fait aucun doute –, pour avoir dénoncé une population étrangère que les Français sont censés accueillir, financer et tolérer malgré tous les problèmes qu’ils posent.
« Dans ce régime dictatorial qui n’hésite pas à se proclamer le défenseur de la liberté d’expression, comme l’URSS se proclamait populaire et socialiste »
98% des membres du PCUS étaient, hé oui… juifs. La belle surprise. Ca n’a guère changé de nos jours.
D’accord avec cet article du point de vue politique, mais pas du point de vue strictement et froidement légal.
Il se trouve que l’art. 24 de la loi du 29 juillet 1881, dont ce sont servis les mercenaires de la Juiverie, réprime en particulier la provocation « à la haine ou à la discrimination » (concepts assez vagues que des avocats habiles et grassement payés peuvent bricoler à leur avantage) « à raison de l’origine ou de l’appartenance OU de la non appartenance à une religion ou à une nation »
Or la notion de « naturalisés » entre typiquement dans ce dernier cadre (1), d’une part, et, avec l’aide de quelques arrêts de cour de cassation (de mémoire!) fustigeant notamment le côté affreusement péjoratif du terme « invasion », d’autre part, le tour est joué: les méchants journalistes racistes de Valeurs Actuelles ont assimilé de gentils naturalisés à des envahisseurs.
A moins d’une plaidoirie brillantissime de la défense débouchant sur un revirement de la jurisprudence, c’est plié: le juge, rouge ou pas, ne pourra que confirmer l’argumentation juridique de la Juiverie.
Comme cela m’étonnerait qu’un magazine comme Valeurs Actuelles n’ait pas dans son équipe un avocat capable de les mettre en garde contre une couverture dangereuse, à mon avis c’est un calcul de leur part.
Cordialement.
(1) pas celle de « sans-papiers », de « migrants », d' »islamistes », ou de « juiverie » d’ailleurs: là on peut s’en donner à cœur joie. Et le résultat politique sera le même (avec les avantages pécuniaires et d’image auprès du « citoyen lambda » de la non-condamnation en Justice).
Il faudrait peut-etre dire aux étudiants juifs,et aux juifs en général que les musulmans,suivant les directives de leur livre « saint » n’ont qu’un projet d’avenir pour eux : LES ELIMINER