C’est dans la grande salle de réception d’un hôtel parisien que se tint la fameuse réunion sur le thème d’actualité « Quel avenir pour l’Homme blanc ? » – organisée et annoncée à grand renfort de propagande par le dynamique groupe Paris nationaliste – concluant une année militante particulièrement riche en événements.
C’est près d’une centaine de personnes venues de Paris et de toute l’Île-de-France qui se pressèrent afin d’écouter les trois prestigieux orateurs suivants, principaux chefs de file des nationalistes radicaux de France, qui prirent la parole dans cet ordre :
Le jeune militant Alexandre Gabriac, conseiller régional de la région Rhône-Alpes et président des Jeunesses nationalistes (JN).
L’écrivain et activiste nationaliste Hervé Ryssen.
Le président – envers et contre tout – de l’Œuvre française et conseiller municipal de Vénissieux (69), Yvan Benedetti.
Alexandre Gabriac s’intéressa à la cause du mal-être et de la victimisation quotidiens de l’Homme blanc dans notre société, qu’il attribua à une dévirilisation des mâles de notre peuple, dévirilisation faisant le bonheur des « racailles » et autres immigrés en tout genre et instillée à dessein par les idéologies et modes suivantes : droits de l’homme, repentance et du respect et de la tolérance.
À ces maux, il opposa les remèdes à administrer, à savoir une revirilisation de l’Homme blanc, morale, physique et intellectuelle, ainsi que le retour d’une fierté, celle de notre histoire, de notre sang et de notre sol !
Ensuite vint le tour d’Hervé Ryssen qui fit immédiatement le lien entre l’affaiblissement provoqué et voulu de la race blanche et l’action du judaïsme, insistant sur l’importance d’avoir un projet eschatologique viable. Il évoqua la dangerosité de l’homosexualité, promue et utilisée pour nuire à l’Homme blanc. L’orateur répondit ensuite à de nombreuses et intéressantes questions.
Enfin, ce fut Yvan Benedetti qui prit la parole. Il débuta son intervention par un rappel de son refus absolu des dissolutions par leur République des mouvements des Jeunesses nationalistes et de l’Œuvre française, dissolutions auxquelles un vigoureux « NON ! » est opposé, se démarquant ainsi de toute idée de reptation telle qu’une auto-dissolution.
Revenant au sujet de la conférence, Yvan Benedetti dénonça le remplacement de population en cours, dont les deux bras armés sont d’un côté l’avortement et de l’autre l’immigration, brocardant au passage ceux qui découvrent – ou feignent de découvrir – aujourd’hui ce que les nationalistes dénoncent depuis les années 70.
Et c’est sur la nécessité de briser le carcan du politiquement correct ainsi que sur celle de mener une Révolution nationale, alors que la situation s’y prête enfin, qu’il termina sa prise de parole, déclenchant les vifs applaudissements d’une salle enthousiasmée par ce discours radical et conquérant, loin de la terne mollesse d’une droite nationale de perdants fossilisés !
La réunion se conclut par des discussions et rencontres amicales, ou des contacts prometteurs se nouèrent, tandis que les stands présents (Hervé Ryssen, Les Caryatides et le Comité de liaison et d’aide aux nationalistes) ne désemplissaient pas, diffusant littérature, propagande et objets politiquement incorrects !
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