SOMMAIRE :
ACTUALITÉ NATIONALISTE EN EUROPE :
- Grèce : Aube Dorée s’oppose au transfert de la surveillance des côtes grecques à l’OTAN
FRANCE :
- France : profanation de lieux de culte le 2 poids 2 mesures
- Orange : ostracisme anti-Bompard
ÉTRANGER :
EUROPE :
- Autriche : nouvelles agressions sexuelles d’envahisseurs dans des piscines
- Allemagne : un inquiétant rapport sur la criminalité des envahisseurs
- Suède : des actes de résistances à l’invasion
- Kosovo occupé : nouvelle profanation d’une église orthodoxe serbe
- Pays-Bas : un char de la Commission européenne à la marche des déviants
MONDE :
- Côte d’Ivoire : carnage à Grand Bassam
- États-Unis : crispation et diabolisation autour de la campagne de Donald Trump
- Pakistan : atteinte contre les mineurs, des progrès bien tardifs
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Journal du 14 mars 2016
ACTUALITÉ NATIONALISTE EN EUROPE :
Grèce : Aube Dorée s’oppose au transfert de la surveillance des côtes grecques à l’OTAN
Le mouvement nationaliste grec Aube Dorée a dénoncé la semaine dernière la provocation de la coalition gauchiste Syriza de brader la souveraineté grecque. En effet début mars le ministère grec de la Défense Nationale a annoncé que désormais l’OTAN assurerait des fonctions de « gardes-côtes » en Mer Égée sous prétexte de lutte contre la crise des « migrants ». Aube Dorée a déclaré qu’une telle décision est une soumission, un abaissement de la souveraineté grecque qui humilie les forces armées du pays, qui devraient être les seuls garantes de la paix et de la stabilité en Grèce.
Aube Dorée est partisan d’une coopération géopolitique de la Grèce avec la Russie et a soulevé cette question au parlement, affirmant que Syriza est devenu « une marionnette des États-Unis », trahissant les intérêts du peuple grecs. L’Aube Dorée a également dénoncé le risque qu’en acceptant l’OTAN en Mer Égée, cette organisation impérialiste se comporte en cheval de Troie de la Turquie étendant sa souveraineté aux îles disputées dans cette région.
FRANCE :
Églises-synagogues : profanation de lieux de culte, le 2 poids 2 mesures
« Deux croix gammées et des messages antisémites » auraient été découverts samedi sur la façade de la synagogue de Verdun dans la Meuse selon le procureur de la république. Ce dernier a déclaré que « cela trouble non seulement la communauté juive mais aussi toutes les personnalités » et précisé qu’une enquête avait été ouverte « pour déterminer qui sont les auteurs de ces actes clairement antisémites ». Ce dont nous ne doutons pas et avec des moyens dont nous avons sans doute peine à imaginer l’ampleur. Grillant la priorité à Manuel Valls, le secrétaire d’État chargé des Anciens combattants et de la Mémoire a d’ores et déjà réagi : « Nous n’accepterons jamais que la haine et la bêtise l’emportent sur les principes de tolérance et de respect, qui sont au cœur de notre modèle républicain ».
Mais qui donc a entendu parler de la profanation dans la Drôme de l’Église Notre-Dame de Valence qui a été également souillée de façon concomitante dans la nuit de samedi à dimanche ? En effet des tags anarchistes antichrétiens ont été tracés sur la façade qui a été maculée de rouge : « Ni Dieu Ni Maître » accompagné du « A » symbole anarchiste. Les réactions du plus haut sommet de l’État se font encore attendre ; sans doute un oubli ?
Orange : ostracisme anti-Bompard
Suite à la démission de Thiery Mariani de la présidence du festival des Chorégies d’Orange, l’intérim de la fonction revient à Marie-Thérèse Galmard, une adjointe de Jacques Bompard à la Mairie d’Orange en attendant l’élection d’un nouveau président. Ce qui n’est que l’application des statuts du festival des Chorégies ne plait pas à la nouvelle ministre de l’anti-Culture, Audrey Azoulay et au président Les Républicains de la région PACA, Christian Escrosi. Dans un bel élan d’ostracisme et d’animosité gratuite, les deux ont annoncé « avoir échangé samedi sur la conduite à tenir dans cette affaire » et évoquer la possibilité du désengagement et du retrait de la subvention de l’État (soit environ 6 à 7 % du budget du festival).
ÉTRANGER :
EUROPE :
Autriche : nouvelles agressions sexuelles d’envahisseurs dans des piscines
À Klagenfurt un « migrant » non identifié s’est saisi d’un enfant de 4 ans dans une piscine et l’a emporté avec lui dans une zone sombre et isolé afin d’y attirer sa mère. Venant porter secours à son enfant, la femme de 37 ans a été agressée par l’envahisseur criminel qui a tenté de glisser ses mains sous son maillot. La femme a réussi à le repousser et récupérer son fils. L’agresseur, décrit comme un homme âgé d’environ 50 ans, la peau foncée et ne parlant pas allemand a réussi à s’échapper.
À Vienne, toujours dans une piscine, un demandeur d’asile Afghan s’est adressé à une petite fille de 7 ans lui demandant d’accomplir des actes obscènes. Des témoins ont donné l’alarme immédiatement empêchant l’agresseur de passer à l’acte. De façon totalement aberrante mais habituelle, la justice autrichienne a fait preuve d’un laxisme complice en libérant l’envahisseur criminel sous caution, lui laissant toute latitude de réitérer ses actes sur de nouvelles victimes.
Allemagne : un inquiétant rapport sur la criminalité des envahisseurs
Un rapport interne de la police relatif à la criminalité des pseudo-réfugiés ayant atteint l’Allemagne a fuité dans la presse. Le rapport affirme que la criminalité des envahisseurs est plus importante que ce que les autorités laissent entendre et que les statistiques pour 2015 sont plus inquiétantes que celle de 2014 : l’année écoulée les 1,1 d’envahisseurs auraient commis plus de 200 000 crimes en Allemagne et la police a du intervenir à plus 90 000 reprises dans les centres d’accueil pour résoudre des conflits.
Mais le rapport pointe du doigt que le pic de criminalité des pseudo-migrants n’est pas encore atteint notamment pour ce qui des infractions liées aux stupéfiants et surtout aux agressions sexuelles. En effet l’Allemagne pourrait accueillir en 2016 plus de 1,5 millions de nouveaux envahisseurs ce qui risquerait de submerger les capacités opérationnelles actuelles des forces de l’ordre.
Suède : des actes de résistances à l’invasion
Samedi dernier, dans la ville de Boras, sur la côte de la Mer du Nord, un incendie a ravagé des bâtiments qui étaient prévus pour accueillir plusieurs centaines de faux-réfugiés mais vrais envahisseurs que les oligarchies et les médias appellent pudiquement « migrants » Plus au Sud, dans le comté de Scanie, une ancienne école aménagée également pour ces envahisseurs, mais pas encore occupée, a été la cible d’un jet d’objet enflammé.
Ces actes que la police qualifie de « criminels », son les réactions légitimes d’une population suédoise autochtone qui refuse de se laisser envahir et soumettre par les hordes qui déferlent à travers l’Europe vers les pays du Nord. Ainsi en 2015 la police suédoise a constaté 58 incendies « criminels » contre des centres d’accueils réservés aux étrangers. Et ce n’est sans doute pas terminé puisque selon l’Office national suédois des migrations, la Suède s’apprête à voir arriver plus de 140 000 envahisseurs en 2016 alors qu’elle en a reçu plus de 160 000 en 2015.
En effet, Angela Merkel et sa majorité de coalition mène une politique d’accueil criminelle pour le peuple allemand et même au-delà pour l’avenir du continent.
Kosovo occupé : nouvelle profanation d’une église orthodoxe serbe
L’église de la Dormition de la Très Sainte Mère de Dieu, de rite orthodoxe serbe au Kosovo occupé, a été cambriolée le 28 février dernier. Le prêtre, Slobodan Djoric, a dénoncé à la police – sans trop d’espoir – le pillage de ce lieu sacré inscrit sur la liste des monuments particulièrement importants. Les portes ont été brisées, trois croix et un encensoir ont été volées et le sol creusé (tentative de découvrir des objets précieux cachés ?). Mais cet acte crapuleux se double également d’une volonté sacrilège puisque des icônes ont été jetées au sol et éparpillées. Il s’agit donc bien également d’une de ces tentatives supplémentaires et récurrentes d’intimidation des populations serbes du Kosovo en vue de les faire fuir et d’éradiquer le témoignage de l’appartenance au christianisme orthodoxe de la province.
Pays-Bas : un char de la Commission européenne à la marche des déviants
Les organisateurs de « l’Euro Gay Pride 2016 » à Amsterdam, cette marche de « fierté » de tous les déviants exhibant leurs perversions, ont rendu publique la liste des organisations qui les soutiennent. Au milieu des 80 organisations recensées qui financent la décadence, dont bien sûr une grande quantité d’associations LGBT, on trouve évidemment de nombreuses compagnies multinationales qui veulent s’associer à l’événement mais également la Commission européenne !
Cet organe de l’Union européenne – le plus puissant puisque chargé des missions d’impulsion, d’élaboration et de contrôle de la législation européenne – fait partie des organisations participantes et aura son propre char. La Commission a ainsi voulu s’associer à la campagne de cette année sous le thème « Rejoins notre liberté ». Et c’est ainsi que les milliards d’euros d’impôts des Européens, collectés par les États et reversés à l’Union pour son fonctionnement et ses projets, servent à financer la décadence et la perversion de la jeunesse d’Europe.
MONDE :
Côte d’Ivoire : carnage à Grand Bassam
Six individus de type africain ont attaqué simultanément deux hôtels et une plage, très fréquentés par les expatriés mais aussi par les Ivoiriens le dimanche, du quartier touristique appelé « France » à Grand Bassam (30 km à l’Est d’Abidjan). Les assaillants, cagoulés, habillés en treillis et scandant « Allah Akbar », ont ouvert le feu avec des armes de guerre et des grenades contre la clientèle des établissement concernés faisant au moins 16 morts (4 Européens dont 1 Français) et plus de 50 blessés selon un bilan provisoire. Les assaillants ont été tués par les forces ivoiriennes et l’acte a été revendiqué par Al-Quaeda au Maghreb Islamique. Il s’agit de la première attaque jihadiste sur le sol de la Côte d’ Ivoire.
De sanglantes attaques jihadistes ont visé ces derniers mois Bamako et Ouagadougou, les capitales du Mali et du Burkina Faso, deux pays d’Afrique de l’Ouest. Mais le mode opératoire rappelle celui des terroristes qui ont frappé sur les plages de Sousse en Tunisie en juin 2015.
États-Unis : crispation et diabolisation autour de la campagne de Donald Trump
La campagne de Donald Trump aux États-Unis pour la primaire du Parti républicain se déroule de plus en plus sous tension. Au fur et à mesure que Trump assène quelques – modestes – vérités sur l’immigration ou sur l’islam, ses adversaires perdent leurs nerfs et lâchent leurs chiens. Ainsi, vendredi 11 mars, des centaines d’opposants, composés d’immigrants mexicains illégaux, de militants du mouvement raciste anti-blanc « Black Lives Matter » ou du mouvement stipendié à Georges Soros « Move On » et de partisans du candidat gauchiste aux primaires du Parti démocrate Berni Sanders, ont investi le stade dans lequel Trump devait s’adresser à ses partisans à Chicago. Les troubles et violences survenus ont contraint Trump a annulé son meeting pour des raisons de sécurité et ont conduit à 5 arrestations et 2 blessés chez les policiers. Le matin même dans le Missouri une autre réunion de Trump avait été incessamment interrompue par des opposants dont 32 ont du être arrêtés par les forces de l’ordre.
Cette crispation est évidemment la conséquence d’une diabolisation que l’on voit progressivement se mettre en place au fur et à mesure des victoires d’étapes du milliardaire qui crédibilisent ses chances d’être le candidat républicain à l’élection présidentielle. Et cette diabolisation est motivée par la contestation (que Trump exprime avec force dans ses discours mais qui reste bien limitée sur le fond) des dogmes mondialistes, immigrationnistes ou laxistes. Des contestations qui parlent à l’oreille du citoyen américain moyen, celui qui n’est ni un golden boy cocaïné du « New York Stock Exchange » (la bourse de New York) ni un déviant de la communauté LGBT de San Francisco.
Après les critiques de l’(anti-)pape François affirmant qu’une « personne qui veut construire des murs et non des ponts n’est pas chrétienne », c’est le lobby sioniste qui a déclenché un tam-tam médiatique contre Donal Trump. Les déclarations de personnalités juives comparant Donal Trump à Hitler commencent à fleurir. D’Abraham Foxman, ancien dirigeant de l’Anti Defamation League : « En tant que juif qui a survécu à l’Holocauste, voir un public de milliers de personnes lever la main dans ce qui ressemble à un salut ‘Heil Hitler’ est ce qu’il y a de plus offensant, odieux et dégoûtant que j’aurais pu imaginer voir un jour aux Etats-Unis ». D’Eva Schloss, demi-sœur par alliance d’Anne Franck : « Si Donald Trump devient le prochain président des États-Unis, cela sera un désastre total. Je pense qu’il agit comme un autre Hitler en incitant au racisme ». Dès lors, de ce côté-ci de l’Atlantique, leurs obligés mondialistes et immigrationistes ne veulent pas être en reste. Martin Schulz, président du Parlement européen, estime lui que « Trump appartient à ces gens que nous connaissons ici aussi en Europe, qui ont pour n’importe quelle chose un bouc émissaire mais jamais une solution concrète », voyant un parallèle avec le « populisme sauvage » dans l’Union européenne.
Laissons la conclusion à Donald Trump lui-même : « «Honnêtement, c’est plus amusant que d’écouter un discours, n’est-ce pas?».
Pakistan : atteintes contre les mineurs, des progrès bien tardifs
Vendredi 12 mars, après des centaines de scandales ayant secoué l’opinion publique, surtout internationale d’ailleurs, le Pakistan a voté une loi, ratifié par le président pakistanais, qualifiant de crime puni jusqu’à 7 ans d’emprisonnement la pornographie infantile, les agressions sexuelles sur mineur autre que le viol et le trafic d’enfants. Jusqu’à présent seul le viol commis sur un mineur était un crime et les autres formes d’agressions et d’atteintes n’étaient même pas mentionnées dans le droit pakistanais.
Néanmoins, si des progrès – bien tardifs – sont constatés concernant les mineurs, il n’en est pas autant pour les femmes dans ce pays musulman rongés par un fondamentalisme se voulant le plus conforme aux préceptes du Coran et le plus proche de l’exemple de Mahomet. Le 3 mars dernier le Conseil d’idéologie islamique, qui a un pouvoir de véto sur le vote des lois, a rendu une décision affirmant que les lois de protection des femmes votées au Penjab sont contraires aux principes de l’islam. Cette province avait élaboré une législation inédite de protection des femmes contre les violences sexuelles, psychologiques et conjugales permettant notamment la création de refuges pour les femmes victimes. Ce Conseil s’était déjà fait remarqué avec des décisions comme celle affirmant que l’ADN ne peut pas être utilisé comme preuve dans les affaires de viol ; ou encore obligeant les femmes violées à apporter 4 témoignages pour faire condamner leur violeur…
© Jeune nation – 2016
Serment de l’armée fait à l’Empereur après la distribution des aigles, 5 décembre 1804
Jacques Louis David – 1er janvier 1810 – Salle du Sacre du Château de Versailles