Quinze ans après le vote de la loi de l’ancienne ministre et raciste anti-blancs Taubira qui rendait la France responsable de l’esclavage et imposait à tous les français de reconnaitre qu’ils sont responsables d’un crime contre l’humanité presque aussi grave que le mythe de la Shoah, François Hollande a exprimé sa volonté de re repentir cette expérience indescriptible, mille fois décrite, suivie de la souffrance irréparable à réparation constante qu’a été l’esclavage.
En effet, à l’occasion de la journée commémorative de l’abolition de l’esclavage, François Hollande a annoncé la création, « avant la fin de l’année » d’une « fondation pour la mémoire de l’esclavage ». « Je souhaite donner à la France une institution qui lui manque encore, une fondation pour la mémoire de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions », a-t-il expliqué lors des cérémonies de commémoration au palais du Luxembourg. Cette fondation « sera une source de promotion des valeurs de liberté, d’égalité, de tolérance » et « diffusera la connaissance de l’esclavage, de la traite, mais aussi tout le combat des abolitionnistes », a-t-il ajouté en précisant qu’elle devait rassembler « toutes les mémoires et tous les Français » (sic). Associant « tous les acteurs publics, privés, associations, entreprises » (toutes les officines de l’antiFrance), elle « réfléchira avec la mairie de Paris à l’édification d’un mémorial aux esclaves et d’un lieu muséographique ».
Cette annonce survient le lendemain d’un entretien de François Hollande avec SOS Racisme, le CRAN, la LICRA et le CRIF, qui l’ont exhorté à créer un « musée de l’esclavage ». Aussitôt dit aussitôt fait. Preuve qu’Hollande n’est qu’un pantin et que les organisations de l’anti-France qui constituent le judaïsme politique sont les marionnettistes de leur république. Le CRAN s’est d’ailleurs aussitôt félicité de cette « victoire qui constitue objectivement une avancée importante en matière de réparation. »
À un an de la mascarade démocratique, on peut assurément y voir une pure manœuvre dans le but de s’assurer le vote des africains à papiers français, convaincus qu’ils ont tous un ancêtre esclave et qui justifie leur haine des français, sous prétexte de vengeance de l’esclave contre le maitre Blanc. C’est ce que leur enseigne l’éducation antinationale, dont la mission première est d’apprendre aux élèves à haïr l’Histoire de la France.
Nul besoin de fondation pour rappeler que tous les peuples du monde ont pratiqué l’esclavage mais que les premiers à l’avoir abolis, voir même qui ont fait la guerre pour l’empêcher (y compris contre leurs semblables, cf : la guerre de sécession) sont les Européens. Et évidemment, la traite arabo-musulmane, aussi bien négrière que barbaresque en Méditerranée, ne sera nullement abordée, tout comme le rôle des juifs dans la traite et le commerce d’esclaves.
L’éternelle repentance, c’est le seul « combat » d’Hollande, à défaut de résorber le chômage et l’invasion.