La motion de censure contre le passage par l’Art. 49-3 de la loi anti-travail a été rejetée, n’ayant reçu que 246 votes positifs sur les 288 nécessaires pour arriver à la majorité absolue des élus de l’assemblée antinationale. Cette motion de censure était de toute façon plus un coup de communication des prétendus opposants au projet de loi pour les futurs candidats aux élections législatives, qu’une réelle opposition en faveur des intérêts des travailleurs français.
Le sinistre Manuel Valls a fortement insisté sur le fait que la loi contre le travail apporte « de multiples avancées concrètes pour les salariés ». Il n’a pas manqué par ailleurs de fustiger les députés signataires de la motion de censure, déclarant que « le gouvernement n’a de leçons à recevoir de personne ». Les français non plus n’ont de leçons à recevoir de gouvernants de l’anti-France qui n’ont jamais été salarié.
L’Article 49-3 très peu démocratique a une nouvelle fois permis au grand défenseur de la démocratie, de la république et des droits de l’homme qu’est Manuel Valls, de faire passer la loi anti-travail de sa marocaine El Khomri, contre l’intérêt des français.