« Indigènes de la République » : un camp d’été « décolonial » interdit aux Blancs
Des proches du groupe islamo-marxiste et raciste PIR, « Parti de Indigènes de la République » d’Houria Bouteldja, organisent un camp d’été « décolonial » interdit aux Blancs. L’objectif du camp est présenté comme une « formation militante contre le racisme d’État » et à « l’antiracisme politique ». Et l’événement doit s’inscrire « dans la tradition des luttes d’émancipations décoloniales anti-capitalistes et d’éducation populaire ». Il est bien précisé sur le site internet des organisateurs : «Le camp d’été est réservé uniquement aux personnes subissant à titre personnel le racisme d’État en contexte français, nous accepterons cependant quelques inscriptions de personnes subissant le racisme d’État mais vivants dans d’autres pays ». Les Blancs, qui ne souffrent pas de «racisme structurel» selon la définition qu’en donne Houria Bouteldja et les siens, en sont donc exclut de facto.
Sous le galimatia verbal propre aux mouvements de l’extrême gauche, la liste et les intitulés des formations qui seront dispensées témoignent du prisme raciste anti-Blancs qui a envahi l’ensemble de leur corpus idéologique. Quelques exemples non exhaustifs : « identifier et combattre le racisme médical », « décoloniser l’imagination : atelier d’écriture », « atelier beurette : confronter le racisme genré contre les femmes maghrébines », « lutter contre l’islamophobie des racisé.e.s non musulmans », « les enjeux de la parentalité racisée », « les transformations du racisme d’État », « inscrire la lutte anti-raciste dans l’anti-capitalisme », « ancrer nos mouvements dans l’histoire des luttes racisé.e.s en contexte français »…
Nous ne doutons pas que Manuel Valls, chantre de la lutte antiraciste, se saisisse instamment de l’affaire pour enclencher la procédure de dissolution du Parti des Indigènes de la République et interdire la tenue de cet événement raciste anti-Blancs.
De toute façon, nous, on comptait pas y aller.