Giorgio Almirante nait le 27 juin 1914 à Salsomaggiore en Émilie-Romagne .
Giorgio Almirante provient d’une famille d’acteurs et de patriotes.
A Turin, il passe sa maîtrise de lettres en 1937, avec un mémoire sur la lecture de Dante au XVIIe siècle. Parallèlement à ses études, il commence une carrière de journaliste, collaborant au quotidien fasciste Il Tevere (Le Tibre), où il travaille jusqu’en 1943, date à laquelle il en est le rédacteur en chef.
Il est signataire en 1938 du Manifeste sur la race, il est secrétaire de rédaction jusqu’en 1942 de la revue La défense de la race.
Après avoir pris part à la Campagne d’Afrique du Nord, Almirante adhère à la République sociale, créée au lendemain de l’armistice du 8 septembre 1943. Il passe à Salò et s’engage dans la Garde nationale républicaine avec le grade de capomanipolo. D’abord chef de cabinet du ministre de la Culture populaire de Mussolini, il devient lieutenant de la brigade noire dépendant de ce même ministre. C’est dans les rangs de cette entité qu’il va lutter contre les résistants, notamment en Val d’Ossola et dans la région de Grosseto.
Giorgio Almirante passe dans la clandestinité, du 25 avril 1945, date de l’armistice définitif, jusqu’en septembre 1946.
Le 26 décembre 1946, il participe à Rome à la création du MSI, qu’il dirige jusqu’en 1950, puis à nouveau de 1969 à 1987.
Il entre à la Chambre des députés dès la première législature en 1948 et est systématiquement réélu jusqu’à sa mort.
Pendant sa longue permanence à la tête du MSI, Almirante sut faire valoir sa personnalité posée et consensuelle, indispensable dans un parti au sein duquel, surtout après la fusion avec les royalistes en 1971, militent des personnalités aux origines politiques extrêmement diverses et aux caractères tout aussi variés. Il est l’artisan de ce qui a été défini comme la « politique du costume croisé », à mi-chemin entre l’héritage fasciste et l’ouverture sur le système.
Au début des années 1970, par respect pour la discipline de parti, il s’exprime contre l’introduction du divorce. Sa position d’ouverture avait en effet été mise en minorité au sein du MSI pendant les discussions. Lui-même bénéficiera des possibilités offertes par la loi Fortuna-Baslini pour divorcer de Gabriella Magnatti, sa première femme, et se remarier avec Assunta Stramandinoli, veuve du marquis de Médicis mais qu’il a connue à l’époque où ils étaient encore mariés.
En 1972, grâce notamment à la fusion avec le parti royaliste (PDIUM), le MSI obtint son meilleur score aux élections législatives sous l’étiquette MSI-Droite Nationale, avec 56 députés et 26 sénateurs.
Devenu le principal symbole de la droite anti-communiste, Almirante est souvent attaqué par les forces de gauche, et notamment celles d’extrême-gauche, qui l’accusent entre autres d’avoir été un « fusilleur » sous la République de Salò. Almirante répondit à ces accusations par procès et par la publication d’un livre, Autobiographie d’un fusilleur : « Un titre doublement menteur puisque ce n’est pas une autobiographie et que je ne suis pas un fusilleur ».
Le Procureur général de Milan de l’époque décide alors de demander à la Chambre l’autorisation d’engager une procédure contre lui pour tentative de reconstitution du Parti Fasciste. Celle-ci est accordée le 24 mai 1973 mais l’enquête ne débouche sur rien et l’affaire est classée.
Vers la fin des années 1970, en pleine crise du terrorisme, les fameuses Années de plomb, Almirante prend parti pour le rétablissement de la peine de mort pour les terroristes reconnus coupables d’assassinat. Il s’oppose aussi à la légalisation de l’avortement en Italie.
Son état de santé le contraint en 1987 à abandonner la direction du parti à son dauphin Gianfranco Fini, alors secrétaire du Front de la Jeunesse du MSI. Ce choix revenant à couper les ponts avec le passé, car « Personne ne pourra traiter de fasciste quelqu’un né après-guerre. » Fini dira de lui qu’il était « un grand Italien » et « le leader de la génération qui a refusé de se rendre. »
Il meurt à Rome, le 22 mai 1988, après une opération subie à Paris.
La cérémonie de ses obsèques se tient à Rome, dans l’église de la piazza Navona. Il est inhumé au cimetière communal de Campo Verano de Rome.
Selon l’euphemisant senateur Tom Cotton : « les liens etroits que le petit etat entretient avec sa diaspora – largement issue des anciennes republiques Sovietiques – lui donne des avantages incomparables lorsqu’il s’agit d’identifier les menaces exterieures. »
http://www.jpost.com/Annual-Conference/Jewish-diaspora-is-an-intelligence-asset-Cotton-says-490080
BDS Italia denonce la complicite de Hewlett Packard (HP) avec l’apartheid.
https://www.actualitte.com/article/monde-edition/bds-denonce-la-collusion-entre-hewlett-packard-et-l-apartheid-d-israel/82851
Le Bureau des légendes (Mathieu Kassovitz, Lea Drucker, Jonathan Zaccaï…) a « pour objectif de renforcer le lien entre l’armée et la nation ».
http://www.la-croix.com/Culture/TV-Radio/Le-Bureau-legendes-serie-tres-informee-2017-05-21-1200848829
Benjamin Millepied, qui a rencontré Natalie Portman sur un tournage de Darren Aronofsky, voit son 1er film produit par Dimitri Rassam.
http://www.lefigaro.fr/cinema/2017/05/05/03002-20170505ARTFIG00076-benjamin-millepied-va-realiser-un-film-inspire-de-carmen.php
“Contrairement à ce qui a été si souvent affirmé, la totalité des forces de la République sociale italienne du Duce est considérable : 679 000 combattants.” *
Malheureusement RSI dut finir par capituler, mais seulement après qu’il fût acté que nos alliés allemands avaient reçus l’autorisation de se replier ou au pire rendre les armes … La trois fois millénaire Ligne gothique allait donc être enfoncée :
– https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_gothique –
Ensuite … ce fût l’horreur.
La RSI, l’Italie du nord de Mussolini (pas celle, méridionale, de Badoglio) n’a donc jamais manqué à sa parole et à ses alliances.
« Dès le 12 avril 1945, le Comité de libération donne l’ordre de capturer Mussolini et sa suite, alors en pleins préparatifs de fuite vers la Suisse.
Celui-ci, abandonné par les derniers hiérarques, fuit dans une colonne en retraite de l’armée allemande, qui se met en route après le 20 avril 1945. Le 27 avril, le dirigeant fasciste est arrêté à Dongo par des partisans et exécuté le lendemain, sur l’ordre du CNL de Haute-Italie, en compagnie de sa maîtresse, Clara Petacci. Les corps sont ramenés à Milan le même jour. » *
Exécution de Benito Mussolini : le 28 avril 1945 donc … Le 30 avril 1945, vers quinze heures trente, alors que l’Armée rouge n’est plus qu’à quelques centaines de mètres du bunker, Adolf Hitler se suicide en compagnie d’Eva Braun.
A deux funestes jours près, la parole donnée à son allié fût honoré jusqu’au bout par l’Italie.
Malgré toutes les saloperies qui furent par la suite (malheur aux vaincus) racontées tant sur la prétendue lâcheté des italiens, que sur la prétendue sauvagerie des allemands je tiens ici à affirmer que ces ‘’qualités’’ furent bien insignifiantes de leur part comparativement à ce qu’elles furent du côté des ‘’judéo-anglo-américains’’ et des ‘’judéo-bolcheviques’’.
http://gothicline.files.wordpress.com/2009/04/senza20nome.jpg
http://gothicline.files.wordpress.com/2009/04/itp2931.jpg?w=450
« Même l’écrivain Curzio Malaparte, antifasciste dès 1933, s’offusque devant cette impitoyable chasse à l’homme désarmé :
Dans le nord de l’Italie, en 1945, pendant les jours de la »libération », la tuerie a été épouvantable.
Les journaux ont parlés de 300 000 victimes.
Le gouvernement n’a pas démenti ce chiffre. … » *
* “Les guerres de Mussolini, de la campagne d’Ethiopie à la république de Salo” – de Dominique Lormier – éditions “Jacques Grancher”.