L’islamisme est un dogme qui voudrait que les états se soumettent aux préceptes du coran et aux recommandations de son prophète, pour fonder au final un état islamique et imposer la « Charia ».
L’islam deviendrait religion d’état et un mode de vie, qui impose la suppression des lois étatiques en faveur de la seul loi qui vaille ; celle d’Allah ! Pour les islamistes vivant en Occident, l’environnement de vie, tel un pays en putréfaction, doit être assaini en appliquant les substances aseptisantes de la loi divine. À partir de là, et lorsqu’une religion comme l’islam lie l’épanouissement du «moi » supposément sain, au « nous » espace infecté à traiter, le vivre ensemble cher aux socialistes devient menacé, les clivages prononcés, les déséquilibres flagrants et l’affrontement, une évidence.
Par essence, l’islamisme ne s’exprime que dans deux espaces distincts :
- la terre de l’Islam (Dar El Islam) sous-entendu terre de paix où il est permis de vivre pleinement sa foi,
- la terre de la guerre (Dar El Harb), désignant le reste du monde. C’est cette vision manichéenne qui pousse à considérer l’Occident comme un territoire peuplé d’impies, d’iconoclastes bon à conquérir et à civiliser.
Pour le courant salafiste, qui prône le retour aux traditions strictes et à l’islam rigoriste des débuts, l’immigration, qui est une recommandation céleste pour les « terres de guerres » n’est qu’un moyen pour propager la religion et « purifier » un environnement malade. Ça serait inspiré par l’immigration « El Hijra » à Médine du prophète de l’islam et de ses compagnons, comme le lui ordonnait dieu, pour fuir les persécutions des siens à la Mecque. Il n’est, par contre, nullement question de respecter une quelconque loi, puisque les lois divines priment sur les autres formes de législations.
La religion musulmane, étant l’ultime révélation, devrait inéluctablement triompher sous l’impulsion d’Allah, qui permettrait l’accomplissement de la prophétie hégémonique ; Islam seule religion du monde !
Il faut savoir que la religion musulmane ne s’articule autour d’aucune autorité, fut-elle celle d’Al-Azhar d’Égypte. C’est que les musulmans ne croient qu’en une seule autorité ; celle d’Allah. Toutes les tutelles religieuses à travers le monde ne sont, théoriquement, là que pour garantir la pérennité de l’islam et en grossir un peu plus ses rangs. Il est vain en France de tenter une lénification de cette religion n’est qu’un simple mirage politicien, érigé pour répondre à un besoin d’une population en proie à la peur. Elle ne fait au final qu’offrir le terreau idéal à l’épanouissement d’une bête (islamisme) incontrôlable qui n’en demandait pas tant.
Un curieux phénomène est observé ces dernières années, et très peu documenté, consistant à immigrer en « terre d’islam » en faisant le chemin inverse, une sorte de retour aux sources. C’est ainsi que de nombreux musulmans « occidentaux » dont des nouveaux convertis ou des immigrés de dernières générations préfèrent aller vivre leur foi dans des pays comme la Syrie, l’Irak, les pays du golfe, l’Égypte ou la Jordanie ! Ce phénomène trouverait son explication dans le coran et la sunna, et obéirait à des règles bien précises.
Certains théologiens islamistes (un prédicateur) affirme que le coran leur ordonnerait de quitter « Dar Al-Harb », pour grossir les rangs des musulmans, permettre ainsi une pratique complète de l’islam, une vie marginale sur place serait permise et réaliser par la suite une conquête de masse et organisée ! Reculer pour mieux rebondir…La. Il serait alors interdit de s’habiller comme les mécréants, de les imiter, de participer à leurs fêtes et même de les féliciter.
Il est donc d’agir afin de ne pas subir : la première des choses à faire pour contrer ce courant dur de l’islam est de procéder en profondeur, en traitant les dérives de la religion musulmane comme on traiterait n’importe quel autre fléau, sans avoir peur de poser les vraies questions, ni de froisser les sensibilités.
Il faut donc de toute urgence :
- interdire la pratique de l’islam en la mettant sous le joug de « la loi sur les sectes » et répondre à l’extrémisme religieux par un extrémisme d’Etat,
- redonner le pouvoir à notre police nationale,
- traquer et dénicher ces islamistes et les expulsés sans ménagement dans leur pays d’origine,
- rétablir nos frontières ancestrales afin d’éviter l’entrée et le retour de ceux qui seront expulsés.
Quant à nous, nous préférons la France éternelle et catholique, fière de son passé, libérée de cette secte qu’est l’islam, qui n’est pas et ne sera jamais une religion de France. Seule la révolution Nationale peut nous remettre sur les rails de la France authentique où le Travail, la Famille et la Patrie ne seront plus vains mots !
François Palaffittes